Les 3 autres modes - interrogatif suivi de ne - impératif+ca, pas d'impératif passé : -isca, -aisca, -irca (notons l'existence d'un impératif de futur proche aisca, plus probable d'ailleurs que celui de futur lointain, mais j'aime bien la forme irca) la forme conditionnelle de demande polie est donc en -iet - exclamatif +c : iüc, isc, aisc, irc, ielc
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Dim 28 Juin 2020 - 16:22
Ainsi "Le chat dort." devient : Te gat snoris. à la place de Te gat snora-si.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Dim 28 Juin 2020 - 17:32
Tu as donc un conditionnel futur. Chose temps que je ne peux pas avoir puisque chez moi, les particules modo-temporelles auxquelles font partie mir (futur) et kjas (conditionnel) ne peuvent pas se combiner entre elles*.
J'ai vu que "chat" se dit gat. Je me sens donc un peu ici en pays de connaissance. Tu as des flexions particulières pour le chat ♂ et la chatte ?
*Je me débrouille autrement (avec le mode vu verbe derrière), mais je ne peux pas de donner de dét ails ici, pour ne pas troller.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Dim 28 Juin 2020 - 22:25
euh non, le conditionnel est à part, ni passé, ni présent, ni futur, juste conditionnel, l'irréel est considéré comme un temps à part, puisqu'irréel.
Pour chat, oui : te gat neutre, to gato, masculin, ta gatesa, féminin Je vais vérifier, mais je croyais en avoir parlé, le féminin par politesse se forme selon un principe racine+e+lettre dérivée+a (ce qui est la forme de politesse M. le chat, le chat serait to gateso) et s'appelle la dérivation définitive. Il me semble qu'il y a une forme en -a, considéré comme moins respectueuse, polie, mais plus égalitaire avec juste la mutation de la dernière consonne de la racine, ici : ta gasa, c'est la dérivation ponctuelle.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Dim 28 Juin 2020 - 22:44
Velonzio Noeudefée a écrit:
Il me semble qu'il y a une forme en -a, considéré comme moins respectueuse, polie, mais plus égalitaire avec juste la mutation de la dernière consonne de la racine, ici : ta gasa, c'est la dérivation ponctuelle.
Laquelle me paraît équilibrée (même nombre de syllabes)... sauf que pourquoi le -T- s'est transmuté en -S- ? Le -T- ne faisait-il pas partie du radical, ou bien s'agit-il d'une mutation orthographique devant un -A ? Là, j'pige pas.
Pour le mode conditionnel, excuse, j'avais mal lu.
Comment tu traduirais ?
S'il était élu, je serais content S'il avait été élu, j'aurais été content.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Lun 29 Juin 2020 - 10:16
Conditionnel, tout au conditionnel les deux propositions, éventuellement tu les contextualiserais si Untel conditionnel élu, Je conditionnel content. Du coup tu sauras, si c'est l'élection qui a eu lieu ou bien celle à venir.
Parce que c'est le principe du Vélangz, tu as un fléchissement de la phrase par mutation : - dite définitive racine+e+version mutée de la dernière consonne du radical+a, qui peut être employée pour plein de chose dont la politesse et le féminin (il y a les articles mais il faut que je vérifie l'indéfinie, possessif et démonstratif, comment je les genres) - dite ponctuelle, plus rapide, considérée comme moins polie, où seule mute la dernière consonne du radical Le genre est le neutre par défaut pour rappel, la question mâle ou femelle ne se pose que ce pour ce qui peut concerner des animés : êtres humains, leurs fonctions, animaux.
Le seul inconvénient à ce système est qu'entre le féminin et une tournure polie, seuls changeront les déterminants. A moins que je ne crée une version polie neutre. En -ae, par exemple.
chat (neutre) : gat chat (féminin) : gatesa (gasa) chat (masculin) : gato chat (poli) : gatesa gates ou gatesae
Extrait de mon 5ème post:
Velonzio Noeudefée a écrit:
Brouillon fleuve n°2 L'en-cas principal : fléchissement et primitivisation
Le fléchissement correspond à un sens, par exemple m-> b, b-> v, v->m. La primitivisation, le nom correspond à primitive en mathématiques, puisque j'envisage le fléchissement comme la dérivation en mathématiques, donc v->b, b-> m, m->v.
J'envisage deux choses à propos du fléchissement. La première c'est une multiplicité d'emploi comme : - politesse - formation partielle du féminin, qui cumulera en outre l'emploi fréquent de -a (pour l'instant) - formation du conditionnel à partir du futur - formation de sens dérivés - parmi ceux-ci la formation de certaines classes ou natures comme déterminant et adverbe et un fléchissement des adverbes pourrait me donner les prépositions/conjonctions - diminutif et comparatif d'infériorité, voire superlatif dans le sens moins
Le contraire, la primitivisation pourra me servir pour : - formation de sens dérivés - et parmi ceux-ci la formation d'éléments clitiques ou prête-noms (fonctions), comme par exemple les pronoms. - diminutif et comparatif de supériorité, voire superlatif dans le sens plus
L'autre idée, pour l'instant, que peu exploitée serait d'avoir deux degré : - un ponctuel : simple mutation de la dernière consonne - un définitif, qui correspond beaucoup plus au vrai fléchissement, tel-que je l'envisage
Par exemple en reprenant tera : tout porte sur la deuxième consonne, le r - fléchissement simple : tela - fléchissement définitif : terela - primativisation : ici tla, r ne faisant parti que d'un couple à moins comme en egwaris que j'y associe les glides (et nasales, mais elles sont déjà prises, ou voyelles comme l,j,i et r, w, u) donc dans ce dernier cas, nous aurions tewa, terewa, tu(-a). Avec un autre mot comme tema : - fléchissement simple : teba - fléchissement définitif : temeba - primativisation : ici tva,
Le fléchissement simple est une mutation. Pour le définitif, j'ai choisi de le faire dans ce sens pour conserver la racine, il est forcément plus long que la racine, tout comme la primitivisation donne des mots logiquement plus courts (si infaisable pour des raisons de prononciation, au moins de même longueur). Mais c'est par exemple en l'appliquant dans l'autre sens que la particule future ri, devient leri.
Y'a des choses desquelles je suis revenu (comme les classes ou la dérivation lexicale, enfin à voir), mais c'est l'idée générale.
En fait sauf obséquiosité, politesse excessive, mondanité, le genre est très peu marqué, c'est mal vu. Si besoin, il est marqué un peu au début d'un paragraphe ou texte deux ou trois fois, puis tout est mis au neutre. Rien n'empêche de le marquer autrement en ajoutant un adjectif femelle ou mâle.
J'ai revu l'indéfini neutre décliné est donc : ien, iem, et au neutre on ajoute -a ou -o aux finales. D'un chat : gatuin (pl. gatuij) du chat : gatuit (pl: gatuis)
femelle cela devient : gatuina, gatuita mâle cela devient : gatuino, gatuito
Comme on le voit le genre n'est qu'un ajout, après avoir décliné le nom et non pas avant. Parler de gatesuin, gatesuit, formes dérivées au génitif : pourrait signifier tout autre chose, comme un dérivée lexical, par exemple si je me base sur des langues IE : le sexe.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Lun 29 Juin 2020 - 10:43
Velonzio Noeudefée a écrit:
En fait sauf obséquiosité, politesse excessive, mondanité, le genre est très peu marqué, c'est mal vu. Si besoin, il est marqué un peu au début d'un paragraphe ou texte deux ou trois fois, puis tout est mis au neutre. Rien n'empêche de le marquer autrement en ajoutant un adjectif femelle ou mâle.
J'ai revu l'indéfini neutre décliné est donc : ien, iem, et au neutre on ajoute -a ou -o aux finales. D'un chat : gatuin (pl. gatuij) du chat : gatuit (pl: gatuis)
femelle cela devient : gatuina, gatuita mâle cela devient : gatuino, gatuito
Comme on le voit le genre n'est qu'un ajout, après avoir décliné le nom et non pas avant. Parler de gatesuin, gatesuit, formes dérivées au génitif : pourrait signifier tout autre chose, comme un dérivée lexical, par exemple si je me base sur des langues IE : le sexe.
J'comprends tout-à-fait l'problème. Moi aussi, je n'indique le genre que lorsque je veux lever une ambigüité. Dans des phrases d'idée générale (le président dirige le pays, il est élu pour cinq ans), je ne le mets jamais, et le nom reste neutre : (à præsident direk àt laṅdes; a cem enlèk ber pent jàreve).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 30 Juin 2020 - 19:59
Je crée quand tout va bien entre 2 et 6-7 mots tous les deux jours en Vélangz.
Par exemple hier, j'ai créé : - csump : groupe - csumpa-si : associer, assembler, grouper - sidya-si : lier attacher - todyiasc : auberge, hôtel
Le coup d'avant, si je me plante pas dans mes calculs : - tselvia : vieux - traspol : ville - qvide-ip : village - iolfren : violet, lilas - frôcs : face, figure - varcen : voiture, machine - sqvit : vue avec sqvita-si/sqvitis : voir En recyclant dets, ex ville provisoire en carré, quartier
Je suis à quelques mots d'avoir fini les entrées en français en A, B et Z (en plus des 80 premières entrées m^^elées Toki po,na/Swadesh).
Aujourd'hui, j'ai été soft, je me suis payé une bonne indigestion-gastro.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Ven 3 Juil 2020 - 13:50
En construisant mon vocabulaire, j'imagine des phrases :
Les nuages couvrent le ciel. Se çaame ten elie cetelpa-sin. (nuage : çaam m'a été inspiré par une langue de Bedal) Les enfants vont à l'école. Se pampints tem scoire ambis.
Un sujet de réflexion va être au niveau de l'action/état, une possibilité : Les enfants sont à l'école. Se pampints èns scoire. Littéralement : les enfants dans l'école Qui pourrait être verbalisé ainsi : Se pampints ènscoira-si. Du coup avec là : tred Les enfants sont là : Se pampints treda-si. Les enfants ne sont pas là, ils sont à l'école. : Se pampints treda-nosi, ènscoira-sin. Mais pour dire les enfants ne sont pas là, je pourrais pour l'instant aussi dire : se pampints no tred (Les enfants pas là)
A moins que l'état ne se conjugue que sur la première partie adjectivale et n'ait pas de particule verbale transitive, auquel cas c'est le sujet connu qui donnerait la personne : se pampints no treda Je ne suis pas là : no tredo (On imaginera qu'à l'école pour répondre: tred ou tredo seraient des formes convenues, on peut aussi employer çir : ici). Tu es là ? : tredas ne ? (ne : interrogation) Il est là ! : tredac ! (c : exclamation) Il resterait le pluriel.
Autre sujet le présentatif : c'est/il y a, etc., pour l'instant j'en ai pas trop, j'ai mon vieux moyen suok : tsec.
Cet enfant se dit : lue pampint et au pluriel ces enfants : lues pampints. L'exclamatif que cet enfant est beau donnera : Lue pampint galasta-sic ! au lieu de lue pampint galasta-si. Cet enfant est beau.
Du coup, je me disais que pour dire : "c'est un bel enfant.", je pourrais en m'inspirant du -c exclamatif, créé un suffixe -ca pour la première partie verbale, ainsi U galasta pampintca-si.
Là encore, négation et interrogation sont proches, ou bien présentatif, impératif.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Sam 4 Juil 2020 - 20:14
Comme hier, une petite phrase pour mettre en oeuvre un peu de vocabulaire. Je sais qu'en terme de sens, ça ne vole pas très haut, à des hauteurs hautement philosophiques, intellectuelles ou littéraires avec des doubles ou triple sens et des 2ème et 3ème degrés, mais faut bien un début.
Se miançus ense traspole ise acrolde csivis. /se.mjan.ʃus.ɛn.se.tras.po.le.i.se.a.krɔl.de.ksi.vis/
Les humains vivent dans les villes et les champs.
On remarque l'agglutination préposition/conjonction avec le déterminant ; - ens+se : ense - is+se : ise
La sonorité et l'aspect en même temps proche et étrange continue de me plaire.
Pour l'instant me plaisent : - le présentatif - l'état avec adjectif + flexion personnel ce qui me chagrine encore : - la proximité présentatif/impératif -> présentatif : -etç/-tçe U galasta pampintetç-si. - état adjectif+flexion de personne, oui mais au pluriel ? (éventuellement je pourrais y ajouter un principe de copule comme "=", à voir comment je le traduis ce signe, symbole et principe mathématique_rapidement avoir corc et une version plurielle corcs quand nécessaire)
tredo : je suis là, voire tredoc je suis là ! mais corcs tredo[i] : nous sommes là. et les enfants sont là : [i]Se pampints tred et la négation Se pampints no tred
Mais au présentatif, on garderait les particules verbales en-si (normal ça introduit un complément, en le thématisant).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mer 8 Juil 2020 - 20:41
Sur les 994 lignes de racines à créer que j'ai, j'en ai déjà créées/vérifiées environ 330. Plus que 660, notamment à vérifier (pour celles qui ne me plaisent pas), je dois n'en avoir qu'environ 300 à créer.
Les dernières créées/vérifiées, plus ou moins originales ou standards : cri (animal) : excle-ic nombre : numer plus : niums fruit : frut graine : sern feuille : falc racine : radecs herbe : sorgra chair, viande : csalp graisse : sperl corne : corn plume : frombe
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Anoev Modérateur
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mer 8 Juil 2020 - 21:09
Velonzio Noeudefée a écrit:
On remarque l'entrée du kh /χ/.
Ça m'rappelle des souv'nirs*.
*Chez moi, aujourd'hui remplacé par Q. Je n'eus jamais eu de mots en khu, sinon je n'aurais jamais pu faire cette modif.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Jeu 9 Juil 2020 - 9:07
J'ai essayé à mon habitude de monter quelques phrases avec le vocabulaire créé.
W'excle-ic èns te doxemuit (toyiascuit/gasteluit/galacsuit) csamei. U granda numer tui fruts, serne, falcs, radecs isui frombes. Te csamei nasatçe. Tenarm kwe lw'excle-iqiva nan soitata-si ne.
traduction littérale:
Un cri dans la chambre de la maison (l'hôtel/le château/le palais). Un grand nombre de fruits, graines, feuilles, racines et plumes. La chambre est vide. Mais où cet ayant crié ellui est situé ?
Je suis content de commencer à pouvoir réaliser de très courts textes. L'avantage, c'est que cela me permet de mettre au point certaines modalités de traduction. ici, on voit qu' - une énumération partitive complément du nom peut être nom+génitif introduit par tête singulière+noms au pluriel (génitif repris sur le et : is) précédant le dernier terme - une attribution copule, peut être traduite par le présentatif : la chambre (csamei) est vide (nasa) = la chambre c'est vide te csamei nasatçe. - possibilité de transformer la relative en un verbe adjectivisé (forme participiale chez nous) excle-iqiva = excle-iqiü+a=excle-ic+iv+a donc crier+passé (pas forcément achevé, ici pour le coup)+marque adjectivale - pas besoin de ponctuation - l'article u+voyelle se déforme en w', doublet (u, w) - de la même manière la suite lue excle-iqiva devient lu'excle-iqiva
Vous me diriez et me feriez relever mon erreur de cohérence que excle-ic est a priori un cri animal et que je n'ai pas encore statuer si c'est un cri tout court ou non
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 14 Juil 2020 - 21:19
J'ai attaqué la série des t, quelques mots alors
table (pour manger) : bastel table, tableau (excel, des matières, etc.) : tabel tableau (d'école) : blatrecs tard : drast tendre (verbe) : steinda-si (tr.), steindis (intr.) temple : temdein tenir : tecensa-si (tr;), tecenis-si (intr.) tôt : pret
et j'ai ajouté : monument : bemal
Je me rends compte avoir ajouté quelques mots (sans les avoir indiqués à ma liste de base, en fonction d emots que je trouve et que je garde car j'en apprécie les sonorités mais dont je détourne l'usage ou bien comme ça). Ca vous est-il arrivé
Du coup mon lexique de niveau 1 pour agglomération peut ne jamais être vraiment fini façon suok, à voir si c'est gênant.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Ven 17 Juil 2020 - 23:39
J'ai créé le mot du jour noisette : qiosel (et noisetier, mais c'est une agglutination avec arbre)
Sinon avec le principe des racines transvélonzquiennes, j'ai environ 65% de ma liste première totale (environ 1005 lignes) de fourni, dont 41% en tout de vérifier, travailler, au moins en première passe (ce qui représente 63% des 65%). Il y aura forcément une passe finale de re-vérification des doublons. Je travaille mon lexique sous excel, ce qui signifie, mise en forme établissement des formes plurielles, contrôle de la régularité de celles-ci, notation de leurs irrégularités, je dois avoir au total 10 ou moins irrégularités (les 41% vérifiés représente en gros 410 lignes). Ca me fera 240 lignes créées à vérifier, compléter et 350 à créer.
Je suis aussi en train de tenter de qualifier mes racines, pour les classer, afin justement de déterminer au moins deux niveaux de lexique. Par exemple arbre et animal sont des termes qualifiés de "général", car des génériques (donc lexique de niveau 1), mais ensuite en sous familles, je peux avoir les noms courants d'arbre : chêne, hêtre, saule...ou d'animaux : poule, renard, blaireau, ours... Quant au nom de classification scientifique, ce serait du niveau 3, mais il devrait être possible de les reprendre tels quels.
Je réfléchis à employer mes deux nombres collectifs/ensemblifs, c'ets à dire étendre le duel pour ce qui va par paire à du paucal dans les autres cas, soit environ 5, voire 10, et le second un ordre beaucoup plus grand au moins supérieur à 15 ou 20 et selon le contexte pouvant être universel. avec humain : miançus Un couple ou quelques humains : miançusôs Beaucoup d'humains, un groupe, un attroupement, une foule, une troupe, voire tous les êtres huamains : miançusen Mais en comptant avec des nombres, on se contenterait du pluriel simple ici : miançuse
J'ai confirmé une source originale pour pied, car provenant du suok avec çnutç Je vous fait grâce du détail de lexique.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Sam 18 Juil 2020 - 22:58
Deux choses, aujourd'hui j'ai fini ma petite série en cours avec deux mots qui m'ont donner du fil à retordre où j'ai dû combiner deux fois ma méthode pour chacun pour les créer. Du coup, - conseil : biandict (j'aime bien la proximité avec bénédictin et blanc-dit) - tromper : precsinda-si (déformation de pregtinda)
Je n'interviendrais pas pour si peu. Hier, je n'ai pas dit que certains mots associés à la guerre, à la violence ou aux armes étaient en attente d'une deuxième racine mal pour y être aggloméré, car ces racines ne pouvant en elles-mêmes être utilisées (c'est un choix personnel). Puis, trouvant que ça faisait peut être long et voyant la faible, voire non utilisation de ma voyelle ü, ces racines se verront affligées d'un suffixe -ü. Suffixa car non porteur du pluriel, le premier élément passe au pluriel et prend le suffixe -ü. A voir, si j'étendrais ce suffixe à d'autres usages comme une stigmatisation (thématisation) ou pas.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Sam 25 Juil 2020 - 21:02
Donc, 368 premières lignes vérifiées, plus les 86 dernières, soit environ 45% de mes 1008 entrées lexicales à créer. Ces racines sont aussi classées par niveau de lexique L1, L2, mais aussi emprunts et mots composés.
Je rappelle mes principes : - une liste de racines premières de niveau 1 - le niveau 2 correspond à des termes plus spécifiques, comme par exemple les différents type d'arbre, alors qu'arbre fait partie de la liste de niveau 1 - une partie du lexique est fait par composition, autrement dit agglomération, prioritairement avec les racines de niveau 1, éventuellement celles de niveau 2 - je mets à part quelques emprunts d'emploi hyper spécifique comme zen, ieti dans le lexique L2.
Je dois re-vérifier les quelques emprunts, inspirations faites à vous autres collègues, notamment Lal et un peu Bedal, et peut être Anoev et Ziecken.
En raison du collectif-duel, il existe aussi d'autres termes employés sporadiquement et rarement ou populairement, un peu comme douzaine et livre (500g) sur les marchés et chez les commerçants dans notre langue.
Les deux racines latines duo et qvinc au milieu des autres plus fantaisistes vous gênent-elles ou non (C'est une question que je me suis posée).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Lun 27 Juil 2020 - 21:06
Mise en oeuvre d'un peu de vocabulaire créé récemment.
- Non sem zircsfiesta ambia-nosai, dus non es sporlna ac-vircem. - Ov muda, ne ? - Non sen noi csameiuit sfrent closda-si.
- Il ne va pas aller à la fête du feu, car il est vraiment très fier. - Ou fatigué ? - Il ferme la fenêtre de sa chambre.
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Anoev Modérateur
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Lun 27 Juil 2020 - 21:40
Velonzio Noeudefée a écrit:
Mise en oeuvre d'un peu de vocabulaire créé récemment.
- Non sem zircsfiesta ambia-nosai, dus non es sporlna ac-vircem.
- Il ne va pas aller à la fête du feu, car il est vraiment très fier.
Comment traduis-tu ac-vircem (à supposer que ce soit "fier" : je ne maîtrise pas la syntaxe velangz) ? Avec le premier ou le troisième sens (j'exclus le deuxième ; j'opterais bien pour le troisième, en fait) ?
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 28 Juil 2020 - 8:40
Ton message m'a plu et amusé, en cela que mon métissage de racine n'est pas transparent ce qui me convient.
Ac-vircem, le -m final indique que c'est un adverbe construit régulièrement et la racine virc correspond à vrai. Le ac pouvant être antéposé et servant d'intensificateur.
donc fier, c'est sporlna entre le superbus latin le stolz allemand et le stol uropi, et d'autres choses. Les adjectifs sont en -a la plupart du temps, à moins d'être liés en a, mais il existe des noms aussi en a. L'adjectif épithète est placé devant le nom et le groupe nominal est introduit par un article L'attribut est placé après Le postposé, si existant, doit être séparé par une virgule.
Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit) Je rêve que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.
Dernière édition par Velonzio Noeudefée le Jeu 17 Sep 2020 - 22:33, édité 1 fois
Anoev Modérateur
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 28 Juil 2020 - 9:04
Donc, je n'ai pas compris la syntaxe velangz. Quoi qu'il en soit, je vais compléter le pavé de {{Fier adj.}} avec sprolna pour le velangz.
C'est fait. Dans ma lancée, j'vais traiter stol en uropi. La page existe déjà, mais pour le sambahsa (chaise).
De ton côté, tu pourras traiter sprolna. Les deux miens sont traités. Y me manque le deuxième sens, inusité dans c'cas-là.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 28 Juil 2020 - 13:52
Merci.
Oui et non, c'est prévu, mais après avoir développé tout mon premier corpus de racine, car si par souci de cohérence, je dois y reprendre quelque chose, je règle tout d'un coup. C'est un peu long et fastidieux, mais efficace. Donc, en ce moment, je développe mon lexique.
Idéolexique, c'est l'étape d'après
Je réfléchis à donner toutes les formes verbales d'un même verbe, dans l'ordre alphabétique, mais il y en a un paquet (imaginez en français), sans compter que dans mon long post avec tableaux en page 2, deux tableaux y sont consacrés. Juste niveau syntaxique le verbe est à la fin, puisqu'il donne aussi le type de phrase.
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mar 28 Juil 2020 - 15:02
Velonzio Noeudefée a écrit:
Juste niveau syntaxique le verbe est à la fin, puisqu'il donne aussi le type de phrase.
Comme en allemand, donc... J'tâch'rai d'm'en souv'nir (même si c'est une syntaxe qui n'a rien d'évident... pour moi, je précise).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Mer 29 Juil 2020 - 23:03
Plutôt comme en coréen (en allemand, ce n'est que dans les subordonnées).
Tout ça pour ça. Je cherchais foie, j'avais importé guamos et sult, là conflit, avec ma méthode à base IE, j'arrive à lievart, je trouve yienult (guamos+sult selon une trame lievart) ,et en m'inspirant de graisse dyers, je crée dyemolcs. Entre temps car d'une part je l'avais lié à foie en suok, je crée à base IE déformée conversion, transformation en smiotean et pensant repartir de la racine smiot (smiorts au départ), je crée organe, qui sous réserve devrait être organ. Pour, au final, garder guamos. Entre autres choses, j'y ai passé mon début de matinée et ma fin de soirée. (J'ai gardé comme suggestion pour d'autres mots : sult, lievart, yienult, dyemolcs).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues Jeu 30 Juil 2020 - 23:52
J'hésite en vélangz à modifier le participe présent actuellement en -ans/-ant, miama-si : mange (manger) et mianmant-si : mangeant/en train de manger en - ta miama-si pour mieux s'opposer au participe passé : miamata-si (a mangé).
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Sujet: Re: Le Vélangz, à la croisée de mes idéolangues