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| Leçons de deyryck | |
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+3Bedal OriginalOldMan Aquila Ex Machina 7 participants | |
Auteur | Message |
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Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Lun 11 Sep 2017 - 19:08 | |
| Leçon 4 : Mi : introduction à la forme marienne Mi " Mi" est super synthétiseur. La super synthèse ou pure synthèse consiste en un comportement propre uniquement à un synthétiseur. La modification qu'apporte "mi" à la syntaxe est donc propre à " mi". " Mi" va permettre de diviser le coeur entre la partie "sujette" et la partie "fait". Un premier " mi" sera placé au début de la phrase en préfixe du "sujet" et un deuxième remplacera ce dernier dans le coeur à la fin. On obtiendra une syntaxe comme ceci : Mi[Coeur] [context] [cible] mi[Coeur] [objectif]Pourquoi et quand l'utiliser ? Un "sujet" peut vite devenir très gros en deyryck, il devient alors intéressant dans le séparer du reste du coeur. Par ailleurs, cette forme peut également servir à insister sur le sujet, s'il est petit : Myi ti milaka' = Moi, je t'aime. Si le "sujet" est décrit par des descripteurs ( exemple : lizidajarakam (petite maison)), les descripteurs peuvent être placés avant le mi : Le grand guerrier te regarde. = Ti maniéktisrama a Pourra donner : Mi maniéktis ti mirama a Ou : Mani mi éktis ti mirama a Mi possède plusieurs type de synthèse. Il permet également de créer une forme marienne. Reste à savoir ce que c'est. La forme marienne La forme marienne est un type de synthèse qui permet de produire quelque chose de cette forme : " X s Y" où X et Y sont des termes quelconques et s est le synthétiseur. Une forme marienne, dans un fait, est considéré comme un terme à part entière, il faut la considéré comme un tout. Elle possède une particularité importante en deyryck, on peut qualifier la forme marienne. On peut ajouter un descripteur sur le synthétiseur, par exemple, pour qu'il décrive toute la forme marienne. Un synthétiseur qui peut créer une forme marienne naturellement est appelé un synthétiseur marien (mari-S). Un exemple simple de mari-S est " ta". Il signifie tout simplement " et". De la même manière qu'en français, on pourra donc avoir : "ibêb ta ibab" = mon père et ma mère. Exemples de forme mariennes avec ta : Ibêb ta ibab irama a = Je regarde ma mère et mon père. Ibêb lizita ibab irama a = Je regarde mon petit père et ma petite mère. Mi, vu plus haut, peut être utilisé sur un forme marienne pour en faire un sujet : Ibêb mita ibab i mirama a = Mon père et ma mère me regardent. Ibêb milizita ibab i mirama a = Mon petit père et ma petite mère me regardent. Lizi ibêb mita ibab i mirama a = Mon petit père et ma petite mère me regardent. Prenez bien le temps de comprendre ces exemples ! La forme marienne de mi Qu'elle est donc la forme marienne de mi ? Elle est très simple, elle traduit très simplement notre " de" en français. Donc : X mi Y = X de YExemple :Dajarka mi ibab irama a = Je regarde la maison de ma mère. Exemples Phrases en français : Ma grande (taille) soeur te regarde. Mon père et le tiens vont chez elle. Mon père et ma mère sont grands. Tu parle encore et encore. Phrases en deyryck : Miimanivav ti mirama a I mitabêb ti aro mikohos a Bêb itamani bab a Sprah tita sprah a Avec pour vocabulaire : Je = I Tu/Toi = Ti Il/Elle = Aro Ils/Elles = Arès Parler = sprah Regarder = rama Lieu de prière, de pratique religieuse, église = dajkia Manger = vèdla Bonheur = saka Survie = odika Marche = sélyoa Herbe = léalwa Mort = likwa Force = afa Peur = sara Aide = ata Hier = métapa Demain = métapôn Venir = kohos Expliquer = kûfésa Bataille = èkto Grandeur = mana Petitesse = liza Mère = bab Père = bêb Soeur = vav Venir = kohos Parler = sprah Jouer = ma Aimer (amour) = laka Aimer (amitié) = léka Pouvoir (être capable de) = kréi Voir = fio Croire = fèrfio Ciel = vaalza Erreur = fûla Maintenant = séda Famille = kûha Dans les exercices : ski = belle Dans les exercices : ga (coeur + objectif) = il y a Exercices d'abordage Traduisez en français :
- Bêb ta bab ti ikohos a
- Vav miita lakis i ta lékis ma mita ma a
- Miti aro milaka a
- Lizi miivav bêb misprah a
- Ti ata ta sprah ikréi a
Traduisez en deyryck :
- Je vois mon père et ma mère discuter avec ma soeur.
- Je crois que ma soeur vient.
- Moi, j'ai peur.
- Eux, ils pensent que j'ai peur de jouer et de parler.
- Demain, mon père et ma mère viennent chez moi.
RAPPEL : ne vous occupez pas du passé. Exercices de validation Donnez une traduction possible en français :
- Vaalza nè èkto ga
- Ibab ni isaki a
- Ti ikohos ni tivav isprah a
- Nad métapa i tibêbsprah séda a
- Nôd ti iata ikohos a
Traduisez en deyryck :
- Comme tu es venu, je suis heureux.
- Quand ma soeur vient, je lui parle.
- Quand ma mère joue avec ma soeur, je les regarde.
- Sur le champ de bataille, je me bats pour ma famille.
- De tout là haut, je te regarde jouer.
Dernière édition par Chaest le Lun 12 Fév 2018 - 13:38, édité 3 fois | |
| | | Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8428 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 12 Sep 2017 - 20:37 | |
| Je viens de faire les exercices de la leçon 2, je suis désolé, je n'avance pas très vite. Mes réponses sont en italique. - Spoiler:
Exercices d'abordage
Traduisez en français :
1. Arodajarka irama a 2. Arodajarkam irama a 3. Dajarkam ipiµi a 4. Piµis isprah a 5. Ipiµam idsûnis tidajarka a
1. Je le regarde habiter. 2. Je regarde sa maison. 3. (C'est) mon extérieur de maison/ (Il y a un extérieur/jardin à ma maison) 4. Je parle à un étranger. 5. Dans mon jardin, tu y habites avec cette personne.
Traduisez en deyryck :
1. Il pleut sur elle. 2. Je regarde dehors. 3. Dehors, il fait froid. 4. Mon père est heureux. 5. Je veux voir mon père.
1. Aro kasiya a. 2. Piµiirama a. 3. Piµa, kayéa a. 4. Sakisibéb a. 5. Ibébirama iveyli a.
Exercices de validation
Traduisez en français :
1. Ti isara a 2. Tisari ti isprah a 3. Ibêb irama a 4. I ibêbrama a 5. Isari ti ibêbsprah a
1. Je t'ai fait peur. 2. Je te dis que tu as peur. 3. Je regarde mon père. 4. Mon père me regarde. 5. Mon père te dit que j'ai peur.
Déterminez quelles parties de ces phrases françaises appartiennent à quelles parties de la syntaxe deyryck et traduisez : 1. Pendant que tu parles, je l'aime.. 2. Quand tu étais dehors, je lui parlais. (Dans le context, il est évident que la personne était dehors, ne vous embêtez pas à traduire le passé) 3. Je vois une petite personne. 4. Mon petit père a froid. 5. Tu me donne froid.
1 Pendant que tu parles, -> contexte, l' -> cible, j'aime -> coeur 2 Quand tu étais dehors, -> contexte, lui-> cible, je parlais -> coeur 3 une petite personne -> cible, je vois -> coeur 4 Mon petit père a froid -> coeur 5 me -> cible, Tu donnes froid -> coeur
1 Tisprah, aro ilaka a. 2 Tipiµa, aro isprah a. (Je suppose qu'au passé ce n'est plus a ? Bien qu'à mon avis l'objectif soit plus le mode) 3 Lizisûna irama a. 4 Ilizisbêbkayea a. 5 I tikayea a.
Ca m'a paru plus dur que pour la première leçon et il y a certaines de mes réponses dont je ne suis pas sûr du tout. _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit) Je rêve que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 12 Sep 2017 - 22:44 | |
| - Velonzio Noeudefée a écrit:
- Je viens de faire les exercices de la leçon 2, je suis désolé, je n'avance pas très vite.
Aucun soucis, surtout prends ton temps ! Je sais que c'est dur ! - Spoiler:
Exercices d'abordage
Traduisez en français :1. Arodajarka irama a 2. Arodajarkam irama a 3. Dajarkam ipiµi a 4. Piµis isprah a 5. Ipiµam idsûnis tidajarka a 1. Je le regarde habiter. Cela peut aussi être : "Je regarde sa maison" 2. Je regarde sa maison. Oui 3. (C'est) mon extérieur de maison/ (Il y a un extérieur/jardin à ma maison) "Je suis hors de ma maison." 4. Je parle à un étranger. Parfait ! 5. Dans mon jardin, tu y habites avec cette personne. "Tu habites chez cette personne alors que je suis dehors.", il existe beaucoup d'interprétation de ce fait. Le "Ipiµam" est assez sur à interprété, mais cela sera simplifié plus tard, je te rassure.Traduisez en deyryck :1. Il pleut sur elle. 2. Je regarde dehors. 3. Dehors, il fait froid. 4. Mon père est heureux. 5. Je veux voir mon père. 1. Aro kasiya a. Oui, sauf qu'il n'y a pas de ponctuation en deyryck. Ajouter des points est une erreur. 2. Piµiirama a. Piµa irama a est la version la plus commune, mais ta version marche. 3. Piµa, kayéa a. Piµa kayéa a ou Piµakayéa a, mais dans tous les cas, toujours pas de virgule ni de point. 4. Sakisibéb a. Dans l'autre sens et sans le "s", on décrit le père ici, "ibêbsaki a" 5. Ibébirama iveyli a. Il manque juste un espace : "Ibêb irama ivèyli a"Exercices de validation
Traduisez en français :1. Ti isara a 2. Tisari ti isprah a 3. Ibêb irama a 4. I ibêbrama a 5. Isari ti ibêbsprah a 1. Je t'ai fait peur. Pourquoi pas, mais le passé n'est pas utile. ^^ 2. Je te dis que tu as peur. "tisari" est le contexte, pas le propos. Si on avait eut "ofio" et non "sprah" tu aurais quand même eut raison, mais pas là. Cela devrait donner quelque chose comme : "Je te parle alors que tu as peur." 3. Je regarde mon père. Parfait ! 4. Mon père me regarde. Parfait ! 5. Mon père te dit que j'ai peur. Même chose qu'auparavant. "Mon père te parle alors que j'ai peur."Déterminez quelles parties de ces phrases françaises appartiennent à quelles parties de la syntaxe deyryck et traduisez :1. Pendant que tu parles, je l'aime.. 2. Quand tu étais dehors, je lui parlais. (Dans le context, il est évident que la personne était dehors, ne vous embêtez pas à traduire le passé) 3. Je vois une petite personne. 4. Mon petit père a froid. 5. Tu me donne froid. 1 Pendant que tu parles, -> contexte, l' -> cible, j'aime -> coeur Parfait ! 2 Quand tu étais dehors, -> contexte, lui-> cible, je parlais -> coeur Parfait ! 3 une petite personne -> cible, je vois -> coeur Parfait ! 4 Mon petit père a froid -> coeur Parfait ! 5 me -> cible, Tu donnes froid -> coeur Parfait !
1 Tisprah, aro ilaka a. Toujours pas de ponctuation. En les retirant, ca marche 2 Tipiµa, aro isprah a. Même chose (Je suppose qu'au passé ce n'est plus a ? Bien qu'à mon avis l'objectif soit plus le mode Ni l'un ni l'autre, le passé serait marqué par la marque "pa" attachée au coeur. L'objectif sert réellement à décrire l'objectif de l'expression du fait, il n'est pas là pour avoir une fonction grammatical (même si ce sera indirectement le cas pour l'interrogatif)) 3 Lizisûna irama a. Wow, c'est super nordique mais c'est correct ! Toujours pas de point. 4 Ilizisbêbkayea a. Comme c'est la deuxième fois que tu le fais, je vais plus loin. La forme en "i" est la seule qui peut s'accoler pour décrire, c'est un cas particulier. La forme en "is" est en réalité la contraction de : "lizis(ûna)" ; donc le descriptif est déjà collé à une personne. Ce terme ne précise pas une personne, il EST une personne. J'ai l'impression que tu réfléchis ici comme pour une conjugaison, "mon père" est une personne, donc je dois utiliser "is" car il correspond à une personne. Mais ce genre de concordance d'idée ne se fait pas en deyryck, le deyryck est du genre droite au but, il n'y a pas tant de question à se poser. ^^ (Comique sachant que tout le monde dit cette langue difficile, n'est-ce pas ? ^^) Donc : "Ilizibêbkayéa a" 5 I tikayea a. Parfait sans le point.
- Velonzio Noeudefée a écrit:
- Ca m'a paru plus dur que pour la première leçon et il y a certaines de mes réponses dont je ne suis pas sûr du tout.
Tu ne t'en tire pas trop mal au finale. Beaucoup d'erreur proviennent, pour moi, du fait que tu sembles rapprocher le deyryck à des grammaires plus classiques. Ce qui fait que tu es très doué lorsqu'il s'agit de faire de la traduction et beaucoup moins pour la version. Le principale problème pour cette dernière était le fait de vouloir utiliser de la ponctuation, ce qui n'existe pas en deyryck, la seconde sur l'utilisation du contexte. Ce dernier point, le plus important des deux, n'est pas très problématique car tu verras dès la leçon suivante que le contexte et rarement utilisé à nu comme cela. Je pense que ça te simplifiera grandement la vie ! Les résultats restent plutôt bons, bravo ! | |
| | | Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8428 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 12 Sep 2017 - 22:52 | |
| Merci, je pensais que c'était pire. J'ai remarqué les 3 erreurs récurrentes que je faisais (ponctuation, confusion simultanéité-complétive, is), parmi les ponctuelles, lol.
Ce qui est intéressant dans ce genre d'exercice, c'est de pousser à réfléchir différemment ce qui est très bon pour développer sa propre langue. _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit) Je rêve que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 12 Sep 2017 - 22:58 | |
| - Velonzio Noeudefée a écrit:
- Merci, je pensais que c'était pire.
J'ai remarqué les 3 erreurs récurrentes que je faisais (ponctuation, confusion simultanéité-complétive, is), parmi les ponctuelles, lol. Rien de bien méchant finalement. - Velonzio Noeudefée a écrit:
- Ce qui est intéressant dans ce genre d'exercice, c'est de pousser à réfléchir différemment ce qui est très bon pour développer sa propre langue.
Je suis d'accord ! Il y a toujours ce petit quelque chose dans la langue du voisin qui provoque un petit déclique à un moment ou un autre. La beauté de l'inspiration universelle. | |
| | | Bedal Modérateur
Messages : 6798 Date d'inscription : 23/06/2014 Localisation : Lyon, France
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 12 Sep 2017 - 23:01 | |
| Promis juré, je rattrape mon retard... bientôt. _________________ "L'Atelier" alas a bin jerli foromte! : L'Atelier est le meilleur des forums Idéolangues : algardien, nardar, helfina, mernien, syrélien, brakin, nurménien, leryen, romanais. Idéomondes : Univers d'Heimdalir, Iles Romanes Non au terrorisme et à la barbarie. Oui à la paix, la fraternité et la solidarité. Quelles que soient notre religion, notre langue ou notre couleur de peau. | |
| | | OriginalOldMan
Messages : 29 Date d'inscription : 14/05/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 17 Sep 2017 - 7:09 | |
| - Leçon 3:
Exo 1: 1. Môd aroski aro irama a = Je le regarde parce qu'il est beau. 2. Isari ni isprah a = Quand j'ai peur, je parle. 3. Nôd tiafi tièkto a = Tu te bats pour que tu deviennes fort. 4. Arosélyoa nè léalwalikwa a = L'herbe est mort là où elle marche. 5. I na aro tisprah a = Tu lui parles de moi.
Exo 2: 1. Si elle sait quelque chose, je le sais aussi = Môd arosafa isafa a 2. Là où tu manges, il fait froid = tivèdla nè arokayéa a 3. Tu lui parle de la fois où tu m'as aidé = I tiata na aro tisprah a 4. J'explique à mon père que hier tu es venu chez moi pour m'aider = Métapa ni nid tiata i tikohos nè iibêb isprah 5. Hier, chez moi, pour m'aider, pour ton père, tu es venu = Métapa idajarka nôd i tiata, nôd tibêb, tikohos.
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 17 Sep 2017 - 12:02 | |
| - OriginalOldMan a écrit:
- Leçon 3:
Exo 1: Sans fauteExo 2: 1. Si elle sait quelque chose, je le sais aussi = Môd Nad arosafa isafa a (à propos de ce qu'elle sait, je le sais) 2. Là où tu manges, il fait froid = tivèdla nè arokayéa a (aro désigne réellement une personne. Si toutefois tu veux mettre un sujet, tu peux mettre celui-ci : "gû") 3. Tu lui parle de la fois où tu m'as aidé = I tiata na aro tisprah a Oui ! Il est aussi possible de traduire : "I tiata ni na aro tisprah a" Les deux dernières phrases étaient assez difficiles, je vais passer plus de temps sur leurs corrections : 4. J'explique à mon père que hier tu es venu chez moi pour m'aider = Métapa ni nid tiata i tikohos nè iibêb isprah Premièrement, il est important de savoir que la phrase donnée, sera trop longue pour être naturelle en deyryck, mais voici comment raisonner. De façon générale, il est bien d'essayer de trouver des faits en partant de la fin de la phrase française vers le début. On a :
- (tu) m'aider = i (ti)ata
- hier tu es venu chez moi = métapa (ni) i tikohos
- j'explique à mon père = ibêb ikûfésa (tu as mis "sprah", en deyryck ce genre de sous entendu est tout à fait légal, c'est un choix intéressant)
Le premier fait noté ici est l'objectif du second. Donc, on aura : Métapa ni nôd i tiata i tikohos a(J'ai mis l'objectif en gras, car tu n'en a pas mis dans ta traduction, et ceux pour les deux dernières. Je pense que c'est plus un oublie lié à la difficulté du travail le précédant) Tout ceci est le propos de ce qui est expliqué au père. Ainsi, la phrase complète serait : Métapa ni nôd i tiata i tikohos na ibêb ikûfésa a C'était la traduction attendue. Cela étant dit, comme je l'ai dis au début, cette phrase est un peu trop lourde pour être naturelle en deyryck. On aura tendance à la découper. On verra de nombreux moyen de le faire. 5. Hier, chez moi, pour m'aider, pour ton père, tu es venu = Métapa idajarka nôd i tiata, nôd tibêb, tikohos. Même remarque que pour vélonzio, jamais de ponctuation en deyryck, cela n'existe pas. ^^ Il aurait d'abord été préférable d'ajouter des synthétiseur pour les deux premiers contextes : Métapa ni idajarka nè nôd i tiata nôd tibêb tikohos Nôd tibêb peut fonctionner, mais on dira plus "nid tibêb" qui est prévu pour ça et qui évitera certaines confusion possible avec nôd. Après ça, comme je l'ai dis auparavant, il manque l'objectif. Avec ces deux modifications, la phrase est bonne : Métapa ni idajarka nè nôd i tiata nid tibêb tikohos a
Concrètement tu as surtout eut faut, sur le deuxième exercice, à la première (mais avait la bonne syntaxe) et à l'avant dernière qui était, très clairement, un gros teste de résistance bien dur. Excellent !! | |
| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 29 Oct 2017 - 15:19 | |
| Leçon 5 : Les objectifs Normalement, un objectif est un terme qui occupe la partie de la phrase qui lui est destinée. La réalité est légèrement plus complexe. Les objectifs sont devenus une forme de terme à part entière. Ainsi, même si leur place ne change pas, on pourrait s'attendre à ce qu'il puisse prendre n'importe qu'elle forme. Ce ne sera jamais le cas (ce serait des objectifs purs, ce que l'on utilisera pas), ils auront une forme clair. Techniquement parlant, cela rend la chose plus simple au finale. Complétion Un objectif peut être complet ou incomplet. Un objectif incomplet permet de définir l'objectif d'un fait qui va faire partie d'un plus grand fait ou qui n'a pas fini d'être défini. Cela permet par exemple de rajouter des idées, ou de faire des pauses voire de bâtir des idées plus complexes. Et, de toute évidence, un objectif complet, lui, indiquera que le fait est bien fini. L'objectif "a", qui indique qu'on le ne précise pas de réel objectif à l'expression de notre fait, est donc un objectif complet. Sa version incomplète sera "o". Exemple : Ti irama o ipiµi ni a = Je te regarde, quand je suis dehors. On remarquera que l'expression est quand même fermée par un objectif complet à la fin. Les objectifs incomplets sont donc très différents des complets car ils vont modifier la structure original de la phrase, on peut le considérer comme des synthétiseurs. On parle de synthèse d'intention (OBJ_S). De plus, les objectifs incomplets possèdent sont des purs synthétiseurs car ils possèdent une autre possibilité de synthèse qui leur est propre. En effet, comme ils sont incomplets, ils peuvent permettre de définir un fait qui n'a pas été exprimé. Ils sont alors positionné en début de fait. Généralement, on suppose que le fait exprimé se passera à la suite du fait sous entendu. Exemple : Je suis en train de jouer à un jeu et ma mère veut que je vienne l'aider, je pourrais dire : O ikohos a = Je finis de jouer et j'arrive. On remarquera que dans ce cas précis, seul le contexte peut permettre de comprendre ce que signifie alors le "o" en début de fait. A partir de maintenant, chaque traduction qui sera donnée sera accompagnée de son contexte. La formation Un objectif peut être naturel, il appartient alors au plumage et sa classe est "objectif". C'est le cas de tous les objectifs vu jusqu'ici. Mais l'objectif est de pouvoir préciser n'importe quel type d'objectif, ainsi, il est possible de créer des objectifs à partir de n'importe quel autre terme. On parle alors d'objectifs non-naturels. Le moyen le plus commun de créer un objectif est d'utiliser une des deux marques suivantes : -(ê)z, -(ê)s. La première permet de créer un objectif incomplet et la seconde un complet. À partir de là, il est difficile de déterminer ce qui se possible de créer comme objectif car tout est possible. Exemples : Je parle à mon ami de ma soirée d'halloween : (ôr')pidza gû kohoss = Il y aura de la pizza , tu devrais venir !((ôr')pidza : pizza gû : pronom impersonnel (ici : il y a) kohos : venir) Je reprends l'exemple de toute à l'heure avec le jeu : ûèrviz ikohos a = Je suis concentré là, donc j'arrive après avoir fini de jouer. (ûèrvi : concentré) Exemples Phrases en français : Je vais en course pour préparer l'anniversaire de mon fils : Je suis pressé, donc je ferais le gâteau en revenant des courses. Tu n'as rien à faire, tu pourrais en profiter pour faire le ménage. Son ami est gentil, je trouve ; il est venu nous aider deux fois après tout. J'oubliais, j'ai choisis la musique. Phrases en deyryck : Mriz iriréya a Nassé tiféra séléséas Arolékisstari sérayaz pasp ata môds Maahacûspéi èndmaras Avec pour vocabulaire : Je = I Tu/Toi = Ti Il/Elle = Aro Ils/Elles = Arès Être pressé = Mri Gâteau = Riréya Rien = Nassé Devoir (obligation d'autrui) = Féra Ménage = Séléséa Amitié/Appréciation = Léka Gentillesse, bonté = Stara Opinion, avis = Séraya Deux fois = Pasp Aide = Ata (Rappel)PRE_S de cause = Môd Musique = Maaha Choix = Cûspéa Oublie = Èndmara Fête = Nééra Merci = Ama Désolé = Omo (Rappel)MARI_S de lien = Mi Mère = Bab Bon goût = élôrga Marque de recommencement (faire à nouveau) = Hâ Graisse/Gros = Vodla Savoir = Safa Indifférence = Cagû Quand même = Léha (Léhi, en début de phrase est toujours considéré comme un contexte) Manger = Védla Pouvoir = Kréi Marque suffixe du passé = pa Marque suffixe de la négation = nû Don, Cadeau = Anaza Venir = Kohos Content = Saka Parler = Sprah MARI_S et = Ta MARI_S ou = To Boisson = Vidla Volonté = Vèyli Peur = Sara (ICI)Beau = ski Chien = (har')daga Soeur = Vav Frère = Vêv Danse = Gaba /!\ L'EXEMPLE PLUS HAUT EST COMPLEXE, SOYEZ SÛRS DE LE COMPRENDRE AVANT DE FAIRE LES EXERCICES. /!\Introduction d'un code couleur. Les questions bleues sont de difficultée normale, les vertes un peu plus dures, les rouges très difficiles et les noires triviales. Exercices d'abordage Pour tous les exercices d'abordage, on se trouve dans la fête d'anniversaire (du fils) annoncé dans l'exemple. Vous pouvez considérer que tout ce qui est appris dans les phrases traduites sert de contexte aux suivantes. Traduisez en français :
- (Fils à mère) Nééra amas
- (Ami au fils) Riréya miélôrgi bab hâs
- (Même conversation) O vodli safas
- (Même conversation) Léhi védla cagû tas élôrgi
- (Ami au fils) Anaza ikréipanû omos
Traduisez en deyryck :
- C'est ma mère qui a fait le gateau, c'est pour ça qu'il est bon.
- Je suis content que tu sois venu.
- Il mange le gateau de ma mère.
- Je parle à mon ami.
- Mon ami et ma mère me parlent.
Exercices de validation (Pas de contexte particulier) Choisissez les bonnes réponses :
- Ma mère et moi sommes heureux. = Ibab ta/misaki i a
- Je ne sais pas si je veux manger ou boire. = vidla ta/to védla ivèyli isafanû a
- Ibab mita ti misaki a = Ta/Ma mère de/et toi/moi est/êtes heureux/heureuse.
- Ivèdla a = Je mange/bois.
- Riréya mimi tibêb miélôrgi a = Ton père trouve mon gateau bon. / Le gateau de ton père est bon.
Corrigez les fautes dans les phrases françaises :
- I tisari a = J'ai peur de toi.
- Bêb miita bab miski a = Mon père et moi sommes beaux.
- Tidaga iléka a = J'aime tes chiens.
- Tivav mita i migaba a = Je danse avec ton frère.
- Ti tagaba i ni isari a = J'ai peur quand je danse avec ta soeur.
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| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Sam 27 Jan 2018 - 8:04 | |
| Je rattrape le retard, tu m'as donné envie sur le chat - Exos:
LEÇON 1
1. Je l’aime. 2. Il te regarde d’au-dehors. 3. Tu me regardes. 4. Je te regarde lorsque tu parles. 5. Je te regarde parler.
Il pleut sur elle → sur elle = (contexte ou cible, je sais pas) ; il pleut = coeur. Je regarde dehors → dehors = (cible ou contexte, j’hésite) ; je regarde = coeur. Dehors, il fait froid → dehors = contexte ; il fait froid = cœur. Mon frère et moi sommes heureux → cœur. Je veux voir mon père → mon père = cible ; je veux voir = cœur.
LEÇON 2
Je regarde sa maison. Je regarde sa maison. Je suis hors de la maison. Je parle au jardinier. (je suis restée dans le thème de la maison, mais c’est « à celui à l’extérieur ») Tu es à la maison avec cette personne quand je suis dehors (= quand je suis pas là, non?)
Aro kasiya’ Piµa irama’ Piµakayéa’ Ibêbsakya Ibêbfio ivèylya
Je te fais peur. Je te parle quand tu as peur. Je regarde mon père. Mon père me regarde. Mon père te parle quand j’ai peur.
Pendant que tu parles = contexte ; j’aime = cœur ; l’ = cible Quand tu étais dehors = contexte ; je parlais = cœur ; lui = cible Je vois = cœur ; une petite personne = cible Mon petit père a froid = cœur Tu donnes froid = cœur ; me = cible
Tisprah aro ilaka’ Tipiμa aro isprah a Lizisûnis irama’ Ilizibêbkayéa’ Je sais pas trop. Un truc type i tikayéa’, je pense
LEÇON 3
1. Je la regarde parce qu’elle est belle. 2. Je parle lorsque j’ai peur. 3. Tu te bats pour avoir de la force. 4. L’herbe est morte à l’endroit où il marche (?) 5. Tu lui parles de moi.
1. Nad arosafa isafa’ 2. Tivèdla nè kayéa’ 3. I tiata na aro tisprah a
J’ai morflé pour les deux suivantes. 4. Métapa ni nôd iata tikohos ibêb ikûféya’ 5. Métapa ni idajarka nè nôd iata nid tibêb tikohos a
1. Ça me semble juste. 2. Il manque avec, je pense. 3. Ça se traduirait plutôt par « Hier je l’ai regardé ». 4. C’est bon. 5. Chelou, mais juste.
1. Oui. Je te regarde. 2. J’y comprends pas grand-chose, donc je sais pas. 3. J’allais dire oui, mais il manque l’objectif. 4. Oui. Je suis amoureux de toi. 5. Euh… J’sais pas.
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Sam 27 Jan 2018 - 12:43 | |
| Tu en sauras plus en lisant, mais je te spoil la fin, c'est très très bien ! - corrections!:
LEÇON 1 Je mets en vert si c'est parfait ! 1. Je l’aime.2. Il te regarde d’au-dehors. Ta phrase est bonne selon le contexte, ici on affirme que le fait se passe dehors, et quand tu dis "d'au dehors", ça sous entends que "ti" est lui à l'intérieur. Ce n'est pas précisé ici donc ça peut être correct. Une version plus simple serait : "Dehors, il te regarde."3. Tu me regardes.4. Je te regarde lorsque tu parles.5. Je te regarde parler.Il pleut sur elle → sur elle = (contexte ou cible, je sais pas) ; il pleut = coeur. C'est une cible. Pourquoi pas un contexte ? Il ne pleut pas seulement sur elle, ce n'est pas vraiment une circonstance du fait qu'il pleut. En revanche, ELLE subit bien le fait qu'il pleuve. Je regarde dehors → dehors = (cible ou contexte, j’hésite) ; je regarde = coeur. Cible, ce que tu as très bien fait dans ton expression plus tard. Dehors, il fait froid → dehors = contexte ; il fait froid = cœur. Mon frère et moi sommes heureux → cœur.Je veux voir mon père → mon père = cible ; je veux voir = cœur. LEÇON 2 Je regarde sa maison.Je regarde sa maison.Je suis hors de la maison. Je parle au jardinier. (je suis restée dans le thème de la maison, mais c’est « à celui à l’extérieur »)Parfait, intéressant le choix du jardinier !Tu es à la maison avec cette personne quand je suis dehors (= quand je suis pas là, non?)Oui, tu peux dire "quand je ne suis pas là", perfecto ! Aro kasiya’Perfecto ! A savoir, il est possible de référencer l'impersonnel (ou l'environnement) avec "gû". (Ce n'était pas précisé hein, je t'offre juste un bonus) Donc tu aurais pu traduire : aro gûkasiya' si tu voulais être plus précis. Piµa irama’Piµakayéa’Il y a beaucoup de manière dont on pouvait traduire cette phrase là. Tu dois savoir, grâce à la leçon sur la post synthèse, qu'on aurait pu dire : piµa nè kayéa' Ou encore piµa nè gûkayéa' Ces deux phrases permettent d'être plus proche du sens original. Cela dit, ta traduction reste meilleure à mes yeux, il faut privilégié le fait de retranscrire l'idée simplement, pas du français. Autre détail, quelque soit l'expression, j'aurais utilisé la forme descriptive, j'aurais donc eu : piµakayéyaVoilà, c'était juste un complément d'information. Ibêbsakya Ibêbfio ivèylya Presque, là c'est plutôt : "Je veux que mon père voit". Il manque juste un espace : "ibêb fio ivèylya".Je te fais peur.Je te parle quand tu as peur.Je regarde mon père.Mon père me regarde.Mon père te parle quand j’ai peur.Pendant que tu parles = contexte ; j’aime = cœur ; l’ = cibleQuand tu étais dehors = contexte ; je parlais = cœur ; lui = cibleJe vois = cœur ; une petite personne = cibleMon petit père a froid = cœur Tu donnes froid = cœur ; me = cible Tisprah aro ilaka’Tipiμa aro isprah aDeux précisions ici : 1) J'aurais plutôt mit "tipiµi", mais ça n'a aucune importance. 2) Tu n'as pas contracté le "a" final et c'est très bien ! Saches que c'est possible mais vulgaire (je le fais tout le temps) de contracté derrière un h. Cela vaut aussi s'il y a vraiment un a après Par exemple : hala' = pas vulgaire ha' = vulgaire ah' = vulgaire Lizisûnis irama’ Presque ! Le sens est quasiment identique, mais c'est bien "fio" et non "rama" qui doit être utilisé pour "voir". Pour le reste la phrase est nickel ! Précision : lizisûnis, comme je te l'avais expliqué hier, est la forme longue pour : "lizis", donc la phrase aurait pu être : "lizis ifio a" (lizis ifiwa)Ilizibêbkayéa’Là, je conseil vraiment fortement la forme descriptive : ilizibêbkayéyaJe sais pas trop. Un truc type i tikayéa’, je pense LEÇON 3 1. Je la regarde parce qu’elle est belle.2. Je parle lorsque j’ai peur.3. Tu te bats pour avoir de la force. (j'aurais mis : pour être/devenir fort, le sens est le même) 4. L’herbe est morte à l’endroit où il marche (?) 5. Tu lui parles de moi.1. Nad arosafa isafa’Celle là était pas simple, GG ! 2. Tivèdla nè kayéa’3. I tiata na aro tisprah aJ’ai morflé pour les deux suivantes. 4. Métapa ni nôd iata tikohos ibêb ikûféya’ Je pourrais presque te l'accorder, elle est compréhensible, mais j'apporte les petits détails :
nôd i ata tikohos tikohos na c'est cette partie là sur laquelle j'insiste puisque c'est l'objectif de la leçon. Maintenant, soyons franc, je considère que tu as réussis cette expression. Du coup, je te propose d'aller plus loin. Cette phrase est longue et est difficilement compréhensible. Du coup, on aura tendance à la découper en deyryck.
métapa ni nôd i ata tikohos a ibêb ikûféya' au passage, si tu peux le retenir, kohos a = k'a, si ca fait trop d'un coup, laisse de côté. Ca donnerait : métapa ni nôd i ata tik'a ibêb ikuféya'
Le na que je t'ai rajouté n'est pas obligatoire, mais devrait être là car le fait derrière est vraiment gros.
En tout cas, bravo ! Cette expression est difficile et peut être traité de beaucoup de manière différente !5. Métapa ni idajarka nè nôd iata nid tibêb tikohos a Avec les corrections précédentes, tu l'auras compris : nôd i ata
Au cas où, j'explique plus pourquoi : pour m'aider, ici c'est comme : pour que tu m'aides. Donc le plus complet est : nôd i tiata Mais, comme c'est évident qui aide, on a : nôd i ata Seulement, si on colle iata, ca donne : pour que j'aide
Ce petit détail mis à part, l'expression est parfaite !1. Ça me semble juste.2. Il manque avec, je pense. Même pas besoin ici, le contexte c'est "moi", cela peut donc correspondre. Cela montre bien l'importance de synthétisé le contexte. ^^3. Ça se traduirait plutôt par « Hier je l’ai regardé ».4. C’est bon.5. Chelou, mais juste.1. Oui. Je te regarde.2. J’y comprends pas grand-chose, donc je sais pas. Haha, ça donnerait : Je te regarde avoir peur que je te regarde tuer.3. J’allais dire oui, mais il manque l’objectif. 4. Oui. Je suis amoureux de toi.5. Euh… J’sais pas. Hihi, ici c'est limite une question de cours. Il y a deux éléments nécessaire pour qu'une expression soit juste (enfin, pour l'instant), il faut le coeur et l'objectif. Comme il y seulement un objectif ici, elle n'est pas juste.Conclusion : Excellents résultats !!! T'as vraiment géré !! Bravo !
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| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 11 Fév 2018 - 22:30 | |
| Ça fait quand même pas mal de temps que j'ai pas pratiqué, surtout une langue aussi particulière, du coup je prévois l'avalanche de fautes. - Exercice 1 - Leçon 4:
Je vais chez toi avec mon père et ma mère Ma sœur et mon amoureux jouent encore et encore avec mon ami et moi Tu l’aimes Ma petite sœur parle à mon père Je suis capable de t’aider et de te parler
Bêb miita bab ivav misprah ifio a Ivavkohos ifèrfio a Myi misarya Myarès ma ta sprah isari mifèrfio a Métapôn ni bêb miita bab i mikohos a
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 11 Fév 2018 - 22:44 | |
| Notre projet est enfin fini, j'ai donc le temps de corriger ça ! Sans faute ! Tout est parfait ! Bravo ! - Petites précisions:
Tu l’aimes
On pourrait même dire : "Toi, tu l'aimes"
Ma petite sœur parle à mon père
En gardant bien l'esprit que c'est une soeur qui est petite, pas "petite soeur" dans le sens soeur plus jeune)
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| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Lun 12 Fév 2018 - 10:51 | |
| Je m'en suis sorti pour le premier exercice, mais alors le second... - Leçon 4 - Exercice 2:
Dans le ciel, il y a la guerre Quand c’est ma mère, je suis heureux -> Ibab ni, je ne voyais pas comment le traduire autrement. Où alors, quand ma mère est heureuse, je le suis aussi? Quand je viens avec toi, je parle à ta sœur -> il n'y avait pas ko dans le voc, j'ai imaginé qu'il s'agissait d'une abréviation de kohos À présent ton père me parle d’hier Je suis venu pour t’aider
Môd tikohos isakya Ivavkohos ni aro isprah a Ivav ibabma ni arès irama’ Nid ikûha èkto nè ièkto a Vaalza nè tima irama’ -> Le ciel c'est en haut, mais je t'accorde que ça veut pas dire là-haut
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Lun 12 Fév 2018 - 13:37 | |
| Encore un sans faute !! En revanche, il y a quelques éléments de perfections possibles : - Leçon 4 - Exercice 2:
Dans le ciel, il y a la guerreékto est le thème de la guerre. èkto celui de la batailleEn français, on utilise guerre pour parler de bataille aussi, donc la traduction est correcte mais : "Il y a une bataille dans le ciel" serait plus exacte par exemple. Quand c’est ma mère, je suis heureux Ta traduction est bonne. J'aurais plus traduit par : "Quand je suis avec ma mère", mais sans contexte, ton interprétation est aussi juste que la mienne. -> il n'y avait pas ko dans le voc, j'ai imaginé qu'il s'agissait d'une abréviation de kohosErreur de ma part, j'ai trop l'habitude de contracté, cela me demande beaucoup d'effort de ne pas le faire dans ces exercices. Tu as vu juste, ko est bien une contraction de kohos ! Bravo !! Vraiment ! Nid ikûha èkto nè ièkto aIl est préférable d'avoir les PRE_S avant les POST_S, donc il aurait été mieux d'avoir : èkto nè nid ikûha ièkto a Mais ça ne change rien à la justesse de l'expression ! -> Le ciel c'est en haut, mais je t'accorde que ça veut pas dire là-haut C'est ce que j'attendais !
T'es super douée ! Bravo !!! | |
| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| | | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Lun 12 Fév 2018 - 21:57 | |
| Oui, ce sera sûrement une des plus dure. | |
| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 13 Fév 2018 - 10:50 | |
| Je n'arrive pas à comprendre comment différencier les objectifs naturels et non-naturels... Est-ce que tu pourrais le réexpliquer autrement ? | |
| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 13 Fév 2018 - 11:40 | |
| - Yatem a écrit:
- Je n'arrive pas à comprendre comment différencier les objectifs naturels et non-naturels... Est-ce que tu pourrais le réexpliquer autrement ?
Avec plaisir, tu parles de différencier leur apparance ou de différencier leur sens ? | |
| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 13 Fév 2018 - 11:42 | |
| À différencier leur sens, quand est-ce qu'on sait quand appliquer l'un ou l'autre, j'ai pas compris . | |
| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Mar 13 Fév 2018 - 11:59 | |
| Une expression est centrée sur un fait, mais parfois exprimé tout un fait en une seule fois est trop lourd, dans ce cas là, on décompose l'expression de la même manière qu'en français on le ferait avec une virgule ou un point virgule. Un objectif incomplet est utilisé lorsque l'on souhaite créé ainsi une décomposition de l'expression. Ainsi, il est possible, de la même manière que pour les objectifs complets (qui vont donc définir la fin définitive de l'expression d'un fait) d'avoir "o" (comme le "a") pour simplement indiquer que le souhaite décomposer l'expression.
La principale utilisation est en début d'expression, ce qui permet d'expliciter un élément implicite non déclaré.
Je suis en TP, je n'ai pas eus beaucoup de temps pour y réfléchir, je réfléchis à une meilleure manière de l'expliquer.
Ils permettent également de compléter une expression si l'on a des informations à rajouter.
Par exemple :
Je suis venu la voir... parce qu'elle me l'avait demandé.
ra iko o môd rablapa' | |
| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Jeu 15 Fév 2018 - 14:01 | |
| Je tente. - Exos:
1) Je te remercie pour la fête 2) Le gâteau est très bon, ta mère devrait en refaire un / Le gâteau est très, on devrait en faire un pour ta mère 3) Si elle en refait un, sache que ça fait grossir / si on en refait un, sache que ça fait grossir 4) Quand même, on mange parce que c’est bon et qu’on s’en fiche de grossir 5) Je suis désolé de ne pas avoir pu t’offrir de cadeau
1) Babriréyapa élôrgis 2) Isaki tikos 3) Ilékis isprah a 4) Lékis miita bab i misprah a
1) Bab tasaki i a 2) Vidla to vèdla ivèyli isafanû a 3) Ma mère et toi êtes heureux 4) Je mange 5) Le gateau de ton père est bon
1) Tu as peur de moi 2) Mon père et ma mère sont beaux 3) J’aime ton chien 4) Ta sœur et moi dansons 5) Quand je danse avec toi j’ai peur
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Jeu 15 Fév 2018 - 17:08 | |
| Très peu d'erreur, il y a une partie que je te propose de refaire, tu verras dans la correction. - Exos:
1) Parfait 2 - 4) Tes traductions montrent que tu as plutôt bien compris les objectifs, par contre, comme il y a un petit soucis dans la première traduction, cela impacte également les suivante, j'y refais allusion plus tard. 5) Parfait ! Je fais une petite parenthèse pour te donner une précision qui pourrait t'intéresser. Quand je corrige tes exercices, je commence par réécrire tes réponses, puis les traduire et seulement après je compare avec les exercices dont toi tu es partie. 1) Parfait (exactement ce que j'ai traduis) 2) Parfait 3) Presque parfait, il n'y a rien a redire sur ta traduction, mais elle correspond à la quatrième question et non à la troisième, tu as skippé une question. ^^ 4) Parfait ! Le but de ces deux dernières question était de vérifier que tu es capable d'avoir le recule nécessaire pour ne PAS utiliser d'objectif non naturels. 1) Très bien 2) Parfait, si ça t'intéresse : safanû a == safana 3) Nickel ! 4) Parfait ! 5) "Le gateau de ton père est bon" => Très bien, et c'est là que je reviens sur le premier exercice. Voici l'expression qui a donné cette phrase : Riréya mimi tibêb miélôrgi aVoici une autre expression équivalente : riréya miélôrgi tibêb aSi tu comprends bien ça, je te propose de reprendre les trois questions que j'ai mis de côté et d'essayer de refaire leurs traductions. 1) Parfait 2) Parfait 3) Parfait 4) Parfait 5) "Quand je danse avec toi j’ai peur" Le plus littérale possible serait : "Quand toi et moi dansons, j'ai peur." Ce qui effectivement est équivalent aussi longtemps ou nous dansons ensemble Donc oui, c'est correcte !
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| | | Aquila Ex Machina
Messages : 2163 Date d'inscription : 15/01/2012 Localisation : Reims
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Jeu 15 Fév 2018 - 18:44 | |
| La leçon 5 ayant été atteinte, je me permets de poster la sixième leçon. Leçon 6 : Les contractables Les contractables sont des éléments capable de passer de l'état de thème à celui de marque. Le terme général désignant un élément capable de passer d'un niveau à un autre est "semi". Ici, les contractables peuvent donc passer du niveau 3 (thème) au niveau 4 (marque) ce sont donc des semi-4. On peut parler d'augmentation ou level-up lorsqu'un semi passe de son niveau inférieur à son niveau supérieur. Un contractable peut être faible ou fort. S'il est faible, alors il conservera son sens originel. S'il est fort, alors son change après son augmentation changera (peu ou beaucoup). En fonction de la région, il existe entre 6 et 10 contractables (semi-4). Nous verrons dans cette leçon les 6 principaux. Ils bien répartis, il en existe trois forts et trois faibles. Contractables faibles Les contractables faibles sont les suivants :
- vèyli : volonté ; donne la marque -li
- kréi : pouvoir ; donne la marque -réi
- démo : devoir ; donne la marque -mo
Exemple : Je veux manger = vèdla i vèyli a => ivèdla li a Je peux manger = vèdla i kréi a => ivèdla réi a Je dois manger = vèdla i démo a => ivèdla mo a L'augmentation de ces contractables altèrent en réalité légèrement le sens. De façon générale, le deyryck possède un principe de perte de précision lorsque l'on contracte. En effet, il existe plusieurs manières d'exprimer chacune des ces notions en deyryck : Pour la volonté :
- vèyli : volonté
- tira : désire
- tcokika : besoin
Pour le pouvoir :
- kréi : capacité
- tayna : autorisation
- gwéa : possibilité
Pour le devoir :
- démo : devoir personnel
- féra : devoir par rapport à autrui
- afio : nécessité
Ces distinctions ne se font plus après une augmentation et seul le contexte permet alors de déterminer quel type de volonté, pouvoir, devoir est considéré. Contractables forts Le premier contractable fort à connaître est " kohos". Il donne la marque " -hos" et indique un fait qui est en cours. Exemple :Aro irama a = Je le regarde. Aro irama hos a = Je suis entrain de le regarder. Le deuxième contractable fort le plus important à connaître est " kèrkéi". Il donne la marque " -kéi" et indique le savoir faire. Exemple : inéméa a = je nage. inéméa kéi a = je sais nager. - [FACULTATIF] Le troisième contractable fort:
Le troisième contractable fort est beaucoup moins utilisé que les deux autres. Il est un peu plus compliqué à utiliser, il faut être un peu concentrer. Il s'agit de "fio". La principale différence et qu'il ne donne pas une marque mais quatre : -fio, -fia, -fiâ, -fiô. Ces marques expriment une forme passive, le fait d'"être vu faire". Dans le cas de "fiô" et "fiâ", c'est le fait d'être vu par plusieurs personne. Une distinction assez simple d'avec respectivement "fio" et "fia". La question qui se pose alors et "qui voit ?". C'est là qu'il faut être concentré. Originellement l'augmentation ne donnait que les marques "fia" et "fiâ" et permettait de dire qu'un des deux locuteurs étaient vu par l'autre. Ainsi, on avait :
tima a = tu joues timafia a = je te vois jouer timafiâ a = nous te voyons jouer
ima a = je joue imafia a = tu me vois jouer imafiâ a = vous me voyez jouer
Extensible à un pluriel :
loma a = vous jouez. lomafia a = je vous vois jouer.
"Fio" et "fiô" arrivent ensuite pour permettre de parler d'un observateur extérieur :
ima a = je joue. imafio a = il me voit jouer. imafiô a = ils me voient jouer.
Et enfin, encore plus tard, a été ajouté la possibilité d'utiliser ces marques pour un élément extérieur. "fio" devenant l'émetteur et "fia" le récepteur dans la conversation.
aroma a = il joue. aromafio a = je le vois jouer. aromafia a = tu le vois jouer. aromafiâ a = vous le voyez jouer.
Le principe de la perte d'information est également à l'action ici, ainsi, il n'y a plus de distinction entre vision, regard et observation.
Exemples Phrases en français : Je veux venir te voir. Tu ne peux pas regarder. Quand j'aurais finis, je pourrais t'aider. Il doit le lire. Phrases en deyryck : ti ikohosli a tiramaréinû a o ti iataréi a id arobéramo a - Vocabulaire:
Je = I Tu/Toi = Ti Il/Elle = Aro Ils/Elles = Arès Impersonnel = Gû Être pressé = Mri Gâteau = Riréya Rien = Nassé Devoir (obligation d'autrui) = Féra Ménage = Séléséa Amitié/Appréciation = Léka Gentillesse, bonté = Stara Opinion, avis = Séraya Deux fois = Pasp Aide = Ata (Rappel)PRE_S de cause = Môd Musique = Maaha Choix = Cûspéa Oublie = Èndmara Fête = Nééra Merci = Ama Désolé = Omo (Rappel)MARI_S de lien = Mi Mère = Bab Bon goût = élôrga Marque de recommencement (faire à nouveau) = Hâ Graisse/Gros = Vodla Savoir = Safa Indifférence = Cagû Quand même = Léha (Léhi, en début de phrase est toujours considéré comme un contexte) Manger = Védla Pouvoir = Kréi Marque suffixe du passé = pa Marque suffixe du futur = pôn Marque suffixe de la négation = nû Marque suffixe de ce qui c'est déjà produit = hô Don, Cadeau = Anaza Venir = Kohos Content = Saka Parler = Sprah MARI_S et = Ta MARI_S ou = To Boisson = Vidla Volonté = Vèyli Peur = Sara (ICI)Beau = ski Chien = (har')daga Soeur = Vav Frère = Vêv Danse = Gaba Lire = Béra Ordinateur = Kontara Fils = Mêm Id = ça, ce, cela Idén = Ceux, Ces PRE_S d'objectif = Nôd Sinon = nui (expliqué dans une leçon ultérieure) Achat, dépense = sàakta Prix élevé = jàgda Mais, malgré tout, pourtant = Ano Solution (à un problème) = Idrida Baisse des prix, solde = Zàgzàg Idéal = Sasca PRE_S de bénéficiaire = Nid Utilisation = éba Vérité = has' / hos' (has' => vérité absolue, hos' => ce que l'on est persuadé qui est vrai) Temps = mota Vrai temps => has'mota Perdre son temps = Dépense de vrai temps Prudence = bôloma Jalousie = vèloa Accod = kah Supposition = sérona Oui = Sa' Image, montre = amina Déception = mowa
Exercices d'abordage Pour tous les exercices d'abordage, on se trouve dans un supermarché. Vous pouvez considérer que tout ce qui est appris dans les phrases traduites sert de contexte aux suivantes. Traduisez en français :
- (A un vendeur dans les rayons) kontarali mêms
- (Vendeur en montrant deux type d'ordinateurs) nôd ma idén sàaktamo o nui idén ga
- (Au vendeur en montrant le premier) id isàaktaréinû jàgdas ano mêmmali a
- (Le vendeur montrant un troisième type) idénzàgzàghos idridas
- (Au vendeur) sasca amas
Traduisez en deyryck :(Après être rentré du super marché)
- (Vous) J'ai acheté un ordinateur.
- (Fils) Je ne savais pas que tu savais te servir d'un ordinateur.
- (Vous) Il n'est pas pour moi. Tu en voulais un.
- (Fils) Merci.
- (Vous) Tu pourras jouer avec.
Exercices de validation Traduisez en deyryck : (Le fils avec ses amis : Jules et Julie)
- (Fils) Je suis content, mon père m'a acheté un ordinateur.
- (Julie) Fais attention à ne pas perdre ton temps avec.
- (Jules) Ma mère ne veut pas m'en acheter, je suis jaloux.
- (Fils) Je veux bien que tu utilises le mien.
- (Jules) Tu es gentil, merci.
Traduisez en français :(Le fils avec sa mère)
- (Fils) nid i kontara bêbsàakta safas
- (Mère) safahô a
- (Fils) bêb séronas
- (Mère) sa' nad id i bêbaminapa a
- (Fils) ti amina ivèylipa mowas
Dernière édition par Chaest le Lun 26 Fév 2018 - 14:03, édité 2 fois | |
| | | Yatem
Messages : 902 Date d'inscription : 26/02/2017
| Sujet: Re: Leçons de deyryck Dim 25 Fév 2018 - 23:33 | |
| - Exos:
1) Je voudrais prendre un ordinateur pour mon fils 2) Si c’est pour jouer, vous devriez acheter ceux-là sinon il y a ceux-là 3) Je ne peux pas acheter celui-là à cause du prix mais mon fils en veut un pour jouer 4) Ceux-là sont en solde, ça serait une solution 5) C’est parfait, merci
1) Kontara isàaktapa’ 2) Kontara tiébakéi ikèrkéipanû a 3) Nid inû id tivèylipas 4) Anaza amas 5) Id timaréipôn a
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