Et oui, le p'ti fou que je suis a encore frappé avec un nouveau projet pour tout plein de p'ti-fous et de p'tit folles qui seraient intéressé.e.s.
Une fois n'est pas coutume, je vais mettre un lien vers un document :
Le ptûfu, une idéolangue inspirée par le Graphieros
J'actualiserais ce lien autant de fois que nécessaire au fur et à mesure de mon avancée.
Ce qui est en couleur ç la fin est ce qui reste à développer.
Mais je vais quand même, mettre le détail ci-dessous en plusieurs post. Cela me laissera le temps :
- de développer la suite,
- de mettre en forme le projet (présentation, insertion d'image).
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Désolé, mes images sont un peu grandes.
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Cette idéolangue a son propre glyphe /pty.fu/ :
Avant toute chose, j’ai demandé à Graphieros et il m’a autorisé à reprendre ce que je voulais.
Je confirme que même si c’est inspiré et qu’il y a beaucoup d’emprunts le produit qu’est cette idéolangue est ceci dit, différent du graphieros.
Nous allons voir dans la suite le détail.
Le contexte :J’analysais le texte Pierre de Rosette de notre Manuscrit en graphieros pour une nouvelle fois arranger ma transcripton de glyphe du Graphieros quand 3 choses se sont produites :
- j’ai été malgré mon courage un peu dépassé par l’ampleur de la tâche
- le fait qu’avec ma méthode de transcription, on est quand même sur une structure C1V1C2V2C3V3 certes déformable et abrégeable pour certains glyphes, mais assez différentes de la structure syllabique du graphieros qui va plutôt être sur des syllabes de 3, 4 et parfois 5 phonèmes
- j’ai commencé à reprendre des glyphes, en détourner et avoir les miens propres
En ce moment outre écrire la grammaire, je finis d’intégrer les 450 sens donnés par Graphieros dans la liste de ces 450 glyphes les plus courants. Il ne m’en reste plus que 24 à intégrer.
Je verrai ensuite si avec cette liste de plus de 450 et moins de 500 glyphes à en gros 25 près, ça peut me suffire pour traduire ou transcrire tous les sens, dont j’aurais besoin pour les traductions.
BaseJe reprends la structure en points et en hexagone avec 7 points (c’est-à-dire avec le point central) du graphieros.
Mais la prononciation d’un glyphe dépendra de sa forme et son tracé (et un peu sons sens).
Pour le dernier point c’est que selon les grands axes principaux de sens, certains glyphes peuvent avoir d’assez nombreux sens, je réorganise consonnes et voyelles afin que la prononciation soit un peu différente. Mais on gardera les mêmes conconnes les mêmes voyelles et les ordres internes entre consonnes et entre voyelles sont les mêmes, c’est-à-dire que C1 sera toujours avant C2 et V1 toujours avant V2. De plus, on verra la raison plus tard, mais le mot commence par C1.
On pourra trouver des mots commençant par une voyelle, qui aura un autre sens et ce sera hors racine.
Par exemple, pour faire faire une rotation au glyphe ou dans le cas de certaines décomposition ou composition de glyphe. Je développerai ce passage plus loin.
I- Rapport Glyphe, structure syllabique, prononciation théoriqueJe lis le glyphe en plusieurs phases.
Le glyphe est composé de 2 losanges de 4 segments qui se succèdent et nous donnera C1C2.
Dans chaque losange il y a 2 diagonales qui nous donneront pour chaque losange V1V2 et donne la structure théorique C1V1C2V2.
Il reste donc les 4 cordes schémas ci-dessous qui donne C3.
Puis il manque les deux segments horizontaux haut et bas qui peuvent éventuellement donner une 3ème voyelle (seulement si au moins l’un des deux présents)
Quand les segments correspondants à (C2)V2C3V3 ne sont pas utilisés on peut réduire le glyphe à une syllabe C1V1.
En fait 4 positions possibles, ça donne 16 possibilités (en terme de différentes combinaisons possibles), c’est pas mal au niveau consonne pour le nombre et 2 positions possibles, ça donne 4 possibilités ou 3 possibilités si dans le cas de V3 on ne note pas l’absence. Or 4 ou 3 possibilités c’est pas mal pour les voyelles là aussi en terme de nombre.
J’ai associé un peu selon mes goûts consonnes et voyelles selon les possibilités. Nous allons voir ça.
En fait j’ai analysé un 1er jeu de glyphe et la fréquence d’emploi de tel ou tel segment. En transcrivant les position selon un système binaire 1 allumé, 0 éteint. J’ai associé ensuite un peu selon mes goûts issus du dudyi et des possibilités du graphieros, les consonnes selon la position et sa fréquence, cf tableau ci-dessous.
Pour C3 et V3, j’ai un peu fonctionné à l’inverse de mes goûts.
A présenter en tableau
- Spoiler:
0000 58 p 0000 65 P 0000 189 z
0001 22 y 0001 20 T 0001 10 n
0010 21 l 0010 17 N 0010 15 q
0011 16 v 0011 11 H 0011 13 c
0100 12 t 0100 15 C 0100 19 x
0101 17 d 0101 12 W 0101 2 d
0110 27 b 0110 50 M 0110 12 g
0111 7 w 0111 12 J 0111 0 m
1000 17 k 1000 16 G 1000 19 r
1001 39 m 1001 24 D 1001 3 k
1010 10 n 1010 14 Q 1010 8 t
1011 9 g 1011 2 X 1011 0 s
1100 23 f 1100 21 V 1100 19 j
1101 9 c 1101 6 Z 1101 0 f
1110 8 q 1110 11 R 1110 1 l
1111 23 s 1111 22 K 1111 8 v
00 129 i 00 125 I 141
01 103 u 01 108 U v01 49 ê
10 58 o 10 63 A v10 57 e
11 27 û 11 21 E v11 70 a
Nota :- Les consonnes : c, q, x et y notent repectivement les phonêmes /ʃ/, /ɣ/, /x/ et/ʒ/
- Pour les voyelles : û note /y/ et ê note /ɛ/
Les autres correspondent à leur valeur en alphabet phonétique international : a note /a/ : et b note /b/, … notamment g : /g/, h : /h/, s /s/, r /r/, w /w/, etc.
Chaque voyelle et chaque consonne se prononce distinctement, i et u ne font jamais /j/ et /w/.
Selon les locuteurs ou locutrice des variantes allophoniques peuvent être acceptées, notamment pour r, tant qu’on le distinque de q et x.
Ainsi :
- le 1er losange seul sans diagonale donne s+i =
si- le 2nd donne p+i+k+i = piki (le 1er losange et ses diagonales n’étant pas tracé donc 0000 00 1111 00)
- les deux diagonales du 1er losange, sans le tour du losange donnent p+û =
pû- celles du second sans le losange donnent p+i+p+e =
pipe- les deux losanges sans diagonales donnent s+i+k+i =
siki- toutes les diagonales du losange donnent
pûpe (la figure en face de V1 V2 en rose)
- Les deux losanges avec chacun ses deux diagonales donnera
sûke (la figure en face de C1 C2 en rose)
- La figure pour C3 toute tracée (sans le reste donne)
pipiv- Si elle est avec les deux losanges seuls, on aura
sikiv- Si elle est avec les deux diagonales de chaque losange, mais sans les losanges, on aura
pûpev- Si les deux traits horizontaux seuls sont tracé donc figure V3, on aura pipiza (pipiz avant car tout le reste est à 0)
Ainsi
sûke, skûe, sûek, pipvi et
pupuza sont des mots qui ont un sens.
II Syntaxe, organisation de la phrase, sens d’écriture, bannièresLa syntaxe est typée SVO. Mais des adverbes peuvent venir s’intercaler.
Un problème qui s’est très vite posé à moi, non pas tant reconnaitre le verbe, car soit la conjugaison, soit un symbole action peut être utiliser pour le distinguer, mais c’est comment distinguer le nom et ce qui pilote le groupe nominal.
C’est à ce moment là que j’ai mis au point le principe des bannières.
Etant latéralisé de gauche à droite en écriture horizontale et pour me distinguer du graphieros, mais aussi parce que pour les sens et glyphes que j’ai conçu ma latéralisation et mon sens d’écriture est à prendre en compte, cette langue s’écrit horizontalement de gauche à droite.
A priori elle peut aussi s’écrire verticalement.
Pour un changement de sens d’écriture, donc de doite à gauche, ce serait possible, mais certains glyphes serait à écrire dans l’autre sens.
La bannière se situe dans l’hexagone en haut à gauche et après le glyphe porteur de sens (lexème).
(A l'essai celle action pour le verbe peut parfois se situer en effet 12 cran plus haut, mais avant et non après)
On pourra y noter un symbole qui servira plus pour informer sur l’organisation de la phrase.
Il y a deux glyphes principaux à connaitre : action et soleil, astre.
En effet action (
dic) indique un verbe non conjugué (éventuellement un substantif signifiant action, mais peu probable), donc un infinitif.
L’abréviation de soleil
pipvi (cf plus haut glyphe pipiv) en
piv marque un porteur de sens commun. Ces éléments ne sont prononcés que si nécessaire à la compréhension de la phrase.
Le glyphe action est inspiré des traits oblique en bd pour indiquer un mouvement. Donc en fonction du glyphe du verbe, il peut être adapté aussi pour donner une impression de mouvement (dans les écritures avancées, soignées et réfléchies).
A la place de bannière, peut être indiqué un autre glyphe porteur de sens comme celui pour animal (
diiqêj), qui sert de classificateur afin de distinguer le sens si nécessaire. Là encore la prononciation ou non de ce qui est en bannière est à la discrétion du locuteur en fonction de ce qui est nécessaire pour la compréhension ou non. Attention, des jeux de mots par l’omission volontaire de ce type d’éléments pourraient être faits.
Tout ce qui est noté en bannière est moins foncé que les glyphes lexèmes.
Nota : dans cette langue, il y aura beaucoup moins de composition en plusieurs glyphes indiquées par un trait, quand bien même il y en aura quelques unes. Pour preuve le pronom SG1 a son propre glyphe.
Vu que le sens est horizontal et non vertical le trait liant des glyphes contrairement au graphieros ne va pas de centre à centre de glyphe en passant complètement sur chaque glyphe. En effet s’il en était ainsi cela correspond à des segments qui font sens et déformeraient le glyphe. Donc dans le cas où les glyphes ne sont pas jointifs on ajoute un morceau de trait horizontal centré en hauteur qui va de la dernière limite du glyphe gauche à la première du glyphe droit.
A l’essai , quelques évolutions, comme on le voit dans les exemples d’autres glyphes pour l’action peuvent être utilisé comme le symétrque de dic, pluie, pleuvoir.
La position en haut à gauche peut aussi être utilisé en bannière selon que le verbe ou le nom a un complément ou une préposition ou un adverbe ou pas.
III Conjugaison, pluriel, négation, interrogation et adjectifsConjugaisonOn l’indique en plaçant un marqueur temporel avant le verbe.
Il y en a 3 principaux à connaitre : passé, présent, futur. Il me faudra peut-être en ajouter un irréel, conditionnel, hypothétique.
Même si comme on l’a vu cela revient à une conjugaison adverbiale (ou via auxiliaire) et qu’avec des mots tels que possiblement, probablement, etc. on obtiendrait le même résultat.
Celui du présent peut éventuellement en contexte clair être éludé au profit ou non du marqueur verbal. Surtout que le présent a une valeur instanténée en cours comme là, maintenant, être en train de.
Passé :
sdoizaPrésent :
bduuzaFutur :
bikzuaLe temps (
biidza) a été imaginé comme le sablier (
bidzia).
Les pronoms personnels singuliers sont au nombre de 3 : SG1, SG2, SG3.
SG1 :
likSG2 :
lita (ou ltai ?)
SG3 :
lihi (ou liih ?)
Après réflexion, j’ai crée deux nouvelles possibilités pour recouper l’emploi du conditionnel (et éventuellement certains emplois du subjonctif).
Il existe un autre glyphe utilisable avant le verbe en conjugaison et qui marque l’aspect achevé, c’est le glyphe achevé, fini, terminé :
sûktea.
PlurielAprès quelques essais, le pluriel est déterminé en répétant le glyphe, non pas après sur la même ligne ce qui signifie 2 et si répété deux fois après, cela signifie 3, mais on ira pas au-delà de 3.
Pour ce qui est d’un pluriel plus grand, on répète le glyphe dans l’hexagone d’après en bas à droite (en gros en dessous de celui qui fait bannière).
Avec le verbe manger :
biumka et
cora : poule, volaille, poulet, cocotte, je vais vous montrer quelques essais.
Comme cette position du pluriel correspond à la position 0010 du second losange, le pluriel (
pni) correspond donc à la lettre n. Ils se prononce donc en antéposant un n’ avant le nom.
Le mot pluriel :
pni lui est utilisé uniquement quand on emploie le mot pluriel.
Je mange une/la poule :
Lik biumka (kiq) cora (piv). (1)
Je mange/suis en train de manger (mange actuellement/présentement/maintenant) une/la poule :
Lik bduuza-biumka cora. (2)
Je mange deux poules :
Lik biumka cora cora. (3)
On peut aussi dire :
Lik biumka ynouzê cora. (4) Avec
ynouzê pour deux.
Je mange des/les poules :
Lik biumka n’cora. (5)
Au dessin, je me suis rendu compte que la bannière action était mal orienté par rapport au verbe manger et le déformait, à ce compte je l’ai adaptée pour l’orienter autrement. Du coup elle ressemble au glyphe pluie, pleuvoir (base kiq(iz), pluie pleuvoir se dit
kqi, tandis-que pour la bannière on dit
kiq.
Les deux premières lignes de dessin correspondent à la première ligne exemple en alphabet latin (1).
Au haut au milieu à droite ou bien la ligne supérieur de dessin à droite est avec le verbe conjugué, soit la phrase (2)
La troisième ligne de dessin correspond à (3).
La variante avec
ynouzê : deux est la ligne de dessin en bas à droite. (4)
C’est la dernière ligne à gauche de dessin qui correspond au pluriel en (5).
Ici dans l’exemple, je n’ai pas décalé le verbe et sa bannière du complément et sa bannière. Peut être aurais je dû décaler d’un hexagone de plus. Mais après essai sur feuille, ça enverrait le complément trop loin. Ceci dit, à noter qu’ayant attaché le présent au verbe, j’ai marqué une rupture de la trame hexagonale.
Pour les 3 phrases sans les bannières ou bien le nombre deux (ynouzê), le complément et le verbe pourrait se toucher), ce qui là aussi marquerait une rupture de la trame hexagonale. Mais pour deux poules (
ynouzê cora) les glyohes pourraient se toucher aussi.
Liik bduuza-biumka-n’coraOn le verra dans le chapitre numération, mais de 1 à 5 (même pour 0), je me suis basé sur compter sur la main (de face).
NégationLa négation se fait comme en graphieros en plaçant le glyphe
bid : ne…pas (mais signifiant aussi plein d’autres choses) avant le verbe ou l’élément nié.
Tu ne manges pas de/les pommes. :
Lita bid-biumka n’druaêq.
Pour une vérité générale de ce type, on préfère marquer l’action en bannière plutôt que de conjuguer le verbe.
On pourrait imaginer pour rendre le glyphe SG2 tu, te, toi le faire tourner de 90° comme nymphe, cerf-volant (dans le prochian paragraphe) et devenir
iltia.
L’interrogationL’interrogation se fait avec le glyphe sgziie : question, interrogation, questionner, interroger, pourquoi, ou ses dérivées : qui ?, quoi ? où ?, quand ?, comment ?
Ce glyphe représente quelqu’un qui se gratte la tête (vue de dessus).
Cet élément interrogatif peut se placer avant ou après la structure SVO ou même en bannière (mais plutôt en redondance, usage une deuxième fois du même symbole en bannière _ on pourra inverser dans certains cas d’abord bannière puis répétition à la fin) pour une interrogation complète : est ce que, qu’est ce que ? ou équivalent de notre inversion sujet-verbe.
À la manière de la négation et à la façon de quel en français, l’élément interrogatif pourra se mettre sur l’élément sur lequel porte l’interrogation par exemple : tu manges quoi/quel nourriture ou même quel fruit à la place de qu’est-ce-que tu manges/ quel fruit tu manges ou qui mange versus qui est-ce qui/quelle personne mange.
Ainsi qu’on le remarqueras dans l’image ci-joint et à l’inverse du français, mis à part l’ajout du glyphe question en début fin ou avant l’élément interrogé et fin_ plutôt en bannière _ on garde la même structure de phrase comme par exemple tu donnes quoi fruit à l’enfant au lieu de quel fruit donnes-tu à l’enfant ? Il n’y a pas de structure du type donnes-tu.
Sgiize-iltia ncuire ? = Que dis-tu ? Qu’est que tu dis ?
Iltia vtiizê-sgiize-duraêq-ymûu-nomaj ? = Quel fruit donnes-tu à l’enfant ? (litt. Tu donnes question-fruit à l’enfant ?)
AdjectifsAu départ, tout comme j’aurais voulu thématiser, je voulais que les adjectifs puissent être disposés autour du glyphe central nominal, mais ce principe de spirale que j’avais déjà imaginé est graphiquement assez complexe à mettre en place (toutes modification ou correction devient très complexe à réaliser).
Du coup les adjectifs d’un groupe nominal ou même les relatives, tout ce qui va qualifier, préciser le nom pilote sera comme le pluriel décalé d’un cran en bas à droite. Mais là où le pluriel se contente d’un glyphe il pourra il y avoir plusieurs glyphes jointifs de ce qui qualifie le nom.
Je suppose que si l’on revient à la trame principale de la prase on reprendra la ligne initiale, sinon on reste décalé.
Ce décalage de ligne est marqué par un a, soit préfixé sur l’élément unique qui qualifie, soit introduit par un a.
Nous le verrons plus tard, mais ce principe décalage d’une ligne, a introducteur marquera aussi l’équivalent de la virgule.
Cora a-moamaz-bwiir-yuarêsUne/la vieille grosse poule molle.
une/la grosse poule vieille (et) molle. (litt. : Poule adj. gros vieux mou)
Après essai cela fonctionne avec plusieurs adjectifs ou tout éléments qui correspondrait à plusieurs glyphes, mais ne fonctionne plus dans le cas d’un adjectif seul et simple en un seul glyphe.
Dans ce cas là on cale graphiquement le glyphe adjectif avant le nom d’une manière au choix (et seyante) et on ajoute la bannière nom commun
piv au nom.
Bwiir cora piv. Abwiir cora.
Moamaz yinta piv. Amoamaz yinta.Une/la vieille poule.
Un/le gros chien
IV Des glyphes exceptionnels (glyphes complexes : retourné, composés, retournés composés, le glyphe modulaire, multiplié en rotation)Tout d’abord y a un glyphe exceptionnel mkoaza, moakaz, mokzaa, mokaza : lune / lunaison, mois / phases de la lune / grossesse qui peut s’écrire en un glyphe, mais que l’on va préférer noter en décomposant le glyphe.
De temps à autres certaines translation de glyphes prendront une voyelle préfixée qui peut avoir plusieurs sens :
- Plusieurs rotation possibles pour remettre le glyphe dans le bon sens de lecture
- Une multiplication et rotation d’un glyphe de base autour d’un hexagone vide
Au total, je n’en ai que 19 sur un total d’environ 500 glyphes.
Multiplié en rotationIl est un glyphe particulier dont la voyelle préfixée indique la démultiplication + rotation autour d’un glyphe central un peu comme la décomposition du glyphe lune, mois, lunaison, etc.
***
Je créerai le tableau plus tard.