Je l'ai désigné ainsi, car ça me plaisait.
C'est le principe de base du wikolo, je suis parti du français, mais comme je trouve que les mots en français ne sont pas rigolos, je les ai changés en ce sens bien sûr en conservant les règles. Ainsi le pluriel se faisant en "m", c'est conservé comme en français etc.
Je me suis amusé à traduire les débuts de quelques grands classiques français. Il ne faut pas prendre cet essai trop au sérieux. mais, au moins il permet de bien rire.
Je vous mets ci-dessous chaque morceau de texte original suivi de sa traduction en wikolo.
Soudain, je ne sais comment, le cas fut subit, je n’eus loisir de le considérer, Panurge sans autre chose dire jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons criant et bêlant en pareille intonation commencèrent à se jeter et sauter en mer après à la file. La foule était à qui le premier sauterait après son compagnon.
Ouistintin, chleu nïi scie cucurma, leuk coco fouisseum culbuto, chleu n’ iiih widjize dédé leuk coccygruer,Panurge mangue salto jouasse dirlidadada yéti ange baleine nanar zozo moumoutte crickon yééh bléon . (…) leuamm saltomm moumoutteum crickon yééh bléon (…) salsa (…)
Heureux, qui comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme celui-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Ouhouh kiki, cucurn Ulysse, Ü frite èil’ne bobo tchao,
Ououhh cucurn slurp lala kiki conque laque gerboise,
Yééh pitre estrane ritournel, balin dédé ouzagui yééh dédé razaââ
Vivier nannan zime marrant leuk manta dédé zozo nana !
Cancan rwarwaerü- chleu, hello, dédé monk chtiot vékyo
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu cette vêprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil
Mimine, lalaon wawaer sossi laque roro
Kiki, slamm corin üvi dicloclo
Zozo bob dédé poulpe ulk soso,
ü pong pépère zézette vespa
leuamm pilipili dédé zozo bob poulpu
Yéh zonk tintin ülk vèk salsa
Il y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n'était pas le théâtre et le drame de mon coucher n'existait plus pour moi, quand un jour d'hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j'avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d'abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d'une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d'un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j'avais laissé s'amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais
Eul o üvi djinn boeing didim nanam queue, dédé Combray, truite slamm kiki n’éti papa leuk fée yééh leuk droma dédé monk coucou nïi transitit pluche porc mézig , cancan èil’ne joujou d’ivresse, cucurn chleu ventrit ù laque zonzon, momo rhum, wawaon queue chl’üvis frichti, méz papooso dédé méz frire panpanlapinr, gondole monk biture, èil’ne bœuf dédé toto. Chleu raffufi barbedor yééh, chleu nïi scie porkwak, mézig raahzivi. Ola aboyo chuchoter èil’ne dédé slamm golgotim coucourlim yééh dudum bébel Chti Mado kiki demble üver E.T. Louque lè laque vava monture d’èil’ne pupille dédé Saint-Jacques. Pied boeingtétard, michurmang, arrbleu popo laque namour joujounan yééh laque pépère d’èil’ne tritri lidadami, chleu popori ù monkome babibi èil’ne cuicuithé dédleuk toto wo chl'üvi bèbè smoler èil’ne mamor dédé Mado. Mêêêh ù leuk stéto mémé wo laque glouglouthé mémel dédleuam myètim dédleuk golgot tachi momo papil,
, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi.