Ecriture et (en)codage

Une autre petite écriture

Bien vu ; pourquoi n'y aurait-il pas son corollaire ?

Perso, j'aurais utilisé la gravité pour poser les signes sur la ligne de base

Autre variante + compliquée

PatrikGC a écrit:

Perso, j'aurais utilisé la gravité pour poser les signes sur la ligne de base

J't'avouerais qu'j'ai hésité !... et la flemme a gagné !

Ta dernière écriture, "à cheval", n'est pas mal non plus. Sauf peut-être le septième caractère de la ligne en haut, en partant de la gauche, qui me plaît qu'à moitié.

Pour le corollaire, on aurait le choix entre "posé" et "suspendu".

Où tu vas chercher tout ça !?

Anoev a écrit:

Où tu vas chercher tout ça !?

Dans un recoin de mon crâne avec l'aide d'Illustrator
Et puis en tant qu'ancien analyste-programmeur, j'ai une tendance naturelle à la systémisation

PatrikGC a écrit:

Dans un recoin de mon crâne... (...)

Et puis en tant qu'ancien analyste-programmeur, j'ai une tendance naturelle à la systémisation.

Eh bien je t'envie (dans le bon sens du terme, bien sûr !). Si j'avais tes dons, y a longtemps que j'aurais trouvé un alphabet à la hauteur pour le ptahx et l'ancien thub.

Mais comme ce sont des écritures à-priori, y faut que j'trouve tout seul.

Anoev a écrit:

Eh bien je t'envie (dans le bon sens du terme, bien sûr !). Si j'avais tes dons, y a  longtemps que j'aurais trouvé un alphabet à la hauteur pour le ptahx et l'ancien thub.

Mais comme ce sont des écritures à-priori, y faut que j'trouve tout seul.

Indique-moi ton cahier des charges et je verrais ce que je peux faire...

Autre cogitation (19 signes)

Le leitmotiv numéro 1, c'est la symétrie entre les différentes lettres : symétrie horizontale (style B, D, E), verticale (style A, M, V), centrale (style N, S, Z ; rotation, en somme) et quand une lettre n'a pas de symétrie "en elle-même" (comme le L ou le P), qu'y en ait une dans le système qui lui soit symétrique (comme le Γ ou le Ь (horizontale), mais qu'on trouve d'autres symétries, style R et Я pour la verticale). Jusque là, j'ai trois systèmes "non phéniciens" (c'est-à dire ni grec ni latin ni cyrillique), à savoir l'akrig (invention personnelle), l'adnébou (adaptation du nebou, dû à Ziecken) et l'arkitanco (issu de l'arkitco, dû à Djino pour l'arwelo ; abandonné quand l'arwelo a changé de nom pour devenir le mundeze). Ton dernier système est bien aussi.

Y a pas : y faut que j'trouve quèqu'chose, pour que ce système soit vraiment à-priori (je considère les systèmes adnébou et arkitanco comme étant des à-postériori, puisque venant d'un autre idéolinguiste : il est hors de question que je m'approprie leur travail).

Jusque là, l'adnébou est le meilleur système que j'utilise (en plus des autres), parce qu'en plus des symétries et rotations déjà évoquées, y a également des symétries obliques (sur un axe de 45°, que j'ai pas exploité) et des rotations à 90° que j'ai exploité pour un verbe comme sluq. Un système comme le graphieros m'aurait donné des rotations à 60° et 120°, mais... trop tard : l'idée a d'a été prise.

@Anoev
Trop de lettres symétriques ne vont pas aider les dislec, les dylec, les dyslexiques...
Si tu adores les symétries au quart de tour, va voir le syllabaire inuit... (mais je crois en avoir déjà parlé).

PatrikGC a écrit:

Trop de lettres symétriques ne vont pas aider les dislec, les dylec, les dyslexiques... .

La cryptographie non plus, d'ailleurs. En fait, je me sers de ces alphabets comme intermédiaires. Je ne sais pas, t'as dû voir ma page sluq, pris de wach ? En aneuvien, disons, normal, wach et sluq s'écrivent avec l'alphabet latin. Rien de particulier, donc. Sluq paraît être un verbe à-priori, puisqu'il n'y a aucun apport direct de l'extérieur. Mais en fait, tout se fait indirectement : wach est transmis en adnébou, le mot subit une rotation de 90° et le résultat, lu de haut en bas, devient sluq par transcription opposée.

Mais des fois, y a bien plus étonnant : kol est pris du latin COLLVM, bon, rien d'extraordinaire. En adnébou, ça donne . Ce résultat, une fois retourné ou même reflété, donne ce qui donne njog. Le plus marrant, c'est très proche, à la prononciation, du hongrois nyak qui signifie... nuque. Et c'est bien c'que c'est ! Des coïncidences comme ça, on n'en trouve pas souvent ! C'est vraiment des pépites d'or lexicographiques, non ?

De telles transcriptions ne marchent pas toujours avec un alphabet donné, mais avec un autre, ça peut marcher. D'où l'intérêt d'en avoir plusieurs.

J'ai un autre alphabet, beaucoup plus proche des nôtres : le vadora. Voici comment div (dieu) devient lhip (mythe).

Donc un alphabet boustrophédon...

Oui, c'est vrai qu'en plus de ça, il peut être boustrophédon. Et le boustrophédon, pour les dyslexiques, ça doit AUSSI être une dure épreuve !

Rien que pour toi, Anoev



Juste un 1er jet...

C'est gentil, merci. Je laisserai les ovales, quant au reste, je vais voir c'que j'peux faire. En plus, il est combinatoire, c'est plus qu'intéressant, ça.

Anoev a écrit:

C'est gentil, merci. Je laisserai les ovales, quant au reste, je vais voir c'que j'peux faire. En plus, il est combinatoire, c'est plus qu'intéressant, ça.

C'est joyeusement symétrique gauche-droite et haut-bas
Bon amusement !

Ouaip ! Comme tu sais certainement (j'ai découvert ça avec les alphabets latin, grec & cyrilliques), une lettre qui a deux symétries a forcément la troisième.

Sinon, ce système, je pensais en faire un syllabaire, mais du coup, je pense que j'vais rester sur un alphabet, ou peut-être un abjad (après tout, la sténographie Prévost-Delaunay marche aussi surtout avec des consonnes, non ?). Toutefois, je ne vais pas garder toutes les lettres.

J'ai déjà une histoire fictive : Ce système d'écriture aurait été créé par Gerald Cymil, un professeur de lettres résidant à Padhrík (banlieue de Nælvyn, capitale de l'Æstmor, province située au nord-ouest de l'Aneuf).

Main'nant, y reste plus qu'à mettre tout ça au point.

Une nouvelle écriture fort simple composée de 14 symboles de base.
Bien sûr, on peut augmenter les combinaisons. 

Écriture mammaire ?

mmmmmm...

Anoev a écrit:

Écriture mammaire ?

Mets ton écran tête bêche si tu te sens troublé 

Parmi les améliorations :
- le début parfois + haut
- la fin parfois + haute

On passe alors à 14 norm + 14 début + 14 fin + 14 double = 14 x 4 = 56 symboles.

une vidéo qui présente un néo-latin qui ferait chou gras pour écritures parallèles, pour peu que vous fassiez pause de temps à autre...

odd a écrit:

une vidéo qui présente un néo-latin qui ferait chou gras pour écritures parallèles, pour peu que vous fassiez pause de temps à autre...

Pourquoi poser ? Ça va faire prsq 50 ans que je fais joujou avec l'écriture et les écritures. Avant c'était sur papier, maintenant c'est sur ordi en vectoriel.
De plus, j'ai diverses autres activités ci et là.

En parlant de néo-latin, notre ex-brésilien (Patrick Chevin) s'est pris d'affection pour le LFN, délaissant pour l'instant ses Yolik et Simple.

Le Tainonaiki

Une écriture dénichée chez Omniglot
dont la caractéristique première est d'indiquer les voyelles par des diacritiques.
Une écriture entre alphabet et abugidas.



Exemple de texte

PatrikGC a écrit:

Le Tainonaiki

Une écriture dénichée chez Omniglot...

Honnêtement, j'ai préféré les tiennes. Mais moyennant deux~trois modifs, on peut en tirer kexhôôz.

Anoev a écrit:

PatrikGC a écrit:

Le Tainonaiki
Une écriture dénichée chez Omniglot...

Honnêtement, j'ai préféré les tiennes. Mais moyennant deux~trois modifs, on peut en tirer kexhôôz.

Merci d'apprécier mes ptes créations.
Je pense cependant que cette écriture peut donner des idées...