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| Les homonymes | |
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Les homonymes et votre (vos) langue(s) | Pas d'ça chez moi ! | | 40% | [ 4 ] | Pas d'homographes non homophones | | 10% | [ 1 ] | Pas d'homonymes parfaits (au moins une orthographe différente, ne serait-ce que par la présence d'un diacritique) | | 20% | [ 2 ] | Quelques homonymes, mais j'évite autant que possible | | 10% | [ 1 ] | Je n'y fais pas attention | | 0% | [ 0 ] | Ma langue ne comportant qu'un seul mot, le problème ne se pose même pas ! | | 10% | [ 1 ] | Les homonymes jouent un rôle positif dans (une de) mes créations linguistiques | | 10% | [ 1 ] |
| Total des votes : 10 | | Sondage clos |
| Auteur | Message |
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Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Les homonymes Mer 15 Aoû 2012 - 21:56 | |
| L'aneuvien, comme toute langue pseudonaturelle, est sujet à l'homonymie de certains termes.
Si je proscris et pourchasse impitoyablement les homographes non homophones (nous portions des portions), du moins, pour les mots entiers, car pour des lettres isolées, comme le U non accentué, y a quelques misères), si j'essaie autant que possible d'éviter les homonymes parfaits (-graphes ET -phones, comme sur, ponte, souris), il me reste pas mal de mots qui reste homophones, mais pas homographes, comme notamment
open = ouvrir & ăpen = éclore.
Quant à d'autres, je les ai plus ou moins transformés en paronymes, déplaçant par çi un accent tonique (lymònad/lỳmonad), nasalisant par là (pent/peṅt).
Bref, mon message s'adresse particulièrement aux amateurs de langues pseudonaturelles, les langues schématiques étant préservées de ce genre d'écueil.
Comment faites-vous ?
Je met un sondage à plusieurs réponses, un idéolinguiste pouvant avoir plusieurs langues de types différents.
Dernière édition par Anoev le Jeu 16 Aoû 2012 - 21:50, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Mer 15 Aoû 2012 - 22:35 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:55, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Mer 15 Aoû 2012 - 22:37 | |
| J’aime beaucoup la dernière possibilité, qui me convient bien. Je suis loin d’être contre les homonymes. C’est une des choses qui fait qu’une langue a l’air naturelle… et amusante. Je dirais même que ce qui caractérise l’humain : de ne pas coller aux choses. (Il n’est pas possible de déclarer sa flamme aux homonymes, ici ?) EDIT : La question de l’homonymie amène d’intéressantes réflexions. Qu’est-ce que c’est, un homonyme ? Prenons par exemple le mot filet. Le TLF sépare ce « mot » en trois « entrées » (donc trois mots différents ?) : sont-ce des homonymes ? Ensuite, chaque mot (ou presque) a plusieurs « acceptions » : sont-ce différents sens d’un même mot ou là encore des homonymes ? En allant plus loin, pourrait-on dire que toutes les utilisations d’un mot, dans tous les contextes (infinis, bien entendu), constituent des homonymes, puisque le sens de ses mots varient légèrement, voire imperceptiblement. Quatrième étape : j’appelle « table » deux objets différents (par exemple celle de ma chambre et celle de ma salle à manger, fussent-elles à peu près identiques) : deux homonymes ? Les lexicographes (et les autres) voient souvent homonymie et polysémie comme deux problèmes à résoudre. Pour échapper à l’homonymie, on multiplie les acceptions d’un mot ; pour échapper à la polysémie, on multiplies les entrées (comme pour filet). Conclusion : par peur de l’homonymie, on se réfugie dans la polysémie ; par angoisse de la polysémie, on se cache dans l’homonymie. Face à ce constat, est-il encore possible de définir l’homonymie ? Peut-on vraiment prétendre à catégoriser ou à discrétiser les signifiés de notre langue ? Parler d’« homonyme » a-t-il même un sens ?
Dernière édition par Yamaw le Mer 15 Aoû 2012 - 23:19, édité 1 fois |
| | | Vilko
Messages : 3564 Date d'inscription : 10/07/2008 Localisation : Neuf-trois
| Sujet: Re: Les homonymes Mer 15 Aoû 2012 - 23:05 | |
| En dibadien comme en saiwosh, les homographes sont aussi homophones, l'écriture étant phonémique. Les homonymes sont rarissimes. Mais ils ont tendance à surgir d'eux-mêmes. Par exemple, en dibadien :
Ti signifie à la fois "thé", "être" (préposition essive : Ehon ti Dibadi, la ville de Dibadi), et est aussi un suffixe nominal : chetenche, citoyen, chetencheti, citoyenneté. "Thé" se dit maintenant timëk (littéralement, "thé-aliment"), et l'homophonie entre le verbe/préposition ti et le suffixe ti n'est pas gênante.
L'homophonie entre iszta ("quoi", "chose" ou "quelque chose") et ishda ("pères") était un peu gênante, bien que le contexte permette presque toujours de lever l'ambiguïté.
J'y ai quand même mis fin: désormais "quoi" ou "chose" se dit isztas (le s est une abréviation de si, qui signifie "objet") mais le pluriel ("choses") est resté isztada, plus euphonique que *isztasda. Mais voila le dibadien avec un pluriel irrégulier, et même deux : isztato, toutes les choses, plutôt que *isztasto. J'aime bien, ça donne à la langue un aspect plus naturel.
Il y a au moins cinq façons de dire "la ville de Dibadi" en dibadien :
Ehon ti Dibadi C'est la façon la plus normale et habituelle de s'exprimer.
Dibadi ehon Dibadi ville, par opposition à la région, par exemple.
Ehon gu Dibadi S'il y a pu y avoir une différence de sens entre ti et gu, elle s'est perdue. Gu est surtout utilisé pour éviter d'avoir à prononcer à la suite plusieurs syllabes commençant par t, ou par souci de variété stylistique. Dans Eikanim ye Tlatayetgo, le livre qui sert de référence linguistique aux Dibadiens, ti et gu sont totalement synonymes.
Ehon tlakshub Dibadi La ville qui est Dibadi. Un peu lourd, donc surtout utilisé pour insister sur le fait que la ville est Dibadi.
Ehon sis Dibadi La ville : Dibadi. La ville, c'est Dibadi. Indique que Dibadi est la ville par excellence, la reine des villes. | |
| | | Vilko
Messages : 3564 Date d'inscription : 10/07/2008 Localisation : Neuf-trois
| Sujet: Re: Les homonymes Jeu 16 Aoû 2012 - 9:32 | |
| Le dibadien a deux sens différents pour un même suffixe :
Bis, "jamais", vient de bi-san, littéralement "aucun jour". Altas (aujourd'hui) vient de alta san, "maintenant jour". Dans ces deux mots, et quelques autres, le suffixe s est l'abréviation de san (jour).
Mais dans isztas, s est l'abréviation de si (objet).
En pratique, ces deux suffixes homophones fonctionnent comme un seul suffixe servant à former des mots dérivés. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Jeu 16 Aoû 2012 - 17:21 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:56, édité 1 fois |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Jeu 16 Aoû 2012 - 21:48 | |
| - Yamaw a écrit:
- Il n’est pas possible de déclarer sa flamme aux homonymes, ici ?
Erreur de ma part , raison pour laquelle je vais peaufiner un peu tout ça (ajout d'options au sondage : c'est fait). - lsd a écrit:
- 'fectivement en bonne langue a priori ce qui se dit de la même façon veut dire la même chose
Et ce qui se dit pareil sans s'écrire pareil ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 0:27 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:56, édité 1 fois |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 0:40 | |
| - lsd a écrit:
- En langue construite pourquoi singer les hasards de l'histoire qui ont fait des homonymes ou des orthographes bien peu orthodoxe
Par un réseau de coïncidences, tout simplement. Par exemple, en aneuvien, j'avais, à l'origine, pour le [ɔ], simplement un O, diacrité (Ò) ou non. Là d'ssus, apparaît, à cause de certains apports externes, des mots comme audj, que je prononce, bien évidemment /ɐʊdj/. Le problème, c'est que la règle aneuvienne du subjonctif passé raccourcit les sons vocaliques longs... et les diphtongues. Comment raccourcir le [ɐʊ] de audía afin que le mot d'origine (audio, audience, audition etc...) reste reconnaissable malgré tout, malgré un léger charcutage ? J'ai simplement choisi le son [ɔ], restait plus qu'à trouver une écriture qui ne l'éloignât pas trop de l'origine ( odía aurait été malvenu : on ne reconnaissait plus la racine ( audj), j'avais le choix entre Å et Ă. Pour une question d'économie de diacritiques, et aussi pour une raison mnémonique (le ̆ ressemble à un petit U au dessus de la lettre, et le Ĕ était aussi concerné, pour le raccourcissement du OE ([œː]) et du EU ([øː])), j'ai choisi le deuxième. Et c'est comme ça que j'ai eu deux voyelles dissemblables pour un même phonème vocalique. Ça m'a permis certains rapprochements (cf plus haut) comme open & ăpen*. Pour les consonnes, c'est un peu moins rare, mais c'est malgré tout pas au point de certaines langues naturelles. On a ainsi kud = coude ; qud = désir sexuel veryde = vrais ; weryde = différents (divers). * Et à ce titre, donc, le Ă devenait "autonome" du AU, certains noms ayant des radicaux contenant un Ă ne venant pas d'un raccourcissement. Toutefois, le O continue à exister : pas question que j'écrive un mouton ăv ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 11:47 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:57, édité 1 fois |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 12:54 | |
| - lsd a écrit:
- ...pourquoi singer les hasards de l'histoire (...) (singerie)
J'ai surtout l'impression que tu opères dans la présomption. Une langue construite (surtout si c'est une persolangue) n'est pas obligatoirement schématique (comme peuvent l'être, par souci de simplicité et de compréhension, les auxlangues) et il peut y avoir une dose d'à-peu-près qui les rend moins "rigoureuses" et plus proches des langues que nous avons appris en classe ou en vacances (tourisme). Bien sûr, je pourrais très bien faire prononcer open /ɔpən/ et ăpen /ɒpən/, mais le [ɒ], par la force de l'habitude, pour quelqu'un parlant une langue ne disposant pas de ce son, se transformerait assez rapidement en [ɔ]. Du reste, pour prendre les devants, j'ai laissé une assez grande lattitude au Ă, justement, pour parer à toute éventualité. Ce qui ne serait pas (à mon humble avis) une bonne méthode, ce serait de faire dans la difficulté à l'envi, sans ne donner AUCUNE justification à une "règle tordue" donnée. Certaines irrégularités, assez curieusement, facilitent la pratique de la langue, je m'en suis rendu compte à plusieurs reprises au fur et à mesure de l'évolution de l'aneuvien. Et pour celles qui sont vraiment inutiles, je les fais disparaître progressivement. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 16:20 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:57, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 16:37 | |
| - lsd a écrit:
- Je ne vois que le cas des langues maquettes faite pour donner l'illusion d'une culture réelle à un livre un film un jdr,... qui l'encourage.
...Mais bien sur, l'on peut choisir de se donner l'illusion d'une culture historique, d'un monde autre dans le cadre d'une diégèse...(mais on reste dans un cadre de langue maquette). Les seules étrangeté de ce type qui soit naturelle à une langue construite c'est bien quand la langue quitte le cadre de la construction pour passer à l'usage... Ne peut-on pas prendre plaisir à créer une (perso-)langue pseudo-naturelle, pleine d’irrégularités et d’incohérences, de trous et de manques, de doublons et de redondances, pour elle-même, c’est-à-dire hors diégèse et hors usage ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 16:49 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:57, édité 1 fois |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 17:09 | |
| - Yamaw a écrit:
- Ne peut-on pas prendre plaisir à créer une (perso-)langue pseudo-naturelle, pleine d’irrégularités et d’incohérences, de trous et de manques, de doublons et de redondances, pour elle-même, c’est-à-dire hors diégèse et hors usage ?
Certes si : comme je disais : si on eut expliquer la raison d'une irrégularité, ça peut donner une impression de "vivant" à la langue. Sinon, ça reste évidemment une belle œuvre d'art (genre Picasso), mais sans rien de plus. | |
| | | Vilko
Messages : 3564 Date d'inscription : 10/07/2008 Localisation : Neuf-trois
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 17:18 | |
| Les homonymes sont inévitables dans toutes les langues construites. Ainsi, en espéranto, avaro signifie à la fois "avarice" et "un groupe de grands-pères". Même en espéranto on a besoin du contexte pour comprendre une phrase ! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 17:47 | |
| - Anoev a écrit:
- une belle œuvre d'art (genre Picasso), mais sans rien de plus.
C’est déjà pas mal ! - Vilko a écrit:
- Les homonymes sont inévitables dans toutes les langues construites. Ainsi, en espéranto, avaro signifie à la fois "avarice" et "un groupe de grands-pères". Même en espéranto on a besoin du contexte pour comprendre une phrase !
Mmh… si tous les mots avaient le même nombre de syllabes, on n’aurait pas ce genre de « problème » (vous avez compris, ce n’en est pas un pour moi), si ? |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 22:55 | |
| - Yamaw a écrit:
- Mmh… si tous les mots avaient le même nombre de syllabes, on n’aurait pas ce genre de « problème » (vous avez compris, ce n’en est pas un pour moi), si ?
J'demande à voir : les déterminatifs qui auraient autant de syllabes que les mots résultant de l'agglutination de deux radicaux... Ça m'rend curieux ! - Vilko a écrit:
- Ainsi, en espéranto, avaro signifie à la fois "avarice" et "un groupe de grands-pères".
Pour cet exemple, du moins, l'aneuvien s'en sort mieux que l'espéranto : ajoeldaktul = groupe de grand pères (ensemble de...) dinràchet = avarice. Le grand-père de Zamenhof, il aurait pas été du genre Harpagon, des fois ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 23:05 | |
| Et si on applique les principes ellesdéens à l’esperanto, on en conclut qu’un groupe de grands pères est nécessairement et réciproquement avare ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 23:08 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:58, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 23:10 | |
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Dernière édition par lsd le Jeu 4 Juil 2013 - 17:58, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les homonymes Ven 17 Aoû 2012 - 23:53 | |
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| | | Leo
Messages : 2324 Date d'inscription : 26/03/2009 Localisation : Peut-être
| Sujet: Re: Les homonymes Sam 18 Aoû 2012 - 0:15 | |
| Même avec des racines de la même longueur en esperanto on obtient des homonymes:
re-vid-i: revoir rev-id-i: être le fruit d'un rêve
ter-an-o: terrien te-ran-o: grenouille à thé
Le volapük était notoire pour ses jeux de mots et ses dérivés obscurs où on ne savait pas si le mot commençait par une série de préfixes ou une racine. Il y avait même un jeu dans le volapükabled où les lecteurs devaient déchiffrer un long mot composé.
Ca rappelle les concours d'obfuscated code des programmeurs: http://en.wikipedia.org/wiki/International_Obfuscated_C_Code_Contest | |
| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Les homonymes Sam 18 Aoû 2012 - 0:42 | |
| - Leo a écrit:
- re-vid-i: revoir
rev-id-i: être le fruit d'un rêve
ter-an-o: terrien te-ran-o: grenouille à thé D'où l'intérêt, dans certains cas où c'est possible, de mettre des diacritiques pour repérer le radical : terano pour terrien & teráno pour grenouille à thé (théière ayant une forme de grenouille ? Après tout, on a bien celles-là !). Pour l'autre, je verrais bien (respectiv'ment) revídi & revidi. Depuis que les diacritiques sont entrés dans l'aneuvien, ils sont exploités au maximum, dans certaines conjugaisons (verbes en "2 consonnes + -en", comme hàlten), il peuvent faire la différence entre l'indicatif passé et le subjonctif passé : hàltena, halténa. Cependant, tout n'est pas si rose : dans un certain nombre de verbes, pas si rares que ça ( arrenar, hab, kom, lónar et de nombreux autres) le singulier de l'indicatif présent et le subjonctif présent (invariable, comme le passé) ainsi que les temps qui en découlent (imparfait, futur) sont au pire homonymes parfaits, au mieux homophones. e stĕ tep ar mir kome = je sais qu'ils viendront eg mir waad tep ar mir kom = j'attendrai qu'ils viennent | |
| | | Leo
Messages : 2324 Date d'inscription : 26/03/2009 Localisation : Peut-être
| Sujet: Re: Les homonymes Sam 18 Aoû 2012 - 1:05 | |
| Ces diacritiques marquent l'accent tonique ou bien sont de simples indications morphologiques? Dans les exemples que j'ai donnés, l'accent tonique ne change pas, bien sûr. Ces exemples sont tirés par les cheveux mais il y a quelques homonymes assez fréquents: sentema peut signifier sent-em-a: sensible, et sen-tem-a: athématique. | |
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| Sujet: Re: Les homonymes | |
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