Uropi 2

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C'est beaucoup trop loin, votre truc à Toulouse !   
Venez à Bruxelles, la capitale de l'Europe !   

Nemszev a écrit:

C'est beaucoup trop loin, votre truc à Toulouse !    
Venez à Bruxelles, la capitale de l'Europe !    

Le problème avec les langues internationales, c'est qu'elles veulent créer un lien entre des nations plutôt éloignées les unes des autres; eh oui, Toulouse, c'est loin… mais Rome ou Prague encore plus… quant à Stockholm ou Varsovie… Delhi, n'en parlons pas !
Cela dit des Uropistes sont bien venus du Nord-Pas de Calais pour animer le stand   

Un Forum des Langues à Bruxelles… le rêve !
Bruxelles est une ville que j'apprécie particulièrement, et pas seulement à cause de ses gaufres et de ses bières…

Un Forum des langues est une initiative associative. Il faut trouver une assoc bruxelloise pour organiser cela (est-ce que ça existe les assocs "à la française" en Belgique ?), peut-être du côté de l'Europe - par ex. la journée européenne des langues en septembre -, ensuite trouver toutes les assocs de langues et de cultures qui y participent, avoir le soutien logistique de la mairie: salle (dehors, c'est plus aléatoire qu'à Toulouse), affiches, tables, chaises, grilles. Faire un peu de pub…

Claude Sicre, président du Centre Culturel qui organise le Forom, et chanteur des Fabulous Troubadours veut faire essaimer les Forums des Langues dans toute la France, toute l'Europe, (il en existe déjà un certain nombre), voire dans le monde entier… il est tout à fait prêt à aider

Od2 a écrit:

ouah, le monde à ton stand, et des brochures couleurs avec des diagrammes partout !
Très pro, joli boulot, tu les as en lignes ces brochures, je serais curieux de voir ça !

Merci, merci, merci!   
Oui, on trouve, un certain nombre de ces brochures  ici, mais pas les couvertures.

Mais c'est vrai que c'est aussi plus sympa d'avoir ces brochures en main.

Anoev a écrit:

Mais bon, pour faire un stand, y faut une sacrée motivation, et une LAI en procure nettement plus, question fréquentation qu'une persolangue. Tout ce que je pourrais faire, à la rigueur, c'est poser des autocollants publicitaires pour Idéopédia avec un slogan du style ep or lokùt anoevens ?

C'est vrai qu'un stand, ça représente un sacré boulot: d'abord réaliser, imprimer, relier toutes ces brochures et petits livres, ensuite les panneaux, les affiches… tout monter de 8 à 10h du matin… ensuite tenir le stand avec la foule des visiteurs, tout expliquer… c'est crevant ! Mais les rencontres et les discussions avec des gens intéressés et intéressants, venus de partout… c'est passionnant !  

J'ai ajouté des liens entre certains articles de l'Idéolexique et les articles du Dictionnaire étymologique de l'uropi qui avaient été intégrés au feu wiki. Exemple : Tu.

Compte-rendu du Forom des Langues de Toulouse

Be Soldia 18i Maj, po de pini jar nu partinemì in de Tuluzi Forum Lingus wo nu avì inrican kogonade id pasionan disvokade be de Uropi stand. Sim nu vol informo va te nu av publizen un artikel su de Uropi Blog po kontidavo ov da bel dia. Zis je: (tale artikle su de blog se in 3 lingas: Uropi - Franci - Engli)

Dimanche 18 mai, pour la 5e année consécutive, nous avons participé au Forum des Langues de Toulouse où nous avons fait des rencontres très enrichissantes et eu des discussions passionnées. C'est pourquoi nous voulions vous informer de la publication d'un article, sur le Blog Uropi, qui fait le bilan de cette belle journée. Le voici: (tous les articles du blog sont en 3 langues: Uropi - français - anglais)

Forom 2014

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Od2 a écrit:

J'ai lu ton compte rendu (en français...), à faire baver de n'y avoir été !

L'année prochaine, il faut absolument qu'on organise un charter !  
 
Non, vraiment, c'était une super journée où on rencontre des gens de tous les horizons, des 4 coins du monde, de toutes les nationalités… et c'est là que la notion de langue internationale prend tout son sens: c'est concret !  

Et, encore une fois les gens sont ouverts, passionnés et passionnants, et la première chose qui les intéresse, c'est les rapports avec leur propre langue: ils se sentent concernés, ils ont l'impression de participer.  

Je me permets de réitérer un questionnement précédent. Au-delà de la sympathie ponctuelle de visiteurs, de l'étonnement classique face à une langue artificielle, des discussions étymo-centrées par et pour le plaisir intellectuel, est-ce que ce type de manifestation débouche ensuite sur des contacts plus suivis, sur des personnes qui se mettent à l'uropi? Sur quelque concrétisation d'apprentissage (et à terme de pratique), qui justifie l'investissement temps/argent/mobilisation que vous consacrez vous et votre entourage chaque année à ce forum toulousain?

L'envie d'en savoir davantage, je pense, et de "continuer la visite", grâce à ce merrrveilleux z'outil qu'est Internet.

J'ai par ailleurs regretté que l'Uropi ne fût pas au salon des langues de la porte de Versailles à Paris. Mais je comprends : l'organisation d'un stand, même de petite taille, sans gros appuis financiers est un travail hors normes. J'étais au salon de la Portes de Versailles, lequel était une vaste épicerie d'environ... allez on va dire 10 000 m². Il y avait 9m² d'intéressants : le stand de l'espéranto. Y aurait eu l'uropi, la surface aurait doublé ; avec l'uropi et le volapük, la surface aurait triplé... etc.

Anoev a écrit:

... Il y avait 9m² d'intéressants : le stand de l'espéranto. Y aurait eu l'uropi, la surface aurait doublé ; avec l'uropi et le volapük, la surface aurait triplé... etc.

Dans ces lieux (les salons commerciaux), outre le fait d'être agréé et de montrer patte blanche, le simple coût de location d'un tel espace doit se chiffrer au bas mot à 2000/3000 euros. Pas à portée de 2 ou 3 individus lambdas.

Raison pour laquelle, main'nant, pour moi, y aura QU'UN salon des langues : le forOm de Toulouse.
Forum Tuluzi
Fòrum Tulœzen*
Forumo Tuluzo



*Dont la première syllabe sert notamment pour tupargòla (violette).

Doj-pater a écrit:

L'année prochaine, il faut absolument qu'on organise un charter !  

Ce qui, en français, veut dire?   

Je suppose : un vol moyen courrier pour groupe ou quelque chose dans l'genre.

Moi, les avions, j'aime bien, à condition qu'ils n'aient pas d'ailes, qu'ils soient attachés les uns aux autres et qu'ils roulent sur des rails, sous des fils électriques où ils puisent leur énergie par l'intermédiaire de tubes articulés avec un archet... des trains, en somme...

Anoev a écrit:

Je suppose : un vol moyen courrier pour groupe ou quelque chose dans l'genre.

Donc un vol nolisé. Ça aurait pu aussi être un autocar nolisé, non?

Silvano a écrit:

Donc un vol nolisé. Ça aurait pu aussi être un autocar nolisé, non?

Ou une bétaillère, d'après c'que j'ai lu sur l'étymologie du mot. Merci quand même, je préfère (du moins pour l'usage que j'en fais directement) les trains de voyageurs.

Anoev a écrit:

Ou une bétaillère, d'après c'que j'ai lu sur l'étymologie du mot.

Dites-vous vraiment bétaillère?

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Silvano a écrit:

Anoev a écrit:

Ou une bétaillère, d'après c'que j'ai lu sur l'étymologie du mot.

Dites-vous vraiment bétaillère?

Ben voui... j'vois pas c'qu'y a d'extraordinaire... Ça un sens différent au Québec ?

Anoev a écrit:

Ben voui... j'vois pas c'qu'y a d'extraordinaire... Ça un sens différent au Québec ?

En fait, on ne l'utilise pas, et sûrement pas pour un avion (ou un autocar) nolisé...

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Silvano a écrit:

Dites-vous vraiment bétaillère?

Pour moi, une bétaillère c'est, au sens propre, une remorque dans laquelle on transporte du bétail, et, au sens figuré, un wagon de métro ou de train de banlieue dans lequel les passagers sont serrés les uns contre les autres comme du bétail, comme dans la phrase suivante :

"Ce soir, je vais prendre la bétaillère pour rentrer chez moi."

... Ou encore, les magnifiques charter reliant la France à ses colonies... Du moins si vous ne payez que pour la classe économique  

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