Les prénoms dans vos idéomondes

J'espère que ça n'existe pas déjà. Avez-vous beaucoup de prénoms qui ont propre uniquement à vos diégèses. Et avez-vous réfléchit à leur répartition? Ou même des "sous-entendu" sur leur formations?

Je me lance :

les terminaisons :

Les prénoms qui se terminent par des consonnes sont souvent associé à des noms de personne associer de près ou de loin à l'armée. Exemple :

Khaèst (général)
Ahlûséûs (général)
Déritc (commandant général)
Céfar (officier)
Obrin ("shérif" de Sableh)

Les prénoms qui se terminent par le son "a" sont presque toujours féminins :

Adrassina
Vaétisia
Arata'Raramania
Gadmala
Eka


Les prénoms se terminant par la déclinante "e" (e ê é è) sont presque toujours masculin :

Spalûké
Daémè
Féé
Obbogê
Méye

Les prénoms se terminant par le son "i" sont souvent associé à une personne gentille ou petite. Il est courant de rajouter un "i" a la fin du prénom d'un militaire ou de quelqu'un de "viril" comme une moquerie légère.

Le prénoms qui commencent par une consonne sont souvent associé à des personnes souriantes ou belles, voire confiantes.

Il est très courant pour les empires intra-ikiens de voir beaucoup de noms formés sur la base d'un mot "Deyryck" car la langue est souvent exotique pour la race qui est forcée de l'apprendre. (Exemple : Adrassina, une Frèy'hôk (Adrassina = assassiner))

Dans la cité de Sableh, le prénom le plus courant est : Gafélta pour les filles et Méorin pour les garçons. Et ceux pendant les deux premiers âge d'Antôrsioa.
Globalement il est considéré que le nombre de race dont la méthode de communication soit "classique" (avec des sons audibles pour un Arak normal, ou tout simplement avec des sons) est inférieur au tiers des races d'Antôrsioa. Aussi le prénoms le plus courant dans l'univers tout entier n'est pas prononçable!

Une identité ikienne se définit avec quatre prénoms et quatre noms :
Premier prénom : Choisit par les parents
Deuxième prénom : Choisit par la personne
Troisième prénom : Celui voulu par le père
Quatrième prénom : Celui voulu par la mère
Le prénom d'usage (celui employé pour désigner la personne) est au choix de la personne.

Premier nom : Premier nom du père
Deuxième nom : Premier nom de la mère
Troisième nom : Deuxième nom du père
Quatrième : Deuxième nom de la mère

Ce système est apparu avec la domination Dikwama du Nord de l'univers et de Sableh pendant la Création. Le but étant de favoriser les mâles de leurs espèces, car plus aptes aux combats.

Lorsque les noms d'un parents sont inconnus, ils sont remplacé par : "Àndéris" et  "Anolia".

Les prénoms contenant des nasales sont souvent associé à une personne asociale.

Les prénoms ou noms composés sont assez rares et sont lié par une apostrophe en Deyryck :

Arata-Rarmania : Arata'Rarmania

Jean-Yves Du Rocher : Jà'iv du'rocé

Les prénoms composés sont deux fois plus fréquents chez les races les moins avancées.

Quatre modes de prénoms se sont clairement distingué dans l'univers d'Antôrsioa :

Durant l'époque des guerres (deuxième époque du premier âge (CNC)) :

Sachant que les noms ne sont en aucun cas limité par une quelconque règle dans l'univers, la mode s'était mise en place de donné comme prénom : "" à son enfant.
Comme presque toutes les régions étaient occupées par une armée et qu'il y avait pour habitude chez les occupant d'appeler les gens par leur noms et non leur prénoms, la mode est partie de leur donner raison et n'ayant un prénom "vide".

L'idée est restée pour certains marches ikiennes et beaucoup d'espion portent encore ce "nom".

Durant l'époque de la guerre des connaissances (cinquième époque du troisième âge(CNC)):

Une étrange mode apparu consistant à donner à ses enfants des nom de nombres. Pas forcément en Deyryck ou en Fikji, la grande majorité le faisait dans sa langue natale.


Durant l'époque des non-nommés (deuxième époque du quatrième âge(CNC)) :

La peur de l'empire Adorateur avait commencé à pousser les gens a donner à leur enfants des prénoms très "adorateurs" comme :

Jéérna'jil

Gaavj

Jûôlmi

Ebyiyû

Novajaa

Le plus courant ayant été : Géému

Durant l'époque des Ardeurs du passé (deuxième époque du dixième âge(CNC)) :

Il était devenu très courant de donné comme nom des prénoms très ikiens tels que :

Gafélta, Ekôr, Majôrèl, Vébmir, Obû, Mrasô, Mrassoss, Khacè, Eférê, etc...

Ca peut paraître étrange de dire ça, mais il faut savoir qu'au dixième âge cela fait près de deux âges que l'empire ikien n'existe plus.





Plus rien qui me vient à l'esprit, mais il en reste à dire! ^^

un moulin à paroles ce chaest ^^

je répondrai demain ^^ j'vais dormir

'

Pour l'état civil aneuvien, voir là. Quelques prénoms aneuviens ? voir là (j'ai la flemme, ch'uis fatigué).

Prénoms dibadiens, je cite de mémoire :

Prénoms féminins :

Diletyet : "véracité". Les noms de qualités sont souvent utilisés comme prénoms féminins.

Umsilëph : um-, préfixe féminin, et silëph, déformation de "Sylvie".

Ilëchi : la déesse Chinook de la lune.

Amoti : "fraise". Les noms de fruits et de fleurs sont considérés comme féminins.

Umkhach : um-, préfixe féminin, et khach, esprit.

Hitsikhyet : "la ruse". Pour les Dibadiens, c'est une qualité.

Prénoms masculins :

Quamis : amérindien (via Lovecraft !). Le dibadien est une langue amérindienne...

Mantolo : "homme vainqueur" en Jargon Chinook (langue-mère du dibadien...). C'est l'équivalent de Vincent.

Sëkuk : "être fort"

Pishëkh : un dérivé de pish (poisson).

Hongo : homme de la ville, citadin.

Saiam : grizzly.

Tayitsil : "étoile du chef", l'un des noms de la planète Vénus, qui est masculine chez les Chinooks.

Khungo : "homme du nord" (équivalent de Norbert).

Etc.

En dibadien, on distingue les prénoms féminins des prénoms masculins par leur forme (préfixe féminin um-) ou par leur sens (qualités, fruits, fleurs...). Les noms de qualités prennent habituellement les finales yet et ti en dibadien. Certains prénoms féminins finissent par tla (mère) mais ils sont rarement employés comme premiers prénoms.

Les prénoms masculins peuvent être des mots dont le sens s'est perdu mais qui sont traditionnellement associés au sexe masculin, comme Quamis, ou des mots associés à la masculinité, comme la victoire, la force, le grizzly, la planète Vénus, etc.

Les Dibadiens n'ont pas de numéro matricule d'identification, comme en France et dans la plupart des pays de notre monde, mais plusieurs prénoms et un nom, qui désignent un individu unique : parmi les neuf millions de Dibadiens, il existe une seule Belenis Amoti Haiakkhuch.

En général, les parents donnent le premier prénom à l'enfant. Le deuxième prénom (et éventuellement le troisième) sont donnés par le Ministère de la Population, qui peut refuser le premier prénom s'il ne paraît pas convenable (par exemple, s'il ne convient pas au sexe de l'enfant, s'il est vulgaire ou péjoratif, etc.) et en imposer un autre (mais alors le prénom refusé sera généralement accepté comme deuxième ou troisième prénom). Il existe des listes officielles de prénoms masculins et féminins pour aider les parents à choisir.

Le premier prénom n'est pas toujours celui qui est utilisé au quotidien. Belenis Amoti Haiakkhuch, francophone de naissance devenue dibadienne, est appelée Amoti par ses collègues parce que Belenis (prononciation dibadienne de Bérénice) est étranger et ressemble à un prénom masculin.

Dans le Losda (idéomonde de l'elko), les gens porte un "darken" (nom de famille, de tribu ou de clan) et un "narken" (prénom). Les deux sont liés par un trait d'union. Le darken à gauche n'a pas de règle imposée pour sa construction et est en général le pseudo réel de l'utilisateur, mais transcrit en elko au moyen de la TOAN. Le narken est, quant lui, peut être issu d'un choix de l'utilisateur et se compose d'un préfixe générique, d'une clé et parfois d'un suffixe. Toutefois, en général, le narken correspond au jour / clé du calendrier lannecien et correspond à la date de naissance.

Les narkens (prénoms) elkans sont composés d'une clé et d'un préfixe générique :

A- + clé = prénom féminin
E- + clé = prénom masculin
O- + clé = prénom épicène

En général, les prénoms ne possèdent pas de suffixe mais cela se fait parfois pour personnaliser un prénom ou le distinguer d'autres personnes nées le même jour.

Exemple avec la clé KAL (beauté)

Akal :
Akale = celle qui est belle
Akale = celle qui fait les choses avec beauté
Akali = celle qui embellit les choses
Akal ou Akalo = celle qui incarne la beauté

Parmi les prénoms que j'aime bien : Onis, Aleb, Ewit, Alon, Elis, Orin, Edel, ...

Sur elkodico, je suis en train de créer système qui permet d'obtenir un prénom en tapant une date dans le moteur de recherche.

dans mon idéomonde, les noms et prénoms ont une signification propre...
ou sont importés de la Terre et font fureur^^

-Ex : en algardien

masculins

Maryak, Merak , le Glorieux...

Karmyô, Karmor, Karm , le combattant

et les deux réunis... donnant Merkaram, Maryakin le "glorieux combattant."

Silyaver, parfois Silvăr "l'Ame argentée"

Haralğ, Harokal "l'homme fort"

Aldo, la lumière

Dikano le juge etc...


féminins

Iwana, Ana, Yăna vient de Wana "la grâce"

Kaela, Kelya ... vient de Kaelya : "la beauté"

Kelyana est un jeu de mot peut dire femme belle ou beauté gracieuse

Lamya, Lemya ," la douceur"

Ryuma "amour rouge" , Reßya et Rias (dérivés de Riaßi "écarlate") sont rares et réservés aux femmes "spéciales".

etc... etc...

...

od² a écrit:

utiliser un numéro d'ordre d'identité pourrait être encore plus indiqué...

Les androïdes et gynoïdes domestiques, s'ils existaient, auraient un prénom plus ou moins fantaisiste, comme Rufa (rouquine, en latin) ou Arthur pour un androïde, et bien sûr un matricule, de préférence mélangeant les lettres et les chiffres, comme les plaques d'immatriculation, pour être plus facile à mémoriser, comme le montre ce dialogue téléphonique imaginaire :

- Allô... C'est bien Rufa ?
- Je m'appelle Rufa, en effet. À qui ai-je l'honneur ?
- C'est Eddy ! L'étudiant en droit !
- Je connais plusieurs Eddy... Pouvez-vous être plus précis ?
- Vous êtes bien Rufa, 1899 VB 141 ?
- Non, ce n'est pas la même Rufa, vous faites erreur !
- Désolé...
- Au revoir Monsieur. *raccroche*

Et comme les gens vivraient au milieu des androïdes, ils finiraient pas faire comme les androïdes : utiliser un prénom ou un surnom au quotidien, comme Eddy ou Nep (abréviation du prénom Népomucène, un peu démodé de nos jours) et se faire identifier auprès de leur banque ou de l'administration par leur numéro de Sécurité Sociale. Allez, encore un dialogue téléphonique imaginaire :

- Allô... C'est Rufa ?
- Je m'appelle Rufa, en effet. À qui ai-je l'honneur ?
- C'est Eddy ! Eddy Martin ! On se connaît !
- Martin est un nom très courant, et Eddy est un prénom encore plus courant... Pouvez-vous être plus précis ?
- 7537 XM 212.
- Mais bien sûr qu'on se connaît ! Tu veux me voir, Eddy ? Je suis libre toute la semaine !

Il y a des pays, comme certaines régions d'Afghanistan, où beaucoup de gens ont seulement un prénom et pas de nom de famille. Un numéro matricule leur permettrait de passer immédiatement du Moyen-Âge au 21e siècle, dans le paradis des bases de données informatiques universelles, des logiciels de reconnaissance faciale et autres merveilles de notre époque...

Même si j'aime bien les nombres, ça m'emballerait pas trop qu'on m'appelle par un numéro d'identification. Pourtant, comme mot de passe, j'ai choisi un nombre (que j'vous dirai pas ! ben tiens ! même pas l'nombre de chiffres qu'il contient... Non ! c'est pas le numéro d'une locomotiove, ni un numéro de téléphone aneuvien).

...

od² a écrit:

Pour l'instant, subterfuge, on feint de ne pas recouper tous ces numéros en un seul pour "maintenir" quelques arpents de liberté...

Ce serait de toute façon inutile, puisqu'il suffit de connaître le prénom, le nom et la date de naissance d'une personne pour l'identifier dans tous les fichiers administratifs, et donc, en poussant un peu les recherches, de tout savoir sur elle... Mais comme de toute façon les gens ont pris l'habitude de raconter leur vie sur Facebook et Twitter, ça ne fait pas beaucoup de différence...

En Pfaquouzie, les prénoms sont juste dérivés (et à peine modifiés) de prénoms européens, surtout germaniques. Il n'y a rien d'intéressant à dire dessus, mais en voilà deux pour l'exemple: Ćarl et Marya.

Au Kvéduve, les prénoms kveudophones (argh! ) dérivent du proto-kveudais, où ils sont bien souvent le calque de prénoms vikings. (Exemples à suivre).

Voilà pour Théalia :

Création des prénoms :

Les prénoms se fabriquent avec des préfixes et suffixes. Ils donnent une importance au prénom qui sert de carte d'identité.  Voici le fonctionnement:

En première position :
a = éduqué par sa mère
e = éduqué par son père
ae = orphelin ou bâtard
oe = esclave

Ex : Daemon, ae -> orphelin

Les noms en oe (oe étant la voyelle se rapportant aux chiffres et nombres) sont utilisés par les Lih-Lithra, créatures anthropophages, qui ne prennent pas la peine de nommer correctement leur futur repas. Ils donnent alors des noms avec pour base les chiffres aux humains d'élevage qu'ils gardent.


En dernière position (bien souvent se rajoute au prénom de base) :
à = mère
è = père
àè= suffixe insultant envers notamment les prostitués et leurs enfants.

Ex : Lou -> Louà ( signification : Lou est mère)


En position aléatoire :

o : masculin
i : féminin

Ex : Lira ( fille éduqué par sa mère)

Le o et i peuvent être utilisés comme moquerie ( pour un homme, ajouter un i à la fin de son prénom lorsqu'il a peur par exemple alors que pour une femme, ce sera signe qu'elle est belle) Après,  l'usage peut etre double, selon la façon dont on s' en sert.

Le -u est un cas particulier. Sa position n'a pas d'importance,  mais le nombre de u dans un nom en a. Par exemple, Uluru est un membre de sang plus noble que Lulu car il y a plus de u dans le premier. Évidemment,  n'importe qui ne peut pas mettre de u dans son nom. Cela est reservé aux personnages de haut-sang, dirigeant les Etats ou encore les descendants des Créateurs. Une minorité. Le u peut aussi être utilisé en fin de nom comme marque de respect.


Ce fonctionnement pour créer les noms est utilisé presque partout sur Théalia depuis la chute de la République Sarynienne, ce qui remonte à très loin, avant l'arrivée des Terriens sur Théalia.
Avant cela, il y a eu de nombreuses façons de concevoir les noms, notamment la mode sarynienne avec les doubles ii ou y assez récurrent dans les noms.
L'arrivée des Terriens a aussi créé la mode iruk (Iru = Terre) avec des noms comme Batist, Kloe ou Ksavie (Baptiste, Chloé, Xavier), très apprécié par les jeunes générations théaliennes de l'époque malgré le racisme envers les Terriens qui était très répandu.


Création du Nom :

 - Pour un Réincarné :

Daemon Lunnaa Nefiinn Jak Daemonu est un nom simple.
Il se compose, dans l'ordre, d'un prénom, du lieu de naissance (ou ici, de réincarnation), d'un surnom, du prénom Terrien, et si acte important accompli, un prénom de respect ( avec le fameux u)


Daemon Lunnaa Nefiinn Jak Daemonè Ziak Daemonu est un nom complet.  
Il se compose des 5 morceaux vus précedemment + du prénom en tant que père d'un enfant ( Daemonè)  et  du surnom de la personne avec qui il est marié ( Ziak)

Le surnom fait quelque peu office de nom de famille et ont pour base des clés théaliennes.

 - Pour un Théalien :

Lena Laorinn Dae' Nimu Orzajani est un nom simple.
Il se compose, dans l'ordre, d'un prénom, du lieu de naissance, d'un surnom, d'un nom de famille court, et d'un nom de famille long.

Les noms de famille longs sont la compression des différents noms de famille courts des différentes unions. Plus ce nom est long, plus la lignée est ancienne.
Orzajani -> Orisi + Zaha + Jalo + Nimu : ici 4 générations. Ce système est issu de l'Elevement où, avec le peu de familles différentes,  il fallait éviter à tout prix la consanguinité.


Lena Laorinn Dae' Nimu Lenaà Peri Orzajanipe Lenau est un nom complet.
Il se compose des 5 morceaux vus précedemment + du prénom en tant que mère d'un enfant ( Lenaà), du nom de famille court de la personne avec qui elle est mariée ( Peri, qui s' ajoute au long), et du prénom de respect (Lenau).

L'identité se caractérise par l'usage d’un prénom dissyllabique et d'un patronyme tétrasyllabique suivis, dans certains cas d'homonymie, d'un surnom qui souligne alors une particularité physique ou morale. Il existe en général 14 prénoms.
- Les prénoms masculins sont : Dino, Timo, Pigo, Sibo, Milo, Niro et Kipo
- Les prénoms féminins sont : Vina, Kima, Liga, Ziba, Gila, Sira et Biva
Le nouveau-né ne reçoit son prénom que six jours après avoir été reconnu par son père. Les femmes prennent de facto le patronyme de leurs époux. Lors de sa captivité, un esclave perd son identité originelle et ne reçoit qu'un prénom. Un affranchi garde son prénom servile et prend le patronyme de son ancien maître.