L'histoire de l'écriture chinoise est fascinante, avec toutes ses variantes, ses adaptations aux diverses langues... Celle de l'écriture arbéienne paraît vraiment simplette en comparaison, elle reste en toile de fond du projet, notamment sur les cartes géographiques.
J'ai la flemme de refaire l'image en français, alors je traduis ici:
Le symbole sacré de Faha (déesse suprême de la fertilité et des récoltes) a fourni la syllabe "fa".
Le symbole de la main et du travail, mot "kwei", a fourni le groupe de consonnes "kw".
Balkis (ville). Ecrit en fait "barkis" comme il était prononcé auparavant en balkisien, et comme il est toujours prononcé en skaisalien.
Skaisal (une autre ville).
Certains sons, comme les consonnes de fin de syllabe, étaient souvent omis dans l'écriture, mais l'ambiguïté était aisément résolue par le contexte.
A noter que l'écriture arbéienne s'est développée extrêmement rapidement, à la suite d'une longue période d'interdiction de toute forme d'écriture (ya de l'allégorie dans l'air).