| Batailles lexicales 5 | |
|
+15Setodest Kotave Troubadour mécréant Djino Ice-Kagen Aquila Ex Machina Ziecken Mardikhouran Viquezug Olivier Simon Leo Bedal Sájd Kuaq Anoev SATIGNAC 19 participants |
|
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Dim 9 Aoû 2015 - 18:31 | |
| Les choix (malheureux) de l'espéranto n'engagent que ses partisans... En yolik tous les verbes dérivés sont actifs transitifs ou non. "Je beurre" ne signifie pas "je suis du beurre"... (d'ailleurs en espéranto, "mi biciklas" ne signifie pas "je suis un vélo", ni "mi produktas", je suis un produit, mais "je produis", c'est-à-dire "je fabrique un/des produits", alors que "mi biciklas" ne veut pas dire que je fabrique des vélos... Bref, le chaos!!! ) Mi ponta: je fais le pont, je passe le pont... Mi ponta riv: je passe par dessus la rivière, etc... Il s'agit d'une expression imagée à replacer dans un contexte, sinon il me faudrait dire: Mi ne laba un den nes den al nelabik kis yuzim fransikyo... |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Dim 9 Aoû 2015 - 23:11 | |
| Le peu que j'en sais, c'est qu'en général, pour ce qui est des interfixes, -iĝ- est plutôt réservé à la voix moyenne (ou aux verbes ergatifs, j'sais plus) -alors que -ig- est beaucoup plus actif, voire factitif (ça dépend des verbes). Par exemple, se dissoudre (dans l'eau, l'acide) se dit solviĝ, alors que dissoudre (un corps) se dirait plutôt solvi (sans interfixe). Des verbes en -igi, malheureusement, mon vocabulaire espéranto est par trop restreint pour que j'en cite, comm'ça, sans piôôger dans l'dico. Je dois avouer que je suis plus à l'aise avec l'aneuvien (ben tiens !), avec ses verbes en -es (actifs) et en -en (unj peu plus divers, puisqu'ils sont, en général, plus anciens. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Dim 9 Aoû 2015 - 23:14 | |
| Devinette espérantiste: que signifie fini / finigi / finighi ? |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 0:03 | |
| - Patrick Chevin a écrit:
- Devinette espérantiste: que signifie fini / finigi / finighi ?
Le dernier, je l'connais pas du tout : jamais vu de mots en -gh-. Peut-être est-ce un Ĝ. Si c'est le cas, je pense à (se) finir : la filmo estas finiĝanta = le film arrive à sa fin. Pour fini, y aurait : mi finis la laboron = j'ai fini le travail. Où as-tu trouvé finigi (sources) ? Il n'est pas dans mon dico. J'en profite que c'est pas le fil espéranto pour y aller de ma sauce aneuvienne : Chez moi, c'est (pour l'instant ?) le même verbe : kœnade. Le sens sera orienté selon qu'il y a ou non : _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 3:56 | |
| Anoev semble mieux maîtriser l'espéranto que Patrick C. Quant à finigi, ça veut dire faire que quelqu'un finisse quelque chose. Les verbes transitifs auxquels on ajoute le suffixe -ig- deviennent cependant difficiles à utiliser, vu qu'ils peuvent avoir deux compléments directs: mi manĝigas la ĉevalon la avenon... |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 4:19 | |
| - Silvano a écrit:
- Anoev semble mieux maîtriser l'espéranto que Patrick C. Quant à finigi, ça veut dire faire que quelqu'un finisse quelque chose. Les verbes transitifs auxquels on ajoute le suffixe -ig- deviennent cependant difficiles à utiliser, vu qu'ils peuvent avoir deux compléments directs: mi manĝigas la ĉevalon la avenon...
Silvano subtaksas miajn priesperantajn sciojn, mais il lit dans ma pensée... Donc, en yolik, pour mi manĝigas la ĉevalon la avenon... (je fais le cheval manger l'avoine et vice-versa ), on aura: Mi faba lox yedi kers... |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 7:58 | |
| - Silvano a écrit:
- Quant à finigi, ça veut dire faire que quelqu'un finisse quelque chose. Les verbes transitifs auxquels on ajoute le suffixe -ig- deviennent cependant difficiles à utiliser, vu qu'ils peuvent avoir deux compléments directs: mi manĝigas la ĉevalon la avenon...
Ce serais la transcription volapukiste du causatif, voire du factitif. Comment traduirait-on ? Petro servigas Paŭlon? Bon, on a évidemment "Pierre fait servir Paul". Mais de quelle manière ? Y a-t-il l'ambigüité qu'il y a en français ? Paul est-il servi par un serveur aux ordres de Pierre ou Paul sert-il quelqu'un d'autre ? Moi, j'opterais pour cette deuxième possibilité (traduite en aneuvien par Petr dor Pavles særvun). Pour la première (Paul est servi), je pencherais pour Petro servigas por Paŭlo. Je ne pense pas que le COI soit à l'accusatif en espéranto, contrairement à l'aneuvien, où on aurait Petr dor særv ni Pavles. Le factitif muni d'un COD (Pierre fait servir un poulet à Paul) serait, dans les deux cas : Petro servigas kokidon por Paŭlo Petr dor særv ùt gals ni PavlesDans le cas où c'est Paul qui sert le poulet (causatif), on a Petro servigas Paŭlon kokidon Petr dor Pavles særvun ùt gals. C'est bien ça (pour l'espéranto) ? _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 13:59 | |
| La seule manière claire de s'en sortir est de sortir le ici du verbe: la maestro iras la ĉevalon manĝi la avenon. |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 15:13 | |
| - Silvano a écrit:
- La seule manière claire de s'en sortir est de sortir le ici du verbe: la maestro iras la ĉevalon manĝi la avenon.
Iras ? de iri (aller) ? Iri pourrait être transitif en espéranto ? Même ! Ça donn'rait : "Le maître va le cheval manger l'avoine". Je ne suis pas certain que ce soit plus clair (surtout avec iri) que La maestro maniĝas la avenon de la ĉevalo On a un mot de plus ( de), mais c'est plus limpide... sauf si de est utilisé pour autre chose. Chez moi, y a deux possibilités, pour le même sens : àt masterdak dor inzh oaż per àt hippov àt masterdak dor àt hippos inzhun oaż.J'préfère la deuxième. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 15:53 | |
| - Anoev a écrit:
- Silvano a écrit:
- La seule manière claire de s'en sortir est de sortir le ici du verbe: la maestro iras la ĉevalon manĝi la avenon.
Iras ? Excuse. Igas. |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Lun 10 Aoû 2015 - 17:30 | |
| Igi, c'est unj peu un verbe purement grammatical, réservé au factitif et au causatif (surtout au causatif, en... en fait). Chez moi, le verbe VRAIMENT passe partout, c'est dor (cf ang. to do) : il sert vraiment à tout ou presque ! Et puis il y a ses agglutinés, comme sindor (se passer de), simeldor (faire semblant), golàjdor (faire l'amour), adòr (affaire). Et en plus, contrairement à ce qui se passe dans un paquet de langues naturelles, ce verbe servant à peu près à tout (j'en rajoute une : nep dorit zoṅk = fais pas le c...) est un verbe tout c'qu'y a de régulier ! Ses formes référencées sont dor dora et, partant de là : dore, dorar, doră, dorăr, dorun, doruna, doran (peu courant, çui-là) doría et, partant de là : dorit, dorite, dorind, dorita, doritar (ces deux derniers, pas vraiment courants non plus). _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Mer 19 Aoû 2015 - 20:58 | |
| procurer des vêtement, en un seul mot : kwatsalémisféa (fait être à l'origine de être vêtu)
habiller : kwatsalémisµèa (fait être vêtu)
couvrir : sôzpûula (contraire de déshabiller) | |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Mer 19 Aoû 2015 - 22:57 | |
|
Dernière édition par odd le Jeu 1 Oct 2015 - 21:38, édité 1 fois |
|
| |
Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Mer 19 Aoû 2015 - 23:08 | |
| - odd a écrit:
- On pourrait avoir aussi habit=anti-nudité...
En gardant la même forme, c'est bien l'idée. | |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Mer 19 Aoû 2015 - 23:55 | |
| J'ai fait l'inverse, puisque chez moi, nu (sans vêtements) se dit nahím, l'anacyclique (au diacritique près : j'ai voulu garder l'accent sur le I) de mihan, l'adjectif qui correspond aux verbes mihes & mihen (habiller).
J'ai bien pourtant nùd, mais ça n'a rien du tout à voir avec les fringues :
nùd krendéa = terrain nu. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
SATIGNAC
Messages : 2121 Date d'inscription : 06/11/2012 Localisation : Fustilhan
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Jeu 20 Aoû 2015 - 23:13 | |
| - Anoev a écrit:
- J'ai fait l'inverse, puisque chez moi, nu (sans vêtements) se dit nahím, l'anacyclique (au diacritique près : j'ai voulu garder l'accent sur le I) de mihan, l'adjectif qui correspond aux verbes mihes & mihen (habiller).
J'ai bien pourtant nùd, mais ça n'a rien du tout à voir avec les fringues :
nùd krendéa = terrain nu. En méhien, à côté de nudia/nudy j'ai: günna/-e/-o: sans vêtement de ville, à peine habillé comme quand on fait du sport ou on est au lit. | |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Jeu 20 Aoû 2015 - 23:54 | |
| - SATIGNAC a écrit:
- En méhien, à côté de nudia/nudy j'ai: günna/-e/-o: sans vêtement de ville, à peine habillé comme quand on fait du sport ou on est au lit.
Tu m'a donné des idées, avec les racines que j'ai, j'ai deux nuances pour "peu habillé" : j'aurais seqmíhan pour "habillé léger", d'avoir peu de vêtements sur soi, parce que c'est l'été, il fait bon, etc. de seq (léjer) & mihan. Letahím d'une connotation moins agréable, vient de letas pour "presque" et nahím, déjà évoqué : c'est "presque nu", à cause de la misère, ou le dénuement. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Ven 21 Aoû 2015 - 16:32 | |
| Sûrement déjà proposé, mais je propose "utopie" (et du coup dystopie)
Pour le Deyryck ce sera 'jargam (et donc 'jorgam pour dystopie).
Le mot dérive de 'Jarok. Dans la "mythologie" ikienne, les temps de 'Jarok correspondent à une sorte de grande âge d'or. 'Jarok étant le nom d'une ville (ou continent selon les mythes) disparue sur la planète Àndôrs, qui était autrefois la capitale de l'empire ikien. (l'actuelle étant Sabléh) | |
|
| |
Bedal Modérateur
Messages : 6798 Date d'inscription : 23/06/2014 Localisation : Lyon, France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Ven 21 Aoû 2015 - 16:46 | |
| jehararia (litt: de "jehari" (parfait) et le suffixe locatif "-aria" = lieu de la perfection) _________________ "L'Atelier" alas a bin jerli foromte! : L'Atelier est le meilleur des forums Idéolangues : algardien, nardar, helfina, mernien, syrélien, brakin, nurménien, leryen, romanais. Idéomondes : Univers d'Heimdalir, Iles Romanes Non au terrorisme et à la barbarie. Oui à la paix, la fraternité et la solidarité. Quelles que soient notre religion, notre langue ou notre couleur de peau. | |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Ven 21 Aoû 2015 - 16:51 | |
|
Dernière édition par odd le Ven 2 Oct 2015 - 19:04, édité 1 fois |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Ven 21 Aoû 2015 - 18:42 | |
| J'ai cherché : j'ai ni l'un ni l'autre. Le problème, c'est que je ne sais pas comment je vais m'en sortir. Peut-être* avec menrăj, de men = esprit răj = paradis, quel qu'il soit, religieux ou non. Par contre, jăr est spécifiquement adapté à la religion, et le nom "courant" est ifèrn. Je ne voudrais pas que l'enfer imaginé ait plus de syllabes que le paradis imaginé. Donc, j'm'en vais compacter tout ça ! comment ? mifern ? beuh... j'crois que j'vais faire appel à un des systèmes d'écriture à ma disposition. Lequel des trois (adnébou, akrik ou arkitanco) donnera un mot prononçable ? À moins que j'étale le champ sémantique de jăr et que je ne garde ifèrn que dans le sens artistique (l'enfer d'un musée). Maizalors, ça remettrait en cause iféren (infernal) ! Bref : c'est... jăron ! * Seul'mant, main'nant, y faut que l'ambigramme soit "traitable" par au moins un des trois alphabets concernés ! Pas gagné !_________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
SATIGNAC
Messages : 2121 Date d'inscription : 06/11/2012 Localisation : Fustilhan
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Ven 21 Aoû 2015 - 23:38 | |
| - Aquila Ex Machina a écrit:
- Sûrement déjà proposé, mais je propose "utopie" (et du coup dystopie)
Pour le Deyryck ce sera 'jargam (et donc 'jorgam pour dystopie).
Le mot dérive de 'Jarok. Dans la "mythologie" ikienne, les temps de 'Jarok correspondent à une sorte de grande âge d'or. 'Jarok étant le nom d'une ville (ou continent selon les mythes) disparue sur la planète Àndôrs, qui était autrefois la capitale de l'empire ikien. (l'actuelle étant Sabléh) En méhien: ùtopia, renvoie au concept de Thomas More l' auteur de VTOPIA, l'accentuation sur le "u" initial le rapproche du grec où ce préfixe "ou" renvoie à l'idée de négation , de vide et non pas l'antonymie comme il peut l'avoir dans des hellénismes proprement méhiens comme topeca/-e qui est situé quelque part < tope: lieu repérable dans l'espace sensible, "niveau" de localisation , utopeca/-e: qui n'a pas de situation ( mais qui peut exister ) son neutre : utopeco: chose qui n'a pas de localisation , et qualitatif: utopecita: qualité de ce qui n'a pas de localisation. Ils peuvent traduire respectivement utopique et utopie.
Il y a aussi les adjectifs plus "avdeliri" : selœca/-e: sans lieu repérable, aenišenda/-e:qui n'est pas localisé, qui n'est porté sur aucun endroit , nœllœciba/-e: d'aucun lieu , de nœllœcu: nullepart. De là peuvent dériver des noms idiomatiques: selœcita: qualité de n'être d'aucun lieu, aeniš/ aenisio: "non lieu" ( peut-être la vraie traduction d'utopie ?), endroit de nulle part, déverbal de Aenišet: "in-situer" ( ne pas pouvoir situer) ; nœllœy/ nœllœco: lieu de rien , nœllœcìa: pays de nulle part. | |
|
| |
Invité Invité
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Sam 22 Aoû 2015 - 3:30 | |
| Utopio, utopia. Rien trouvé pour dystopie, mais on pourrait sans doute aisément l'importer. |
|
| |
Anoev Modérateur
Messages : 37622 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Sam 22 Aoû 2015 - 8:59 | |
| - Silvano a écrit:
- Utopio, utopia.
Rien trouvé pour dystopie, mais on pourrait sans doute aisément l'importer. Pour l'espéranto : malutopio ? _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
| |
|
| |
Emanuelo
Messages : 1402 Date d'inscription : 28/07/2013 Localisation : Strasbourg
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 Sam 22 Aoû 2015 - 11:01 | |
| - Anoev a écrit:
- Silvano a écrit:
- Utopio, utopia.
Rien trouvé pour dystopie, mais on pourrait sans doute aisément l'importer. Pour l'espéranto : malutopio ? Oui. | |
|
| |
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Batailles lexicales 5 | |
| |
|
| |
| Batailles lexicales 5 | |
|