Bon allez une dernière:
Nasr Eddin, du temps qu’il était aubergiste à la campagne, voit arriver un jour une troupe brillante de chasseurs à cheval. C’était un grand seigneur et sa suite.
– Hola, aubergiste une collation ! Nous avons l’estomac vide.
– Nasr Eddin leur prépare une omelette qu’ils mangent avec appétit.
– Combien te dois-je ? demande le seigneur au moment de repartir.
– Trente dinars, Excellence.
– Par Allah ! Trente dinars pour une omelette ! Les œufs sont donc bien rares par ici.
– Non, Excellence, ce ne sont pas les œufs qui sont rares par ici, ce sont les gens riches.
Nasrùdin, iaxodxosœd saxaonœd, aiken he jizedù kodœer urumia azaxakir ya’ganima monaxosik. Inaik sodrapami ora ya el drùja kos
—Grefob, iaxodxos, buckanare ! Ag’mikea fir kabùka.
Nasrùdin catapi adetaki tord, nimecag tos ico’rœde.
—Nilùncolxù dor naro ? sodrapami lùxalna esyùkarede
—Dinaron talan, Yemoar
—Al’a in’makdo ! Dinaron talan he dùkadetalla ! Makellakan muxajù oratu xed yornœda.
—Xat, Yemoar, cna kellakan xed-tœxat muxajù, lab xù’non danava’.
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Xed-tœ maklecren ya ùpatikaren. Xed-tœ cna ùa'kan'za' ajramia
Il y a des problèmes et des solutions. Il y aussi les fleurs des champs.