Le Stellaire, questions, débats etc.

La concordance avec tous les points d'un petit manuel d'analyse grammatical, entraîne plusieurs mises à jour, qui sont des outils supplémentaires ou alternatifs :

Les subordonnées complétives "que" impliquent que la subordonnée remplisse des fonctions grammaticales pour compléter le verbe. Donc les fonctions grammaticale de nom vont s'appliquer désormais aux articulations (entre deux verbes) / conjonctions (entre deux noms).

Cela implique qu'une terminaison de fonction s'applique à un segment de la phrase sans que le mot désigne un objet de la scène, ce qui n'est possible qu'en lui appliquant directement la terminaison de ponctuation AO / EO.

Je pense que (complément d'objet direct) le monde est petit.
Pensom qeo (ouverture de la réponse à la question "que penses-tu ?") li mondes petitest.
Pensom neo (ouverture de la subordonnée complément d'objet direct) li mondes petitest.

Cela implique aussi des fonctions de nom de concession (malgré), d'opposition (à l'opposé) et de condition (si) pour que le système de subordonnées alternatifs à des noms compléments coïncide avec le système des fonctions des noms.

Et cela implique de sacrifier les ponctuations élémentaires, une série de mots spécifiques au stellaire. Apparemment c'est une tendance lourde, puisque j'ai déjà dû sacrifier les verbes élémentaires pour que le système grammatical soit cohérent.

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L'adverbialisation I/U permet d'utiliser ces subordonnées complétives (tout comme les subordonnées relatives) comme complément de complément, le stellaire distinguant le complément du verbe du complément de ses compléments par adverbialisation.

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Et encore de la réécriture en perspective

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Courage.

Je reste curieux de la lire lorsqu'elle sera disponible.

Velonzio Noeudefée a écrit:

Courage.

Je reste curieux de la lire lorsqu'elle sera disponible.

Moi aussi, décidément 2020 est l'année des grammaires papiers. J'encourage chacun à le faire, je serais ravis de lire les grammaires des principales idéolangues de ce forum.

Merci à vous deux.

Citation :

Les subordonnées complétives "que" impliquent que la subordonnée remplisse des fonctions grammaticales pour compléter le verbe. Donc les fonctions grammaticale de nom vont s'appliquer désormais aux articulations (entre deux verbes) / conjonctions (entre deux noms).

Cela implique qu'une terminaison de fonction s'applique à un segment de la phrase sans que le mot désigne un objet de la scène, ce qui n'est possible qu'en lui appliquant directement la terminaison de ponctuation AO / EO.

Je pense que (complément d'objet direct) le monde est petit.
Pensom qeo (ouverture de la réponse à la question "que penses-tu ?") li mondes petitest.
Pensom neo (ouverture de la subordonnée complément d'objet direct) li mondes petitest.

D'après les premiers tests, la solution est plus simple : il suffit apparemment d'adverbialiser le pronom relatif juste après le verbe conjugué pour obtenir la complétive remplissant n'importe quelle fonction. Dans l'exemple précédent, je retombe alors sur la même solution grammaticale dans les deux cas de figure.

Je pense que (complément d'objet direct) le monde est petit.
Pensom qenu (ouverture de la réponse à la question "que penses-tu ?") li mondes petitest.
Pensom qenu (ouverture de la subordonnée complément d'objet direct) li mondes petitest.

U étant la terminaison d'adverbe postposé, qui sert aussi à construire les compléments de compléments et les verbes complétifs ("je veux que tu chantes", voulom chantazu).

Il ne faut pas passer par les ponctuations AO / EO qui effectivement, ne peuvent pas remplir de fonctions à la manière d'un nom (d'un objet de l'histoire racontée par la phrase). Donc les ponctuations élémentaires stellaires devraient survivre à la mise à jour.

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Greenheart a écrit:

D'après les premiers tests, la solution est plus simple : il suffit apparemment d'adverbialiser le pronom relatif juste après le verbe conjugué pour obtenir la complétive remplissant n'importe quelle fonction. Dans l'exemple précédent, je retombe alors sur la même solution grammaticale dans les deux cas de figure.

Je pense que (complément d'objet direct) le monde est petit.
Pensom qenu (ouverture de la réponse à la question "que penses-tu ?") li mondes petitest.
Pensom qenu (ouverture de la subordonnée complément d'objet direct) li mondes petitest.

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... ne fonctionne pas, en particulier dès que la complétive est incise.
par exemple (en gras la principale, en maigre les deux complétives) :

Qu'il parte pour le Japon n'est pas ce à quoi je m'attendais.

Dans une relative, le pronom relatif porte sa fonction dans la relative, mais il n'indique pas quelle fonction rempli l'antécédent (en stellaire c'est possible).

Dans une complétive, l'antécédent c'est le verbe, et c'est la complétive qui devrait porter la fonction qu'elle a dans la principale, mais le "que" complétif n'a aucune fonction dans la subordonnée complétive.

Donc la solution est bien d'utiliser la consonne de fonction stellaire comme racine d'un adverbe complétif qui indique quand commence ou finit la complétive. Et ce n'est toujours pas possible avec une ponctuation qui segmente la phrase sans indiquer une fonction particulière pour le segment.

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Donc j'ai affaire à ... une nouvelle classe de mot (auto-descriptifs, car décrivant la phrase et non l'histoire que raconte la phrase).

Cette nouvelle classe est forcément adverbialisée à cause de la nécessité d'indiquer dans quelle direction se trouve la phrase principale dans laquelle la complétive occupe une fonction.

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Donc la solution semble être la nouvelle classe des adverbes complétifs EI / EU, dont les premières consonnes sont celles de la fonction de subordonnée complétive par rapport au verbe de la principale.

Qu'il parte pour le Japon n'est pas ce à quoi je m'attendais.
(complétive objet de "je m'attendais") (complétive attribut de "ce n'est pas").
partibot Japonej nei ni evet steu m'attendiram.

= Je ne m'attendais pas à ce qu'il parte pour le Japon.
Ni m'attendiram neu partibot Japonej.

Je pense que (complément d'objet direct) le monde est petit.
Pensom neu li mondes petitest.

*edit*

La solution s'applique également à toutes les questions et exclamations indirectes.

Elle demanda : "qu'en penses-tu ?"
Demandicat "ken pensoz ?"

Elle demanda ce qu'il en pensait.
Demandicat neu pensirot.

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Je dois avouer que ton questionnement m'a fait réfléchir. Je n'ai pas mis le résultat de mes réflexions ici (aneuvotroll), mais si ça t'intéresse, tu peux aller voir par là ce que j'en ai déduit.

Merci pour le lien.

On peut aussi analyser

Qu'il parte pour le Japon n'est pas ce à quoi je m'attendais, comme

Proposition subordonnée (complétive) sujet/copule/négation/ce: attribut du sujet/à quoi je m'attendais: complément de l'attribut (sous la forme d'une proposition subordonnée).

Il est vrai que les deux subordonnées dans ce cas sont liées.

Stellaire a été traité ; j'ai pensé à toi.

Anoev a écrit:

Stellaire a été traité ; j'ai pensé à toi.

Merci.