(pas vraiment de progrès depuis la dernière fois, mais j'avais ce post dans mes brouillons alors voilà)
Un peu de morphologie :
On a 4 classes nominales :
- monades nues (matière inerte) : structure syllabique CC (pas de voyelle, mais ces noms ne peuvent pas être utilisés en isolation)
- monades sensibles (animaux) : CVCV
- monades raisonnables (personnes) : VCVCV
- Dieu : VVVV... (voyelles en nombre illimité, avec des consonnes épenthétiques)
En parallèle, trois classes de verbes :
- sensations (accessibles aux monades sensibles et au-delà) : MM (deux morphèmes supra-segmentaux)
- pensées (monades raisonnables et +) : MMM
- miracles (Dieu) : MMMM... (illimité)
Lorsqu'un nom est le sujet d'une proposition, seules ses voyelles sont utilisées. Pour l'objet, on ne garde que les consonnes (par conséquent les monades nues ne sont jamais sujet).
Dans une proposition, la première consonne de l'objet vient former une syllabe avec la première voyelle du sujet, puis la seconde avec la seconde.
Par exemple avec comme sujet "baba" et comme objet "toto" on obtient "tata", ce qui se gloserait :
- Code:
-
tata
baba.NOM<toto.ACC>
Et il faut ajouter à chaque syllabe un des morphèmes qui composent le verbe (ces morphèmes seront des mutations des voyelles : allongement / diphtongaison).