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 Uazei Eig·o

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Ziecken
bakou
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bakou

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MessageSujet: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyDim 1 Juil 2018 - 22:31

Bonjour !
Voila quand j'ai "monté" le projet de traduction du texte je me suis dit que toute les 100 traductions, je fabriquerai une idéologue "originale", avec des contraintes particulière et fonctionnelle.
Comme la 200 est sur le point d'arriver j'ai commencé la rédaction des règles pour le Uazei Eig·o.

Pour partir sur des bases saines je vais vous propose de jeter un œil sur la phonétique et les syllabes.

Majuscule........Minuscule........Son........Exemple
...................................Voyelles..............................................................
Y.............................y..............[y]...............Urine
I.............................i..............................dit
E.............................e..............[e]..............Electron
A.............................a..............[a]..............Arbre
O.............................o..............[o]..............Opium
U.............................u..............(u)...............Doux
.................................Consonne..............................................................
F.............................f..............[f]...............Feu
H.............................h.............[h]..............Ha ! Hop !
Z.............................z..............[z]...............(Al.) Sowie
V.............................v..............[v]...............Avec
N.............................n..............[n]...............(it.) Nido
M.............................m..............[m]...............Mai
T.............................t..............[t]...............(it) mito
Th.............................th..............[th]...............(en.) Till
P.............................P..............[p]...............Papa
Ph.............................ph..............[ph]...............(En.) pen
K.............................k..............[k]...............kaki
Kh.............................kh..............[kh]...............(en.) Kill
D.............................d..............[d]...............(it) Dunque
B.............................b..............(b)..................Table
Bh.............................bh..............[bh]...............Sanskrite bhāgnā
G.............................g..............[g].................Gai
L.............................l..............[l].................Lutte
Lh.............................lh..............[lh]
J.............................j..............[j].................fille[/b][/sup][/sup][/sup]
En début du mot, le H est toujours aspiré comme le mot japonais Hiragana. Dans cette configuration, il se trouve toujours avant une voyelle.

Lorsqu’il est à l’intérieur d’un mot, il peut seulement suivre les lettres B, P, K, T, L. Dans cette situation h s’écrit en minuscule et sous forme d’exposant bh Bh, ph Ph, kh Kh, th Th et lh Lh, dans ce cas les lettres doivent être prononcées dans une aspiration d’air.







Dans certains cas les lettres initiales peuvent avoir des signes diacritiques.

Uazei Eig·o 1537192707-sans-titre-3


Lorsque la lettre est épelée, le macron se nomme barre par exemple ē se dit «e barre».
Lorsque 2 lettres identiques se suivent, il est plus commode de les remplacer par leur forme barre. Si la compréhension de la phrase est réduite par ce changement il est préférable de conserver les 2 lettres à la suite.


A l’écrit, il est possible d’utiliser le point souscrit sur la dernière lettre des préfixes et la première des suffixes des cas grammaticaux. Ceci n’est rien d’autre qu’un repère visuel, il ne modifie pas la sonorité de la lettre. De plus il est facultatif.
Lorsque la lettre est épelée, le point souscrit se nomme sous point par exemple ḷ se dit «l sous point».








La listes des syllabes possibles (car elles me semblent prononçables)
Mono-gramme:
Mono-gramme: Y, I, E, A, O, U, H (uniquement en début de nom).
Z, M, T, G. (uniquement en début d’adjectif).
Bi-gramme :Yi, Ye, Ya, Yo, Yu, Yf, Yz, Yv, Yn, Ym, Yt, Yth, Yp, Yph, Yk, ykh, Yd, Yb, Ybh, Yg, Yl, Yj
Ie, Ia, Io, Iu, If, Iz, Iv, In, Im, It, Ith, Ip, Iph, Ik, Ikh, Id, Ib, Ibh, Ig, Il, Ij
Ai, Ao, Au, Af, Az, Av, An, Am, At, Ath, Ap, Aph, Ak, Akh, Ad, Ab, Abh, Ag, Al, Aj
Ei, Ea, Eo, Eu, Ef, Ez, Ev, En, Em, Et, Eth, Ep, Eph, Ek, Ekh, Ed, Eb, Ebh, Eg, El, Elh
Oy, Oi, Oe, Oa, Ou, Of, Oz, Ov, On, Om, Ot, Oth, Op, Oph, Ok, Okh, Od, Ob, Obh, Og, Ol, Oj
Uy, Ui, Ua, Uo, Uf, Uz, Uv, Un, Um, Ut, Uth, Up, Uph, Uk, Ukh, Ud, Ub, Ubh, Ug, Ul, Uj
Fy, Fi, Fe, Fa, Fo, Fu, f̄, Fz, Ft, F’g, Fl, Fj
Hy, Hi, He, Ha, Ho, Hu
Zy, Zi, Ze, Za, Zo, Zu, z̄, Zv, Zn, Zk, Zd, Zb, Z’g, Zl, Zj
Vy, Vi, Ve, Va, Vo, Vu, v̄, vn, Vm, V’g, Vl, Vj
Ny, Ni, Ne, Na, No, Nu, n̄, nt, n’b, nf, N’g, nl, Nj
My, Mi, Me, Ma, Mo, Mu, Mz, m̄, Mk, mp, M’g, Mj
Ty, Ti, Te, Ta, To, Tu, Tf, Tz, t̄, T’g, Tl, Tj
Thu, Thi, The, Tha, Tho, Thu, Thj
Py, Pi, Pe, Pa, Po, Pu, Pf, Pz, Pn, Pt, p̄, P’g, Pl, Pj
Phy, Phi, Pha, Phe, Pho, Phu, Phj
Ky, Ki, Ke, Ka, Ko, Ku, Kf, Kz, Kv, Kn, Km, Kt, k̄, K’g, Kl, Kj
Khy, Khi, Khe, Kha, Khu, Khj
Dy, Di, De, Da, Do, Du, Dz, D’n, Dm, Dk, d̄, D’g, Dj
By, Bi, Be, Ba, Bo, Bu, Bz, B’m, b̄, B’g, Bl, Bj
Bhy, Bhi, Bhe, Bha, Bho, Bhu, Bhj
Gy, Gi, Ge, Ga, Go, Gu, Gz, G’n, G’m, ḡ ou g’, Gl, Gj
Ly, Li, Le, La, Lo, Lu, Lh, Lf, lz, ln, lt, lk, l̄, l’g, ld, Lb, Lj
Lhy, Lhi, Lhe, Lha, Lho, Lhu
Ju, Ji, Je, Ja, Jo, Ju, j’g (uniquement en fin de mot)



- La présence de l’apostrophe entre deux lettres, imposent un léger temps d’arrêt entre les lettres qui l’encadre. Par exemple, n’g se prononce n.g, on’gal se prononcera on guéal.
- les consonne ne peuvent pas avoir de doubles macrons.
- 3 consonnes identiques (ou la même consonne à côté de sa consonne au macron) ne peuvent pas se suivent.
- Les polygrammes doivent respectés les suites imposées par les bi-grammes.





Les Noms (V...C)


Un nom (substantif) est une succession de syllabe, il commence par une voyelle ou un H et fini par une consonne sauf H et J.


- La formation du lexique découle des noms.
- Ils commencent toujours par une voyelle sans diacritiques ou par un H.
- Ils finissent toujours par une consonne, sauf H et J (à l’exception du mot outil).
- La consonne finale ne peut pas porter de macron.

Il n‘y a pas de genre grammatical. Toutefois, il est possible de préciser si le nom se rapporte à un élément femelle ou mâle.  
- Pour féminiser, le suffixe -eg  est ajouté. Uvzoladeg => une sourie femelle, Odomeg' =>Organes génitaux féminins
- Pour masculiniser, le suffixe -ig est ajouté. Uvzoladig => une sourie mâle, Odomig' =>Organes génitaux Mâles.

Macronisation: sens privative, nom antagoniste.




1) Lorsque l’on souhaite donner un sens privatif «sans» ou «Il n’y a pas de» à quelque chose. La voyelle initiale devient long à l’orale et obtient un macron à l’écrit. Attention dans le second, cas il faut préciser le verbe.

«Akev» signifie «le noyau», Ākev «sans le / Ø noyau».
Si dans le nom une des voyelles portes déjà un macron celui-ci disparait et la lettre devient courte à l’oral. «Okhȳn» signifie «ballon» «Ōkhyn» «sans le / Ø ballon».
Une cellule sans le / Ø noyau => Ākev emjav. Ou Emjav ākev.
Jouer sans le / Ø ballon». => Ōkhyn emjapei.

2) Cette règle s’applique aussi à tous les autres types de mot (adjectif, nom propre, pronom…). Il faut être vigilant sur le «le quoi ?» porte la négation. La perte du macron s’applique seulement sur les voyelles du nom ! Aucunes des consonnes ne perdra son macron.

- Alice aime les gâteaux sans chocolat => Eno Alice itin’gynize t̄eobomat aib̄im’g.
- Alice déteste les gâteaux au chocolat. => Eno Alice itꭐn’gynize theobomat aib̄im’g.
- Alice n’aime pas les gâteaux au chocolat. => Eno Alice ītin’gynize theobomate aib̄im’g.
- Alice ne déteste pas les gâteaux sans chocolat. => Eno Alice ītꭐn’gynize t̄eobomat aib̄im’g.
- Alice mange sans Bob. (Là maintenant) => Eno Alice iteb’motholizei B̄ob.

3) Le Uazei Eig·o est une langue «positive». Elle contient dans son vocabulaire «propre», c’est-à-dire hors mot d’emprunt, que des noms avec des connotations positivités ou bonne. Pour former les mots «négatifs», le procéder de la double macronisation est utilisé:
La double macronisation permet de former des mots avec des sens antagonistes.
L’antagonisme peut être de différent type:

- Le type direct, c’est-à-dire que l’opposition coule de source en français comme: Dureté / Mollesse ; Paix / Guerre, Haut / Bas, Devant / Derrière.

- Le type subtil, le lien est fait par l’intermédiaire de connaissance du socle commun: Violet / Jaune (couleur complémentaire).

- Le type lié à l’un des deux premier type: Ciel / Terre (lié à haut / bas), Dos / Ventre (lier à devant / derrière), Diamant / Onyx (lié à blanc noir).

- Les liens complexes ou idiomatiques, les liens complexes reviennent généralement à être de bon sens en vue des autres règles sans pour autant être admissible par tous.
Par exemple : Manger c’est faire entrer de la nourriture par la bouche, Régurgiter c’est faire sortir de la nourriture par la bouche.

Au lieu de s’allonger encore, la voyelle initiale diphtongue à l’oral, à l’écrit soit elle obtient 2 macrons superposés soit elle s’écrit sous sa forme de ligature:
«Yuz» signifie «la clarté» => «Ȳuz» signifie « sans la / Ø clarté» => Ꜽuz «l’obscurité».
- Quand l’une des voyelles du nom possède déjà un macron,  elle le conserve suite à une double macronisation. «Uzōj» signifie «le silence» => «Ūzoj» signifie «sans le / Ø silence» => «ᵫzōj» signifie «le bruit».

4) Afin, la triple micronisation permet d’atteindre le sens privatif des mots antagonistes formés par double macronisation. La voyelle initiale voit sa diphtongue s’allongée à l’oral. À l’écrit, soit elle obtient 3 macrons superposés soit la ligature obtient un macron.
«Yuz» signifie «la clarté» =>  «Ȳuz» signifie « sans la / Ø clarté» => Ꜽuz «l’obscurité» =>  uz «sans l’/ Ø obscurité».

Quand l’une des voyelles du nom possède déjà un macron, elle le perd suite à une triple macronisation.
«Uzōj» signifie «le silence» => «Ūzoj» signifie «sans le / Ø silence» => «ᵫzōj» signifie «le bruit»=> « zoj» «sans le / Ø bruit».





Particularisme des nombres

Bien que les nombres soit des noms, ils ne respectent pas la norme voyelle initiale et consonne terminale. Leurs initiales suivent l’ordre alphabétique des consonnes sans le h et les lettres aspirés. Les suffixes indiquent leur ordre de grandeur.


_________________________________________________________
|UE....|....Français....|....Symbole....|....UE....|....Français....|....Symbole|
|------------------------------------------------------------------------------------------|
|....f̄yf̄....|.......0..........|.........F̄........|....Pyf̄̄...|.......7...........|.......P..............|
|....Fyf̄....|.......1..........|.........F........|....Kyf̄̄...|.......8...........|.......K..............|
|....Zyf̄....|.......2..........|.........Z........|....Dyf̄̄..|.......9...........|.......D..............|
|....Vyf̄....|.......3..........|.........V........|....Fyf...|.......10.........|......FF̄.............|
|....Nyf̄....|.......4..........|.........N........|....Fyz..|.......100.......|......FF̄F̄...........|
|....Myf̄....|.......5.........|.........M........|...Zyv...|.......2000......|......ZF̄F̄F̄.........|
|....Tyf̄....|.......6..........|.........T.........|...Vyv’jo’myz..|...3500..|.....VMF̄F̄........|
|------------------------------------------------------------------------------------------|
1) 1) Pour les nombres comme deux cents trente-deux mille un  (232 001), il faut prendre chaque nombre puis de les lier avec «’jo’» à l’écrit. A l’oral il sera préférable d’énumérer la suite de symbole.

232 001 => Zyt’jo’vyi’jo’zyz̄’jo’fyf̄ ou ZVZF̄F̄F.

2)Pour un entier unaire, composé d’un seul et même chiffre, comme 222 222 222, il suffit de dire l’équivalant n 2 à la suite en élevant le préfixe «-f̄» au chiffre concerné par le nombre.
222 222 222 => 9 2 à la suite => Dyf̄ov̄oz·omy zy ou Dv̄Z.
999 999 999 999 999 999 999 999 999 999 999 999 999 999 =>  Nyf’jo’zyf̄ov̄oz·omy dy ou NZv̄D.

3) Lorsqu’un nombre est périodique comme 238 238 238, il suffit d’indique le nombre de répétition puis d’indiquer les nombres sans les préfixe «-f̄» mais avec «‘jo’».
238 238 238 => 3 fois 238. Vyf̄ob̄og·omy zy’jo’vy’jo’ky ou Vb̄ZVK.

Dans les deux cas le déterminatif·omy lié au domaine de l’arithmétique est facultatif.

4) Dans le cas où le nombre à un exposant négatif, comme 2045-67, 10-18.
L’ordre d’écriture / d’énumération commence par les puissances de 10 positives jusqu’aux dizaines, l’unité portera le suffixe lié à l’exposant négative. «L’écriture simplifiée» du nombre porte en exposant les lettres majuscules du suffixe numéraire précédé de «œ» en minuscule.
10-18 => fyf ’jo’f̄yœl. FF̄œL
2045-67 => Zyz̄ ’jo’nyz’jo’myœfē. ZF̄NMœFĒ

L’écriture simplifiée des nombres à exposant positif fonctionne sur le même principe mais il n’y a pas le «œ» en minuscule devant les lettres majuscules du suffixe numéraire.
204567 => ZF̄NM.

5) Les nombres décimaux s’énumèrent en partant de la partie avant la virgule puis en énonçant le passage à la partie décimale part æz̄at (décimal) enfin la partie après la virgule est énoncée comme en français. Dans sa forme compacte, la virgule est symbolisée par z̄.
2045,43 => Zyv’jo’nyz’jo’myf̄ æz̄at  Nyf ’jo’vyf̄ ou ZF̄NMz̄NK.


6.1) Pour les fractions, qui sont une partie (numérateur) sur un tout (dénominateur), il est nécessaire d’utiliser la forme suivante «numerateur’dénominateur’ḡ» avec ’ḡ qui représente le partitionnement d’un ensemble.  

Par exemple
2/3 => Z’V’ḡ ou Zyf̄ ’vyf̄ ’ḡ.

6.2) Pour les fractions du type 1/x avec x un entier comprit entre 2 et 9, comme un quart ….
Il faut simplement utiliser le préfixe du nombre au dénominateur et lui ajouter le suffixe «-œf» après «y».
Toutefois leur forme «réduite» respecte les règles classiques des fractions.

Par exemple ¼ = 4-1 => Nyœf ou F’N’ḡ ou simplement N’ḡ ou NœF.
Le F du numérateur peut être simplifié dans un récit. Attention, lors d’un calcul il est préférable de l’indiquer.

- Pour les nombres plus longs dans lesquels les unités sont différentes de 0, seul le nombre de l’unité portera le «-œf». Un peu comme un trois-cent-trente-huitième (1/338) en français. Par exemple 1/2302 => Zyz̄ ’jo’vyv’jo’zyœf ou F’ZVF̄Z’ḡ ou simplement ZVF̄Z’ḡ ou ZVF̄ZœF.

Dans ce cas, le marqueur ’ḡ ne doit pas être utilisé car il est redondant. En effet, l’insertion de «œ» indique que l’exposant 1 est négatif.
Donc Zyz̄ ’jo’vyv’jo’zyœf => 2302-1 = 1/2302.

L’ajout du marqueur ’ḡ indiquerai de nouveau une fraction donc
Zyz̄ ’jo’vyv’jo’zyœf ’ḡ 1/2302-1 = 1/(1/2302) = 1/1 x 2302 / 1 = 2302.

- Pour les nombres plus longs dans lesquels les unités sont égales à 0, il faut indiquer la présence du 0 à l’unité et lui faire porter le «-œf».
Par exemple 1/2300 => Zyz̄ ’jo’vyv’jo’f̄yœf ou F’ZVF̄F̄’ḡ ou simplement ZVF̄F̄’ḡ ou ZVF̄F̄œV.
En effet, ceci est nécessaire car sans cette information, Zyz̄ ’jo’vyœv => 2000-3.


7) Les ordinaux sont formés à partir du nombre et du suffixe «-uiz». Cette forme permet de classer autant des éléments sexués et non sexués.
Si il faut préciser le sexe, il est possible d’apporter les suffixes «-ig» et «-eg» après «-uiz».
Lorsque ce sont des noms, ils prennent arbitrairement un «o-» en initiale.
Le premier => Ofyf̄uiz.

Pour les tournures du type «c’est la nième fois», la structure sera « marqueur temporel + o + nombre + uiz  + marqueur temporel + an̄ + e / ei.»

Pour les tournures du type «c’est la / le premier(e)», la structure sera « marqueur temporel + o + nombre + uiz + eg / ig + marqueur temporel + an̄ + e / ei.»






Les verbes ((V...CEI) ou (VTV...CVZE(I))



- Un verbe à l’infinitif se forme à partir du nom en ajoutent le suffixe «-ei».
- Les verbes auxiliaires, et le verbe être n'existe pas !
-Lorsqu'un verbe est inclue dans une structure grammaticale, l'ordre des éléments à agglutiner est le suivant :
soit Préfixe du cas + marqueur temporel + Nom + marqueur temporel + j̄ + ei / e.
ou  marqueur temporel + Nom + suffixe du cas + marqueur temporel + j̄ + ei / e.  






Les adjectifs (CV...VC)


- Un adjectif est une succession de syllabe, il commence par une consonne et fini par une voyelle.
- Ils sont toujours en épithète avec le nom et sont invariables en genre et en nombre.
- Ils peuvent être placés soit avant si l’information qu’il contient est plus important que le nom ou dans le cas d’une association exotique provoquant la surprise de l’orateur.
- Soit après, si son information est moins importante que le nom ou que c’est le résultat attendu.

Pour former un adjectif à partir d’un nom il faut:
- Ajouter le préfixe g- si il commence par E ou O.
- Ajouter le préfixe m- si il commence par Y ou U.
- Ajouter le préfixe z- si il commence par A ou I.
- Ajouter le préfixe t- si il commence par H avec TH => Th.

- Ajouter le suffixe -e si il finit par L, D, T ou P.
- Ajouter le suffixe -o si il finit par K, G, F ou N.
- Ajouter le suffixe -i si il finit par  Z,  V,  M, ou B.


Particularisme du vocabulaire, État de la matière

Les termes qui reflet une matière dans un état particulier comme par exemple «glace» ou «lave» n’existe pas. Il faut préciser la matière et lui adjoindre l’adjectif nécessaire «Solide», «liquide», «gaz», «condensat de Bose-Einstein», «oxyde», «natif»…
Donc «glace» devient «eau solide», généralement l’ordre sera plutôt «solide eau», en effet, dans ce contexte l’adjectif est porteur de l’idée central.
Si cette précision n’est pas effectuée, l’état de la matière est considéré par défaut comme celui qui est le plus abondant soit là où se trouve le locuteur soit dans les conditions précisées par le contexte.
Par exemple : Sur Terre, lorsque l’on dit « sert moi un verre d’eau», l’eau est sous l’état liquide.
Par contre lorsque l’on dit «vas voir les bouteilles d’eau dans le congélateur», dans ce contexte le Uazei Eig·o considère l’eau à l’état solide.



Attention



il est possible de créer des assemblages d’adjectifs comme par exemple dans la phrase :  «une jupe rose à points bleus». Ici «rose» et «points» qualifient directement la «jupe», alors que «bleu» qualifie directement les «points».
Dans ce cas il existe deux solutions:
- Si dans le contexte la précision n’est pas importante, il suffit de ne pas la donner.
- S’il faut la préciser, alors il faut assembler les mots «points» et «bleu» dans le sens du plus important et sous leur forme de nom.

Attention une règle restrictive s’applique si la première lettre de l’un des deux mots est un «H». A savoir, seules les compositions suivantes sont possibles: Thu, Thi, The, Tha, Tho, Thu, Thj, Phy, Phi, Pha, Pho, Phu, Phj, Khy, Khi, Khe, Kha, Khu, Khj, Bhy, Bhi, Bhe, Bha, Bho, Bhu, Bhj, Lhy, Lhi, Lhe, Lha, Lho, Lhu.
Une fois le nom composé, il suffit de l’adjectiver. Cette construction est sans fin, après sera-t-elle raisonnable ?

Une jupe rose à points bleu => Myk’nate olalyd zikovaz̄yko.
Une jupe rose à points bleu clair => Myk’nate olalyd zikovaz̄ykyuzi.

Attention cette méthode de construction ne s’applique pas au cas possessif.  


L’adjectivation permet de couvrir les cas :


- Lorsque la préposition «de», «en», «à», «à la» ou «au» indique une matière, une composition, un goût, une odeur.
Une planche de bois. «Bois» est considéré comme adjectif.

- Lorsque «à la» permet de qualifier une action.
Un vol à la volée. «Volée» est considérée comme adjectif.

- Lorsque la préposition «à» précise le type de contenant.
Une tasse à café. «Café» devient un adjectif.

- La formation des adverbes.

- Les participes.

Il y a sans doute d’autre cas. Pour savoir si l’objet du litige est dans le cas de l’adjectivation, il ne doit pas répondre aux questions suivantes:

- où, d’où ? => Car c’est un lieu et fait partie du cas locatif.

- à qui appartient ? => C’est probablement une possessif(possédé yn possédant).

- Pourquoi ? => Car elle sert à exprimer une cause, une raison particulière et fait partie causal (-azam + -j̄).

- pour quoi, en vue de quoi? => Car elle exprimer un but particulier, une intention et fait partie des objectifs (ob- + -j̄).

- avec quel moyen ? => C’est soit de l’instrumental (yt- + -j̄), soit du Prolatif.

- Quand ?

- combien ?

3) Il est possible de donner un caractère temporel aux adjectifs (proche des participes mais pas seulement).
A noter que par défaut, la qualité portée par l’adjectif est inhérente au temps de l’énoncé.

Le caractère temporel se transmet grâce aux marqueurs temporels. «marqueur temporel + nom + marqueur temporel» puis adjectivation.
Crée avant => zatazimovazi.

Il est possible de fournir quelques nuances à l’adjectif formé.
Le mot Oltevn signifie la douceur œltevn signifie brutalité.
les deux adjectifs «naturelles» lié à ces noms sont :
Doux => goltevno.
Brutal => gœltevno.

Pour dire:

«Le faire avec» ou la manier, il faut accoler le suffixe «-ujev» au nom comme
- Doucement => avec douceur => goltevnujevi.
- Brutalement => avec brutalité => gœltevnujevi.
En général, en français ce sont des adverbes.

«La possibilité de», il faut accoler le suffixe «-ukav» au nom comme
- compréhensible => possibilité de comprendre => zamajizukavi.

«Se faire ou devenir», il faut accoler le suffixe «-uvȳt» au nom comme.
Sensibilisé => devenir sensible => zakhobluvȳte.

4) La procédure d’adjectivation est réversible, c’est-à-dire qu’il est toujours possible de former le nom associé à l’adjectif en supprimant au moins la consonne initiale et la voyelle finale.

Attention, si la voyelle qui suit la 1ere consonne est une ligature il faut penser à retourner à la lettre non macronisée et de fournir le sens «positif» au nom.  




Les particules (V...V)

Une particule est un mot qui commence et finit par une voyelle. Elles sont au nombre de 4:
- Etoua indique une question.
- Eno indique que le nom qui suit est un nom propre ayant des lettres ou sonorités n’appartenant pas au Uazei Eig·o. Lorsque que plusieurs se suivent il est possible de les placer entre «‘». Eno ‘Fernandez Cyril’
- One que le mot qui suit est mot autre qu’un nom propre ayant des lettres ou sonorités n’appartenant pas au Uazei Eig·o. Lorsque que plusieurs se suivent il est possible de les placer entre «‘». One ‘Rue de la fond’.
- Yd'ne ... En'by en début et fin de propos permettent de considérer l’ensemble comme une hypothèse.



Les connecteurs (CV)

Un connecteur est un mot de 2 lettres qui commence par une consonne et fini par une voyelle. Elles sont au nombre de 6:
- Jo indique un lien entre deux nombres.
- Ko indique un lien entre une quantité numérique et un mot.
- Ta et Za permettent de créer les structures de choix.
- Zo permet de lier deux parties de phrase en faisant appel à deux idées différentes.
- Lo indique la simultanéité de 2 actions / évènements.




Les «mots nuancés».

1) Intensif, les «préfixes d’intensité» : Amplification et Atténuation.
Il est possible de nuancer la force du sens d’un mot. Il existe 6 degrés de significations. La procédure est simple:

- Pour un nom, il suffit d’ajouter le préfixe souhaité.

- Pour un adjectif, il faut ajouter le préfixe souhaité au nom, puis adjectiver le tout avec la procédure classique.

- Pour un verbe, il faut ajouter le préfixe souhaité au nom. Puis, si le verbe est à l’infinitif il faut ajouter le suffixe «-ei».
S’il est «conjugué», il faut ajouter les marqueurs temporels autour du groupe «préfixe + nom» puis en fonction du temps «ei» ou «e».

Le mot ainsi formé n’a pas besoin de traduction «réel» pour exister, il représente simplement des nuances d’intensité. Un peu comme la gamme: crue, bleu, saignant, à point, cuit, grillé, brulé, calciné, carbonisé.
Ou bien le jeu de préfixe «Super-» «Hyper-» «Mega-» « «Supera-»…


Un «mot à intensité» se comporte exactement comme sa forme classique.
Les préfixes sont les suivants. La (consonne) est celle à utiliser pour l’adjectivation:

(z)ab- pour marquer une amplification absolu.

(z)imot- pour marquer une amplification forte (+75% d’intensité).

(m)yb- pour marquer une amplification intermédiaire (+50% d’intensité).

(g)ep- pour marquer au amplification faible (+25% d’intensité).

La forme neutre.

(g)ꭡp-  pour marquer une atténuation faible (-25% d’intensité).

(m)ꜽb- pour marquer une atténuation intermédiaire (-50% d’intensité).

(z)ꭐmot- pour marquer une atténuation forte (-75% d’intensité).

(z)æb- pour marquer une atténuation absolue.

La macronisation avec les degrés de signification.
Bien qu’elle reste classique, la macronisation peut être à de multiple endroit:

Dans le cas des noms.
- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste du nom. imotœz̄ut.
- En simple sur la voyelle du préfixe d’amplification pour obtenir le sens privatif. īmotoz̄ut.
- En simple sur la diphtongue du préfixe d’atténuation pour obtenir le sens privatif.  motoz̄ut.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif du nom antagoniste. īmotœz̄ut.

Le cas des adjectifs.

- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste de l’adjectif. zimotœz̄ute.
- En simple sur la consonne du préfixe d’amplification pour obtenir le sens privatif. z̄imotoz̄ute.
- En simple sur la consonne du préfixe d’atténuation pour obtenir le sens privatif. z̄ꭐmotoz̄ute.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif de l’adjectif antagoniste. z̄imotœz̄ute.

Le cas des verbes.
- En double sur la voyelle du nom pour attendre le sens antagoniste du verbe. imotœz̄utei / itimotœz̄utizei.
- En simple sur la voyelle du préfixe d’amplification (infinitif) ou sur la voyelle du marqueur temporel (conjuguer) pour obtenir le sens privatif. īmotoz̄utei / ītimotoz̄utizei.
- En simple sur la diphtongue du préfixe d’atténuation (infinitif) ou sur la voyelle du marqueur temporel (conjuguer) pour obtenir le sens privatif.  motoz̄utei / ītꭐmotoz̄utize.
- En mixant les deux pour attendre le sens privatif du verbe antagoniste. īmotœz̄utei / ītimotœz̄utize.



2) Les «suffixes de connotation»: Honorifique et Dégradant.

1) Onōphazil est le terme pour l’honneur, est le terme pour l’honneur, le suffixe «-azil» permet de donné un côté honorifique à un terme.
Le sens péjoratif est obtenu par double macronisation du «a» du suffixe honorifique «-æzil».
Pour former les adjectifs «honorés / péjorés», l’adjectivation survient après l’accolement du suffixe.
Ils ne doivent pas être confondus avec les «préfixes d’intensité» qui apportent simplement une notion d’intensité sans connoter le mot:

- Le sens honorifique, offre un aspect honorable, respectueux vis-à-vis de terme au quel il est lié. Comme le mot saint dans Saint Graal ou Grand comme dans les expressions «une Grande Femme», ou les particules San et Sama du japonais.

Il permet aussi d’obtenir le nom des lieux mythiques. Ces noms dépendront fortement de la vision de chacun, toutefois il faut bien penser à utiliser le préfixe honorifique, ceci évite les confusions.  
Le Paradis => Ytaiganzazil (arbitraire le lieu Saint des Anges) ou simplement Ꜽtæk̄olazil (le lieu saint antagoniste de l’Enfer, peu probable).
L’Enfer => Ytæk̄olazil (arbitraire le lieu Saint de la cruauté) ou simplement Ꜽtaiganzazil (le lieu saint antagoniste du Paradis)…

- Le sens péjoratif quant à lui apporte un aspect déshonorable, dégradant et/ou injurieux. A l’image des insultes en Français ou des suffixes du type de «-asse», «-âtre»…

Il permet aussi d’atteindre des mots d’argot comme: Con => Odomegæzil, Cramer => Etlikavæzilei, Papelard => Akthynzilæzil…

Sous cette forme, uniquement suffixé le «mot connoté» suit les mêmes règles que le mot neutre.

2) Un «mot connoté» peut aussi recevoir un «préfixe d’intensité». Ceci va permettre, d’obtenir les expressions du type: «le très saint et respecté…», «le très honorable … », ou de graduer la désobligeance d’un propos.

Dans ce cas, la macronisation suit les «règles» des «mots à intensité».[/u]

3) ) Dans les formules de politesse, le terme principal porte le suffixe «-azil».
Bonjour => Gepe okheilokazil.
Au revoir => Odainogālazilei.
Monsieur / Madame => Igazil / Egazil.
« Vous de politesse » => Ukbāzil.




Le sens de «de nouveau».
Lorsque l’on souhaite insister sur le fait que quelque chose à déjà été fait et qu’il faut le faire de nouveau, comme pour les mots «rechercher» => chercher encore. Ou «boire encore», ou «parfaire» => faire de nouveau.
Il est possible d’utiliser une gamme de suffixe au nom permettant d’attendre plusieurs nuances.

Lorsque l’action est :
- à faire de nouveau => nom + ogāl
- à refaire une, deux …. x fois => nom + ofyf̄ (-ozyf̄...)
- refaire jusqu’à => nom + ontil.
- refaire périodiquement. => nom + ob̄og.

Par exemple :
Recommencer. => Akinogālei.
Prendre 2 fois. => Idan’gozyf̄ei.
Compter jusqu’à 30. => Hilbetontilei vyf.




Le suffixe d’emphase.
Le suffixe d’emphase permet de mettre en relief le «mot porteur» dans une phrase, c'est-à-dire de le mettre en valeur, d'insister dessus.

Aladim signifie «emphase», le suffixe d’emphase est «-adim».
Il permet d’obtenir

ne serait-ce que => même si il ne s'agit pas non-globalement de => ātœdykujevazadime.
N’est autre que => n’est pas diffèrent de => ītꭡlakizadime.



Mots d’emprunt

Lorsqu’ un mot est tiré d’une autre langue, il devient automatiquement un nom et ce peu importe ça fonction d’origine.

Pour être sur la liste des mots admissibles comme mot d’emprunt, le mot doit répondre à certaines conditions:

- Condition de forme, comme c’est un nom il doit commencer par une voyelle ou H et finir par une consonne sauf H et J.
- Condition de composition, il doit contenir que des lettres présentes dans l’alphabet du Uazei Eig·o.
- Condition syllabique, il doit contenir seulement des combinaisons de lettre présente dans le Uazei Eig·o.

Voici quelques exemples tiré du Français.

alfiz : Ornementation architectonique constituée d’un panneau rectangulaire qui enclot les bords extérieurs d’une arche, très commun dans les architectures espagnole arabe et mudéjar.

Abonnement : Contrat de fourniture, convention ou marché de service forfaitaire qui se fait d’avance pour une période donnée, par lequel on paie à un prix déterminé.

affond : Concours dans lequel le gagnant est celui ou celle qui boit son verre cul sec.

alleud : Terre possédée en pleine propriété par son exploitant ne dépendant pas d'un seigneur local.

aoudad : mouflon à manchettes.

abid : Au Maroc, esclave affranchi enrôlé dans l'armée.

afanaf : moitié moitié

antif : chemin.

au-lof : Ordre donné au timonier de gouverner vers le vent.

amok : Folie meurtrière.

amenôkal : Chef traditionnel touareg.

Une fois les 3 conditions réunis le mot peu passer à l’étape suivant la "Uazeisation". Elle consiste à écrire le mot sous la forme propre de la langue en respectent ses règles d’écriture, c’est-à-dire.

- Les successions Th, Ph, Kh, Bh, Lh deviennent: Th, Ph, Kh, Bh, Lh.
- Les successions de deux lettres identiques sont réduite par l’utilisation de la lettre avec un macron sauf pour la voyelle de début. Dans ce cas il y a perte sèche de la seconde.
- Les successions qui doivent prendre une apostrophe « ‘ » en Uazei Eig·o la prendront.
- Les accents autres que les macrons qui sont conservés, sauf sur la voyelle de départ, et les «^» qui sont transformés en macron sont supprimés.
- L’utilisation de trait d’union n’est pas possible, ils sont supprimés et les deux parties sont accolées tous comme les apostrophes là où il n’y en a pas en Uazei Eig·o.

Il ne faut pas oublier que certaine lettre change de prononciation entre la langue d’emprunt et le Uazei Eig·o, comme le «Y» français qui se dit \i\ et non \u\ comme en Uazei ego. Toutefois, lors d’un emprunt la langue ne s’intéresse pas à la phonétique mais seulement au visuelle du mot. La phonétique finale ne sera pas celle du mot d’emprunt mais celle de l’ensemble des lettres lut avec la phonétique du Uazei Eig·o même si la lettre était initialement muette.

Avec nos exemples:
Alfiz => Alfiz  
Abonnement => Abon̄ement
affond => af̄on’d
alleud => al̄eud
aoudad => aoudad
abid => abid
afanaf => afanaf
antif => antif
au-lof => aulof
amok => amok
amenôkal => amenōkal

Une fois cette étape passé le mot acquière une définition amenuiser, c’est-à-dire qu’elle est généralement moins détailler que dans la langue d’origine:
- Il n’acquière que la définition de base du mot dans la langue d’emprunt sans nuance possible.
- La définition de base perd quelques subtilités.

Avec nos exemples:
Alfiz : N’importe quels ornements architecturaux rectangulaires.
Abon̄ement : N’importe quelles conventions passées lors d’un échange marchand.
Af̄on’d : Un jeu d’alcool.
Al̄eud : Une parcelle de terre appartient à quelqu’un.
Aoudad : Un mouflon mâle ou femelle, jeune ou vieux.
Abid : Un esclave mâle ou femelle enrôlé dans l'armée.
Afanaf : le partage.
Antif : un chemin.
Aulof : le sens du vent.
Amok : un meurtre.
Amenōkal : un chef mâle ou femelle d’un groupe.

Voila, maintenant le mot peu intégrer le vocabulaire du Uazei Eig·o et subir les règles classiques de la langue.





Les déterminatifs

Les déterminatifs sont de petit ensemble de lettre qui font référence à un domaine particulier. Ce ne sont pas des adjectifs et ils ne peuvent pas être employé seuls, ils doivent être liés à un «mot porteur».
À l’oral, ils sont prononcés à la fin du mot, après un temps d’arrêt relativement cour. À l’écrit, ils sont séparés du «mot porteur» par un point médian «·».

Ils sont assez polyvalents:

- Ils permettent d’effectuer un déplacement sémantique d’un mot appartenant à un domaine mais qui est en mesure de refléter une notion analogue, ou présentant des points communs, dans le domaine cible.
Par exemple: Al̄iopek signifie la langue au sens d’organe. Al̄iopek·ovn une langue de lave, Al̄iopek·yt un langage écrit.

- Ils permettent de fractionner le mot porteur en domaines d’intérêt.
Par exemple: Ovōaz le cerveau au sens d’organe, Ovōaz·oiz le cerveau d’un point vue purement musculaire,  Ovōaz·oiz La biochimie du cerveau, Ovōaz·oil la microbiologie du cerveau.

-Ils permettent d’élargir le sens du mot porteur en considérant son implication dans un domaine plus vaste que sa définition initiale.
Par exemple : Eig l’Humain en tant qu’être vivant. Eig·o L’Humain inscrit dans l’ensemble des sciences.

·z domaine de l’informatique
·zo domaine de la programmation
·zoz domaine du mainframe
·zoa domaine des applications
·za domaine de la robotique
·zn domaine des ordinateurs quantiques

·o domaine des sciences en général
·ov domaine de la science de la matière inerte
·ovn domaine de la géologie
·ovm domaine de la métallurgie
·ova domaine de la plasturgie
·ovj domaine des céramiques
·ovo domaine des solides non cristallin
·ovz domaine de la chimie moléculaire
·ovu domaine de la dynamique
·oi domaine des sciences du vivant
·oiz domaine de la biologie animal
·oiza domaine de l’ entomologie
·oid domaine de la biologie végétale
·oil domaine de la microbiologie
·oiz domaine de la biochimie
·om domaine des mathématiques
·omi domaine de la géométrie
·omy domaine de l’arithmétique
·omo domaine des espaces vectoriels
·omu domaine des fonctions
·omun domaine de la coloration de région
·on domaine de la physique
·oni domaine de la physiques des particules
·ona domaine de la quantique
·ono domaine de la mécanique classique
·oz domaine de l’Histoire
·of domaine de la linguistique
·ofi Lexicographie


·y domaine de l’art
·yl domaine de la philosophie
·ylo domaine de la rhétorique
·yt domaine de la littérature
·ytō domaine de la poésie
·yta domaine du théâtre
·yti domaine des romans
·ytio domaine des romans SF
·ytip domaine des romans d’anticipation
·yb domaine de l’art graphique
·ybh domaine du dessin
·ybt domaine de la calligraphie
·ybu domaine du champ chromatique
·ybo domaine de la gravure
·yk domaine de l’art culinaire
·ye Arts textiles

·a concept abstrait
·ab sens symbolique
·az sens de conception de l’esprit








La ponctuation



- Une phrase déclarative commence par une majuscule et se termine par un point.
- Un soupir permet de marquer un temps de pose avec une durée variable mais inférieur au point.
- Une question commence par * Etoua finit par *.
- Une phrase sous l’effet de la surprise commence par // et une majuscule, puis finit par //.
- Une question sous l’effet de la surprise commence par // élément de surprise et finit par etoua*. Cette structure reflet le double signe de ponctuation «!?» d’une phrase interro-exclamative.
- Pour mimer le double signe de ponctuation «?!», l’inverse est possible. Il faut commence par *Etoua et finir par //.

Construction des phrases

Le Uazei Eig·o est une langue positionnelle, l’ordre des mots ou de la structure grammaticale reflète son importance dans le discours. Plus l’information véhiculer par l’ensemble grammaticale est pertinente, plus il se trouvera au début de la phrase. Cette règle de position s’applique seulement au niveau de la phrase.
Cette règle s’applique aux phrases déclaratives.


Par exemple:


- «Je suis ravi» répond parfaitement à la question qui est ravi?
- Pour la question, comment es-tu? «Ravi suis je.» Construction classique car la question s’adresse directement à moi donc le «je» ai à la fin. Un effet d’insistance (ou d’égocentrisme) peut se traduire par la structure «Ravi je suis.».
Dans le cas classique le «je» peux être omis. La question étant «directe» il n’apporte rien !
- Pour porter l’attention sur le verbe, il suffit de: «suis ravi je» construction classique pour une question directe, avec possibilité d‘omettre le «je». Par insistance sur le «je» «suis je ravi».
Pour les phrases plus longues possédant des compléments du nom ou du verbe ou pour des phrases complexes, les prépositions sont ordonnées dans l’ordre d’importance.

Lorsque la phrase est soumise à la spontanéité, c’est-à-dire un moment de stress ou de surprise, l’ordre mettra surtout en évidence la chose ayant créé la surprise.


Dernière édition par bakou le Sam 9 Mar 2019 - 14:13, édité 46 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 2 Juil 2018 - 9:30

Je viens de faire une ébauche de présentation de cette idéolangue sur Idéopédia. N'hésites pas à venir la compléter.

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 14:59

La conjugaison

[justify]Il existe deux modes, le général et l’actuel:

- Le mode actuel traduit l’action qui est en cours de déroulement. Elle est généralement liée aux termes «en ce moment même» ou «la tout de suite». Il s’applique donc qu’au présent.
Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + iz + ei».

- Le mode général s’utilise dans les autres situations.

Il existe 9 temps Généraux :

- Le passé général marque toutes les actions passées et terminés dans le passée. Attention le «je viens de» rentre aussi dans ce cas. En effet quand l’action est dite elle est déjà finit.
Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + az + e».

- Le présent général marque les vérités générales. Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + iz + e».

- Le futur général marque les actions qui seront mené plus tard. «ot + nom du verbe + oz + e».

Voici les temps qui lié des évènements avec une continuation temporelle :

- Le passé-présent général marque toutes les actions entreprises dans le passées qui sont toujours en cours actuellement ou des actions datées terminées qui ont un effet actuellement. Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + iz + e».

- Le présent-futur général marque toutes les actions en cours actuellement et qui s’achèveront plus tard ou des actions présentes qui aurons un effet dans le futur. Il se forme avec la construction «it + nom du verbe + oz + e».

- Le passé-futur marque toutes les actions entreprises dans le passées qui s’achèveront plus tard ou des actions datées terminées qui auront un effet dans le futur. Il se forme avec la construction «at + nom du verbe + oz + e».

- Le futur-présent général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le présent. Par exemple un retard dans une construction, un chantier sur le long terme qui crée des emplois.
L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le présente. Comme un voyage dans le temps futur vers le présent. «ot + nom du verbe + iz + e».

- Le futur-passé général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le passé. Par exemple un retard dans une construction qui a eu un effet sur la santé publique, un chantier sur le long terme qui avait créé des emplois.
L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le passé. Comme un voyage dans le temps futur vers le passé. «ot + nom du verbe + az + e».

La simultanéité

Le connecteur «lo» indique la simultanéité de deux choses.
Manger et boire. => Ikhat̄abei eb’motholei.
Manger et boire en même temps. => Ikhat̄abei lo eb’motholei.

Lorsque deux actions se produisent en même temps, comme dans la phrase «Il était en train de téléphoner quand il a eu l'accident», ou l’une à la suite de l’autre dans un temps très bref, comme «En la voyant, j’ai crié salut !», il faut faire appel à la structure de simultanéité.

Il y a 3 étapes à prendre en considération.
- Détecter le temps de l’énoncé.

- Voir si il y des implications entre les verbes (Cause / Conséquence …). Ceci permet de mettre en place les préfixes et les suffixes des cas grammaticaux, avec possibilité de ne pas en avoir.

- Monter la structure:
Si il y une (Cause / Conséquence …):
«marqueur temporel + nom du verbe de cause + (azamj̄) + lo + (el) + nom du verbe de conséquence + marqueur temporel + (j̄) + ei »

Si il n’y en a pas
«marqueur temporel + (Préfixe) + nom du verbe 1 + (suffixe) + lo + (Préfixe) + nom du verbe 2 + (suffixe) + marqueur temporel + (j̄) + ei »

Par exemple

- Il était en train de téléphoner quand il a eu l'accident. => Il téléphone quand accidentait => Atenthalạzamj̄loeḷħazēganazj̄ei imto.

- Il marche en chantant => Il chanson en marche. => Itolypikloan̄adizei imto.


Dernière édition par bakou le Jeu 18 Oct 2018 - 15:02, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 15:05

bakou a écrit:
Le futur-passé général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le passé. Par exemple un retard dans une construction qui a eu un effet sur la santé publique, un chantier sur le long terme qui avait créé des emplois. L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le passé. Comme un voyage dans le temps futur vers le passé.  «ot + nom du verbe + az + e».
Tiens-tiens, j'me sentirais moins seul, on dirait...


Sinon, par la suite, j'ai créé le temps inverse, décrivant un procès qui se déroulera dans le passé.

_________________
Pœr æse qua stane:


Dernière édition par Anoev le Lun 17 Sep 2018 - 15:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 15:09

Anoev a écrit:
bakou a écrit:
Le futur-passé général marque une action qui doit se finir dans le futur avec des effets sur le passé. Par exemple un retard dans une construction qui a eu un effet sur la santé publique, un chantier sur le long terme qui avait créé des emplois. L’autre cas plus S-F représentent des actions entreprises dans le futur avec des effets sur le passé. Comme un voyage dans le temps futur vers le passé.  «ot + nom du verbe + az + e».
Tiens-tiens, j'me sentirais moins seul, on dirait...

Ahahaha ! Super! J'avais des hésitations quant à ce temps !


"Mon passé-futur" se borne simplement à des actions débutées dans le passé qui s’achèveront plus tard.
Avec le système combinatoire mis en place, je ne suis pas en mesure d'attendre le sens de ton passé-futur.
La seule solution actuelle est d'utiliser le futur avec un indicateur temporel passé, comme dans la phrase
"Hier, Luk ira au bois."
A voir pour améliorer ça.


Dernière édition par bakou le Mar 18 Sep 2018 - 10:47, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 15:17

Cas possessif
1) Lorsque qu’une chose appartient à quelqu’un ou quelque chose. La «chose» est le possédé et le «quelque chose» est le possédant. En Français la possession est souvent annoncée par «de». Par exemple le flanc de la montagne, le fils de Paul...

En Ueza Eig·o la structure est du type «Possédant yn Possédé» soit une tournure du type «de … le / la …»
Le flanc de la montagne => De la montagne le flanc => Oz̄ad’z yn hujov.
L’ombre de cette planète tellurique. => De cette planète tellurique l’ombre.  => Ailokan̄·ovn yn œkhyuz.

1.1) Lorsque plusieurs structures possessives s’imbriquent, il faut partir de la plus intriquée pour aller jusqu’à la principale.
Par Exemple:
La reconstruction totale du cerveau gravement malade du petit frère du fils le plus âgé au grand Louis est peu concluante. => Eno Louis yn zimotymog’nyzi œman̄izig yn mymogo elakoman̄izyfig yn tħabituzœnlujevi ovōaz yn zabhȳle abilonogāl atazukazei zꭐmotꜽbuvi.

2) Pour les adjectifs possessifs « mon, ma, mes … » qui sont des « à je, à tu… », il est possible soit:
- D’utiliser la structure classique en utilisant « Imba, Ukza … » comme possédant.
- Mes livres => A je les livres => Imba yn opazn’g.
- D’utiliser la forme contractée «yn + pronom personnel» à côté du possédé. Cette structure est favorisée lorsqu’il commence à y avoir beaucoup de mot dans une phrase.
Mes livres. => Opazn’g ynimba. ou Ynimba opazn’g.

3) Il est possible que dans certain cas, les structures possessives soit sous l’effet de l’adjectivation,
comme dans la phrase:
Personne ne fera cet effort à la place de l'apprenant. => Ækhegezam ōtukavamoze ꜽladan̄ zaktibhud’n yn aktaektavōte·aj̄.

4) Pour les phrases du type « … est à ....» « C’est le … de… » La structure
«Marqueur temporel + possédant yn Possédé + Marqueur temporel + ei / e » est utilisée.
Par exemple: Ce livre est à moi => Itopaznan̄ ynimbaize, ou Itynimba opaznan̄ize.
Le livre appartenait à Paul. => Atpaul yn opaznaze. (Sous réserve que la possession physique et morale soit pour le même temps)
L’ombre sera celle de cet astre. => Ilokan̄ yn œkhyuzoze.

5) Il est possible de former la structure imbriquée suivante: «Marqueur temporel + possédant + (Marqueur temporel + yn + Marqueur temporel + ei / e) Possédé + Marqueur temporel + ei / e » est utilisée. . Celle-ci permet de distinguer la possession physique de la possession «morale». Ce qui n’est pas le cas de la situation du dessus ou les deux sont acquises.
La possession physique est portée par les marqueurs temporels de l’extrémité de l’expres​sion(rouge). La possession «morale» est portée par les marqueurs temporels proches de «yn».

Le livre est à Paul et il l’aura demain. => Otpaul itynize opaznoze otokheiloz.

Possessif et macronisation.

En fonction de la place du macron, une (ou plusieurs) information(s) va (vont) être niée(s).
La première forme est directement applicable sur la structure possessive de base et représente le sens classique de «sans le…», dans ce cas le macron est sur le possédé.

- Sans le livre de Paul  => Paul yn ōpazn.

Les autres sont possibles seulement par l’intermédiaire de la structure complète «Marqueur temporel + possédant yn Possédé + Marqueur temporel + ei / e». Ainsi, si le macron est:

- Sur le marqueur temporel lié au possédant, c’est la possession physique qui est remise en cause.
Paul n’a pas le livre (maintenant). => Ītpaul yn opaznizei.

- Sur le «y» de «yn» c’est la possession «morale» qui est remise en cause.
- Le livre ne sera pas à Paul => Otpaul ȳn opaznoze.

- Il est possible de mixer les macrons pour atteindre des négations mixtes.
- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant). => Ītpaul yn ōpaznizei.

- Sans le livre qui n’est pas à Paul (en général). => Itpaul ȳn ōpaznize.

- Le livre qui n‘est et n’a pas Paul (maintenant). => Ītpaul ȳn opaznizei.

- Sans le livre qui n‘est et n’a pas Paul (maintenant). => Ītpaul ȳn ōpaznizei. (Sous réserve que la possession physique et morale soit pour le même temps).

- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant) et qui ne sera pas à Paul. => Ītpaul ōtynoze ōpaznizei.

- Sans le livre que Paul n’a pas (maintenant) et qui sera à Paul. => Ītpaul otynoze ōpaznizei.
6) Lorsque dans la structure de type «Possédant yn Possédé», le «Y» de yn prend la double macronisation et devient «ꜽn» on obtient la structure indiquant la «dépossession», comme la perte ou le vol... Toutes les règles sont les mêmes.


Dernière édition par bakou le Jeu 18 Oct 2018 - 15:16, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 15:26

Le Préfixe Akt- 1) seul ou  2) lié (instrumental).

1) Lorsqu’il est employé seul, le suffixe «Akt-» («Ạkt-» à l’écrit) à deux utilisations très proches. Il permet soit:

- Dans un premier temps, de créer les noms d’agent (forme active), c’est-à-dire de «ceux qui font ou apporte activement quelque chose» par exemple un bâtisseur, un pêcheur, ou bien d’un inanimé qui donne des choses comme un arbre fruitier, un distributeur. Pour ce faire, il faut regarder le verbe lier au nom, puis ajouter le suffixe Akt- au nom concerné.


Cas des êtres animés.

Un bâtisseur => celui qui construit => Aktabilon ou Aktazvof.
Le pêcheur => celui qui pêche => Akthag’mul.
Un lecteur => celui qui lit => Aktopazn.

Dans le cas des acteurs humains. Cette forme ne donne aucune indication sur le sexe des acteurs.
Aktuaz peut-être un narrateur ou une narratrice. Si cette précision veut être apportée il faut:
- Pour féminisé, ajouter le suffixe -eg pour les femmes / ou femelles. Aktuazeg est une narratrice.
- Pour masculinisé, ajouter le suffixe -ig pour les hommes / ou mâles. Aktuazig est un narrateur.

Cas des inanimés.
Il fonctionne comme l’autre mais présente quelques fois le besoin d’ajouter quelques précisions.
L’arbre fruitier => l’arbre qui donne des fruits => Akthyznok.
Il important de noter que Akthyznok peut très bien faire référence à un arbre fruitier mais aussi à un maraîcher.
Si il est nécessaire des faire la différence, il y deux solutions:
- Il est possible d’indiquer le sexe du maraîcher par -eg ou -ig.
- Si le sexe ne veut ou ne peut pas être indiqué, il est possible d’utiliser un agent de contexte:
·oiz du domaine de la biologie animale. Akthyznok·oiz pour le maraîcher homme ou femme.
·oid du domaine de la biologie végétale. Akthyznok·oid pour l’arbre fruitier.

Celui qui reçoit l’action.
Une action peut aussi être reçue (ou subit), dans ce cas la personne est le bénéficiaire de l’action (forme passive). Dans ce cas, le préfixe «Akt-» subira une double macronisation pour former «Ækt-» («Æ̣kt-» à l’écrit) avec le sens de «celui qui reçoit…».
La créature => celui qui reçoit la création => Æktazimov.
Le Possédé => celui qui reçoit la possession => Æktyn.

- Dans un second temps ils permettent de créer le mot-phrase: «qui a fait quoi», « qui a subit quoi», d’identifier une personne par une action qu’elle est en train de faire, qu’elle va subir.... Comme dans les structures françaises du type: «celui qui fait…», «qui a fait…», «fait …» «celui qui a subit…»... Exemple:
- Bob ?! C’est celui qui distille «là maintenant» => //Bob etoua* Aktitophōlizei.
- Bob sera celui qui cuisinera. => Bob aktotizjovoze.
- Luk c’était fait battre. => Luk æktatꜽaltakaze.

- Pour les tournures négatives «celui qui ne fera pas…», «qui n’a pas fait…». La macronisation se passera sur le «a» du préfixe «akt-» ou sur le «æ» de «ækt-». ( «ạ̄kt-» à l’écrit)
Luk n’est pas celui qui cuisine (là maintenant) => Luk āktitizjovizei.
Luk n’est pas celui qui se fera câliner. Luk ǣktotyaltakoze.

Dans cette utilisation il faut bien penser à indiquer le marqueur temporel approprié avec la construction d’un verbe. De plus, si le nom possède des macrons sur des voyelles, il faut les supprimer.

2) Lorsque le préfixe «Akt-» («Ạkt-» à l’écrit) est employé conjointement avec le suffixe «-j̄», il indique le cas l’instrumental et le génitif-instrumental.

L’instrumental marque le fait qu’une action est accomplie par l’intermédiaire de «quelque chose», se «quelque chose» répond ainsi au cas grammaticale de l’instrumental. En français, il est souvent annoncé par les mots «avec», «à l’aide de», «au moyen de», «par», «au».
En Uazei Eig·o, il mime la construction précédente, avec l’ajout du suffixe «-j̄» ainsi «Akt-nom-j̄».

Par exemple:
- Le peintre peint avec un pinceau => Aktodaobj̄ aktodaob itodaobize.
- Le peintre peint avec ces pinceaux => Aktodaoban̄’gj̄ aktodaob itodaobize.

Dans le cas où l’instrument est un groupe de mot, la structure reste la même et se répartie sur le premier et le dernier mot de l’ensemble. Le premier mot prend le préfixe «Akt-» et le dernier le suffixe «-j̄».
- Le peintre peint avec le pinceau à poile dur => Ạktodaob gophyl’g adz̄olej̄ aktodaobig itodaobize.
- La peintre peint avec le pinceau de l’apprenti. => Ạktibhud’nig yn odaobj̄ aktodaobe itodaobize.

Attention ! L’instrumentale ne sert que pour définir l’objet utiliser pour faire quelque chose.
Si le peintre peint sans pinceau, l’instrumentale ne s’applique pas, il faut revenir à la structure privative.
- Le peintre peint sans pinceau. : Aktodaobig ōdaob itodaobize.

Par contre
- Le peintre ne peint pas avec le pinceau : ītodaboize aktodaobig ạktodaobj̄.

3) Dans le cas exotique du mot «acteur» qui découle du mot «action» qui est Aktavyz (et des autres qui commenceraient par akt). Il existe trois solutions:

- Le respect de la règle naturelle en ajoutant le préfixe Akt-. L’acteur => Aktaktavyz.

- L’emploi de suffixe qui permette de précisé le sexe d’un être sexué «-ig» et «-eg» sur le mot Aktavyz sans le préfixe «akt-». L’acteur => Aktavyzig ; l’actrice => Aktavyzeg.

- Si le sexe ne souhaite pas ou ne peut pas être d’déterminer, il est possible d’employer le déterminatif du domaine de la biologie animal ·oiz sans le préfixe «akt-». L’acteur => Aktavyz·oiz. Mais dans ce cas, l’acteur peu aussi très bien être un chat !




L’objectif
1)En Uazei Eig·o, l’objectif est considérer comme un cas grammatical à part entière.
Le terme Obhītam signifie Ambition, le préfixe «Ob-» (ou «Oḅ-» à l’écrit) associé au suffixe «-j̄» forme le cas de l’objectif ou de l’ambition.
Par exemple : Luk veut la 1ere place => Oḅofyf̄uizi ytholozj̄ Luk itukal̄ukize.

2) Pour les tournures du type « n’a pas pour but », le préfixe «ob-» est macronisé «ōb-» (ou «ōḅ-» à l’écrit) et le suffixe «-j̄» pour nier le but et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.



Le causal

1)Le causal est le cas grammatical qui indique la raison et / ou la cause d’une action. En français, il est souvent annoncé par «car», «à cause de»….
En Uazei Eig·o, il fait référence au mot «Alakazam» la raison via le suffixe «-azamj̄» (ou «ạzamj̄-» à l’écrit).

Par exemple: Luk est mort par amour. => Ypidonazamj̄ elitħilzifizizj̄e Luk.

Lorsque la cause est un groupe de mot. Le suffixe «-azam» se place sur le premier mot et le «-j̄» sur le dernier de l’ensemble.

2) Pour les tournures du type « non pas par…ni par…», le suffixe «-azam» est macronisé «-āzam» (ou «ạ̄zamj̄-» à l’écrit) pour nier le causal et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.

3) Pour les tournures du type « non pas par…mais par…», le 1er suffixe «-azam» est macronisé «-āzam» pour nier le causal et le «-j̄» sur le dernier mot de l’ensemble nier. Le second suffixe «-azam» reste sous sa forme affirmative et le «-j̄» sur le dernier mot de l’ensemble affirmé.




La conséquence

1) Comme pour l’objectif, la conséquence est considérer comme un cas grammatical à part entière.
Il représente la mise en avant de conséquence d’une action.

Dans l’exemple: Alice mange car elle a faim. Mange est la conséquence de l’état de faim (la raison) d’Alice.

Le terme Elakiel signifie Conséquence, le préfixe «El-» (ou «eḷ-» à l’écrit) associé au suffixe «-j̄» forme le cas de la conséquence.
Par exemple : Alice mange car elle a faim. =>Eno Alice eliteb’motholizj̄e itᵫguthuazamizj̄e.

2) Pour nié la conséquence, le préfixe «el-» est macronisé «ēl-» (ou «ēḷ-» à l’écrit) et le «-j̄» est apposé sur le dernier mot de l’ensemble.




Le préfixe «Yt-» 1) seul 2) lié (locatif) 3) le mouvement.

1) Lorsqu’il est employé seul, le préfixe «Yt-» (ou «Ỵt-» à l’écrit) permet de former le nom des lieux «où on fait quelque chose». Par exemple une distillerie, une chambre. Pour ce faire, il faut regarder le verbe lier au nom, puis ajouter le préfixe Yt- au nom concerné.
La distillerie => Ytophōl.
La cuisine => Ytizjov.
La chambre => Ythulīpaz.

Dans certain cas il possible de considérer directement le nom, sans se préoccuper du verbe.
Un bordel => Ytan̄en (argot).
Un ossuaire => Ythukez̄ol.

Il peut être combiné au singulatif «-an̄» ce qui permet de dire «cette distillerie» => Ytophōlan̄.

Attention, suivant le contexte, il est possible que Yt + nom soit simplement un lieu où l’on fait quelque chose sans être le lieu «attitré» par exemple par exemple Ythulīpaz peut être simplement être le lieu où l’on dort sans être une chambre. Le déterminatif«·a» lié au domaine de l’abstrait permettra d’indiquer cette nuance.

2) Lorsqu’il est employé avec le suffixe «-j̄», il permet de créer la tournure du locatif.

Attention, le lieu peut soit être un endroit bien définit où il est possible de rentrer physiquement comme des bâtiments, des villes, des rues, des objets…
Soit des lieux plus «imagés» qui sont le fruit d’une appartenance à un groupe ou une activité collective.

Il faut commencer par déterminer, soit le lieu:
- Où se trouve ce que l’on souhaite décrire.
- Où se produit l’action ou l’évènement à décrire.

Une fois le lieu définit, il reste à définir la temporalité et la périodicité de l’évènement:
- La position est sans récurrence.
- La position est récurrente, régulière, généralement ou souvent.

2.1) Pour les positions sans récurrence: La tournure sera «yt + nom + j̄»
Dans la maison. => Ytabilonj̄.
Dans cette maison. => Ytabilonan̄j̄.
Dans l’ombre de la planète.  => Ytailok yn œkhyuzj̄.

La marque «-an̄» du singulatif se placée sur le nom.
Cette forme est utilisée pour répondre rapidement à la question du type «Où se trouve… ?» et que l’on est sûr qu’il s’y trouve.
Elle s’emploie aussi lorsque qu’il y a un verbe conjugué (autre que être) dans la phrase, par exemple:
Je vis dans la distillerie. => Itemathodizei ytophōlj̄ (imba).
Regardes dans la voiture. => ythazeganj̄ itodainize uk̄a.

2.2) Pour les positions récurrentes: La tournure sera «yt + nom + ob̄og + j̄».
La marque «-an̄» du singulatif, peut soit se placée sur le nom ou soit après le «g» en fonction de son importance dans le contexte de la phrase. Comme le reste, plus elle est loin moins elle est importante.

Cette forme est utilisée pour répondre rapidement à la question du type «Où se trouve… ?» et que normalement il se trouve à cette place...

Elle s’emploie aussi lorsque qu’il y a un verbe conjugué (autre que «être») dans la phrase, par exemple:
Je dormais dans la chambre régulièrement => Athulīpazaze ytythulīpob̄ogj̄ (imba).
Je regarde dans la voiture régulièrement => Ythazeganob̄ogj̄ itodainize imto.

3) Les structures composées du préfixe «Yt-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve dans». Comme dans les structures françaises du type : «je suis dans…», «Bob sera dans…».

3.1) Dans le cas d’une position sans récurrence, la tournure sera «yt + marqueur temporel + nom + marqueur temporel + ».
Par exemple: Le chat de Shrödinger est à l’intérieur de la boîte => Eno Shrödinger yn ilezdiv ytithunizj̄ei.
Je suis dans la maison. => Ytitabilonizj̄ei (imba).
Luk sera dans ce bateau. => Ytotamukan̄oze Luk.
Je suis dans la forge de ma mère. => Ytitytovmantin yn oman̄izeg ynimbaizei (imba).

3.2) Dans le cas d’une position avec récurrence, la tournure sera «yt + marqueur temporel + nom + marqueur temporel + ob̄og + ».
Dans ce cas, «-azob̄ogj̄» indique que la récurrence avait lieu dans le passé, «-izob̄ogj̄» indique que la récurrence à encore cours actuellement, «-ozob̄ogj̄» la récurrence aura lieu dans le futur.
Par exemple:
Bob sera régulièrement dans cette maison. => Ytotabilonan̄ozob̄ogj̄e Bob, ou Ytotabilonozob̄ogan̄e Bob.
J’étais dans un groupe de musique. Ytat’geloetami azn’gazob̄ogj̄e (imba).
Je suis régulièrement dans la chambre. Ytitythulīpazizob̄ogj̄e (imba).

Dans cette utilisation, il faut bien penser à indiquer la totalité du marqueur temporel approprié ainsi que le «-e» ou «-ei» en fonction du temps de la conjugaison.

Afin de soulager la prononciation des tournures, il est possible d’utiliser le verbe «localiser» pour une position concrète et «Appartenir» pour un lieu plus imagé. Ainsi, le nom porte l’intégralité du locatif et perd seulement la partie lié à la conjugaison.

Ytotabilonozob̄ogan̄e Bob. => Ytabilonob̄ogan̄ Bob otytholozoze.

4) Pour les tournures négatives «je n’étais pas dans…» et «pas dans…», le macron se placera sur le «y» du préfixe «Yt-».
- Luk n’est pas dans la cuisine (là maintenant) => Luk ȳtitytizjovizei.
- Pas dans cet évaporateur. => ȳtaktathaman̄ ou  ȳtytathaman̄. (Avec perte du macron du «a» de athām).
La nuance réside dans la définition d’évaporateur. Aktathām signifie «celui qui évapore» alors que ytathām signifie «le lieu où on évapore», ils sont synonymes.

5) La double macronisation du Y de «yt-», le préfixe devient «ꜽt-». Composé avec suffixe «-j̄» permet d’indiqué la localisation «à l’extérieur de». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.

6) Le Superessif exprime le lieu sur lequel se trouve quelque chose. Le mot Ytap̄ol signifie surface, le préfixe «Ytap-» (ou «Ỵtap-» à l’écrit) suivit du suffixe «-j̄» permet d’exprimer ce cas. Il permet à la fois d’exprimer des positions concrètes mais aussi abstraite. Il fonction comme l’association du préfixe «Yt-» et du suffixe «-j̄».
Sur le mur => Ytapazvofj̄.
Sur les ondes => Ytapan’buat’gj̄.

7) Les structures composées du préfixe «Ytap-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve sur». Comme dans les structures françaises du type: «je suis sur…», «Bob sera sur…». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
Je suis régulièrement sur le mur. => Ytapitazvofizob̄ogj̄e (imba).
Je n’étais pas sur cette planète. => ȳtapatailokazan̄j̄e (imba).

7.2) Suite à la double macronisation du Y de «ytap-», le préfixe devient «ꜽtap-». Composé avec suffixe «-j̄» permet d’indiqué la localisation «sous». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.

8 ) L’ensemble des cas répondant à la question où?, peuvent être traité avec le «locatif total» (ce qui englobe les cas précédents et les suivants). Généralement, il sert dans les cas ambigus faisant appel au locatif dans des expressions idiomatique comme «au téléphone» ou «au 06 33…». Il est formé par le préfixe «Ytab-» (ou «Ỵtab-» à l’écrit) et du suffixe «-j̄».
À Gap. => Ytab eno Gapj̄.
Au téléphone => Ytabenthalj̄.

9 ) Les structures composées du préfixe «Ytab-» et du suffixe «-j̄» permet de créer le mot-phrase: «qui se trouve où». Comme dans les structures françaises du type : «je suis à…», «Bob sera au…». Les règles 3.1, 3.2, 3.3 et 4 s’appliquent exactement pareils.
par exemple
Je suis régulièrement au téléphone. => Ytabitabenthalizob̄ogj̄e (imba).
Je n’étais pas à cette adresse. => ȳtabathikakudazan̄j̄e (imba).
Je suis à Beaune sur une table dans ma maison (maitenant). => Ytab eno itBeauneizj̄ei ytapikhūmj̄ ytimba yn abilonj̄.

L’origine spatiale ou temporelle d’une action / item.
1) Pour indiquer une origine stricte sans déplacement,les structures «Nom / (at + verbe + aze) + ytakinaz + lieu + j̄» et «Nom / (at + verbe + aze) + atakinaz + époque+ j̄» seront utilisées.
Pour indiquer les deux en même temps «Nom / (at + verbe + aze) + ytatakinaz + lieu, temps + j̄» ou «Nom/ (at + verbe + aze) + atytakinaz + temps, lieu + j̄». Ces structures sont fixes.

- Le métal de ma forge. => Ovmantin ytakinaz ytovmantin ynimbaj̄.
- Fabriqué en 1884. => Atag’mataze atakinaz FKKNj̄.
- Fabriqué dans ma forge en 1884. => Atag’mataze ytatakinaz ytovmantin ynimba FKKNj̄.


Pour dire «je suis de + lieu» sous entendue «je suis née à…», il est possible d’employer la structure: «at + ytakin + lieu +az + j̄ + e», «at + atakin + date +az + j̄ + e». Toutefois cette structure accepte seulement les marqueurs temporelles «at» et «az» contrairement à «je suis née à…» qui permet d’utiliser les autres.

[b]Par exemple
: Je suis de Clermont-Ferrand. => Atytakin  eno Clermont-Ferrandazj̄e (imba).
Je suis de 1978. => Atatakin FDPKazj̄e.
Il naîtra à Clermont-Ferrand. => Eno Clermont-Ferrand othilzifizoz olka.

1.2)Sans origines se dit «ākinz’g», sans origines spatiales et temporelles se traduit par «ȳtatakinz’g», sans origines spatiales «ȳtakinz’g», sans origines temporelles «ātakiniz’g».

2) Pour indiquer une origine temporel ou spatial avec un effet de continuité dans le présent. Comme avec «depuis» en français, la structure sera «Nom / (at + verbe + ize) + ytakiniz + lieu + j̄» «Nom / (at + verbe + ize) + atakiniz + époque + j̄».

Pour indiquer en même temps une origine temporelle qui perdure en un lieu la structure sera «Nom / (at + verbe + ize) + ytatakiniz + lieu, temps + j̄» ou «Nom / (at + verbe + ize) + atytakiniz + temps, lieu + j̄». Ces structures sont fixes.

- Fabriqué depuis 1888. => Atag’matize atakiniz FKKKj̄.
- Cuisinier à l’Atelier depuis 1888. => Aktizjov ytatakiniz Ytag’mat FKKKj̄.

Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la cyclicité de l’acte.

Pour dire «je suis là depuis + période» sans préciser le lieu, il est possible d’employer la structure: «at + atakin + temps + iz + j̄ + e». Cette structure accepte seulement les marqueurs temporelles «at» et «iz».
[b]Par exemple
: Je suis là depuis hier. => Atatakin œtokheilozizj̄e (imba).
Pour préciser le lieu et le temps, il est possible d’employer la structure: «at + ytatakin + lieu + temps +iz + j̄ + e». L’inverse est possible «at + atytakin + temps + lieu + iz + j̄ + e».
Par exemple : Je suis à Paris depuis hier. => Atytatakin eno Paris œtokheilozizj̄e (imba).

3)Pour indiquer le but spatial ou temporel d’une action, comme dans l’expression «jusqu’au…», «jusqu’à…» la structure «Nom / (it + verbe + oze) + ytitækinoz + lieu + j̄» et «Nom / (it + verbe + oze) + itækinoz + époque + j̄» seront utilisées.

Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la périodicité de l’acte.

Pour indiquer les deux en même temps «Nom / (it + verbe + oze) + ytitækinoz + lieu, temps + j̄» ou «Nom / (it + verbe + oze) + itytækinoz + temps, lieu + j̄».

- Jusqu’à la mort. => Ytitækinoz ħilzifizj̄. (Par choix arbitraire la Mort est considéré comme un lieu, il est possible d’utiliser itækinoz, ou  ytitækinoz. Suivant les croyances de chacun.).
- Jusque dans cette maison => Ytitækinoz abilonan̄j̄.

Dans ce contexte, il est important de distinguer le verbe «aller» qui sert à formuler les phrases du type «j’irai (vais…) jusqu’à + lieu»… et «j’irai jusqu’à + temps ou idée»…
Lorsque que c’est jusqu’à un lieu, le verbe «Apedezei» sera utilisé.
Lorsque que c’est une idée ou un temps le verbe «Abikolei» sera employé.
Si le verbe est différent de «aller», il faut bien entendue utiliser son homologue.

4) Pour borner spatialement et/ou temporelle «de… jusqu’à…» les structures «Lieu de départ + ytatakinoz + lieu de fin + j̄» et «temps de départ + atakinoz + temps de fin + j̄» seront utilisées.
Par exemple : De Nantes à Montaigu. => Eno Nantes ytatakinoz eno Montaiguj̄.

Pour indiquer les deux en même temps «Lieu de départ, temps de départ + ytatakinoz + temps d’arriver, lieu d’arriver + j̄» ou «Temps de départ, lieu de départ + atytakinoz + lieu d’arriver, temps d’arriver + j̄».

Ces dérivés de akin supportent l’ajout de «ob̄og» après le «z» final afin d’indiquer la périodicité de l’acte.
Pour dire les phrases du type «je vais de … jusqu’à…» la structure suivante sera utilisée :

- Lorsque ce sont des lieux «at + Lieu de départ  + ytatakin + lieu de fin + oz + j̄ + e».
- Lorsque ce sont des périodes «at + Temps de départ + atakin + temps de fin + oz + j̄ + e».
- Lorsque ce sont les deux «at + Temps de départ, lieu de départ + atytakin + lieu d’arriver, temps d’arriver + oz + j̄ + e».

5) Pour les structures négatives, le macron se placera sur la voyelle du marqueur temporelle liée à akin dans le cas 1 et 2.

Dans le cas 3, il sera sur la voyelle du marqueur temporelle lié au  verbe Apedezei ou Abikolei.
Par exemple: Bob n’est pas originaire de Bretagne =>  Ātytakin  eno Bretagneazj̄e Bob.
Je ne suis plus là depuis hier. => Ātatakin œtokheilozizj̄e (Imba).
Luk n’ira pas jusqu’à Berlin. => Ōtapedezoze ytitækinoz eno Berlinj̄ Luk.

Le cas 4 est un peu particulier, il est possible de placé le macron sur deux positions en fonction de l’information à nier.

Si il faut nier le point de départ le macron sera porté sur le marqueur temporel du début.
Si il faut nier le point d’arrivé, c’est le «Y» de ytatakin qui le portera.
Si il faut nier les deux, le macron sera sur les deux positions.

Je ne pars pas de Nantes mais (je vais) à Montaigu. => Āt eno Nantes ytatakin eno Montaigu.
Je pars de Nantes mais (je ne vais) pas jusqu’à Montaigu. => At eno Nantes ȳtatakin eno Montaigu.
Je ne pars de Nantes et (je ne vais) pas à Montaigu => Āt eno Nantes ȳtatakin eno Montaigu.




Préfixe cis- / trans- et le Prolatif.


1) Préfixe «trans-» donne le sens de passer d’ici à là, passer à travers, outrepassé, être au-delà. Le Préfixe «cis-» veut dire en deçà.

Le suffixe –uzn («-ụzn» à l’écrit) permettra d’attendre le sens du préfixe trans-, supra-, ultra- dans le sens au-delà d’une limite, même si il n’existe pas d’équivalant en français.

Le suffixe -ᵫzn permettra d’attendre le sens du préfixe cis-, infra- .

Exemple transporter => Akyluznei.
Un être au delà des dieux => Aigonzuzn.
Un sous humain => Eigᵫzn.

2) Le prolatif, permet de mettre en évidence le vecteur d’une action. En Français il est annoncé par les prépositions «par», «via» comme dans les phrases du type «livré par bateau», «expédié par chronopost».
Il est obtenu en ajoutant «-uznj̄» au nom. Il est utilisable aussi lorsque de l’acquisition de compétence ou de valeur par le biais d'un vecteur.

Par bateau. => Amukụznj̄.
Par le chant => Olypikuznj̄.

Lorsque c’est un groupe de mot comme dans «l’énergie est produite par fusion atomique». Le suffixe «-uzn» se place sur le premier mot et le «-j̄» sur le dernier de l’ensemble.

3) Pour nié le prolatif, le macron est porté par le «u» du suffixe «-uzn» («-ụ̄zn» à l’écrit). Dans ce cas, les voyelles du nom qui portent un macron ne le perde pas.
Pas par avion. => Oikōvụ̄znj̄.




Structure de choix
Eztiak est le mot qui signifie choix, il donnera l’ensemble des mots permettant de définir les structures de choix.

Les deux structures
sont :
- L’ensemble des éléments seuls et la prise en considération de l’ensemble des combinaisons possibles.
A et / ou B, (soit A, soit B, soit A ET B) => A ta B.

- Seulement les éléments seuls.
A ou B, (soit A, soit B) => A za B.

Lorsqu'il y a plus de deux éléments il est possible de mettre le ta ou za en tête du groupe afin de le noter qu'une fois et la liste des éléments est placée entre ‘’, lorsque c’est possible.
A et/ou B et/ou C et/ou D => Ta ‘A B C D’.

Le «Et» qui permet l’énumération plusieurs caractéristiques (une jupe noire et bleue) ou d’élément (un piano et un camion) n’existe pas.

Par contre lorsqu’il est assimilable à un «de plus», «ainsi que» … en faisant appel à une idée différente il se note «zo»
Il est possible de l’utilisé à la place d’un point-virgule.




Dernière édition par bakou le Jeu 18 Oct 2018 - 16:00, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 16:11

Les nombres grammaticaux.

Le singulier
L’ensemble des noms présentés dans le tableau sont au singulier. Il n’y a pas de déterminant comme en français, mais il est possible de dire «fyf̄ ko» pour indiquer qu’il y a qu’un seul élément. Dans le cas général, son emploi est assez rare. Le singulier sert à parler de l’élément en général.

Le singulatif
Pour parler d’un élément en particulier «cet arbre», il faut employer le singulatif qui est caractérisé par le suffixe «-an̄».
Cet arbre sera donc ithykan̄.
Le singulatif peut aussi être employé au pluriel. Dans ce cas, il servira à parler d’un ensemble précis d’élément de même nature.
Par exemple ces arbres => Ithykan̄’g.
Il est toujours possible de l’employé avec d’autre structure.

2.1) Il permet aussi d’obtenir les structures du type c’est + quelque chose. Dans ce cas le suffixe «-an̄» est toujours, après «-j̄» qui est facultatif, et avant e /ei.  

«c’est + adjectif».
La structure à employer est «marqueur temporel + (préfixe) + adjectif + marqueur temporel + (j̄) + an̄ + e / ei».

Par exemple
C’est jaune. => itmꜽkoizan̄e

2.2.) «c’est + ce + nom».
La structure à employer est  «marqueur temporel + (préfixe) + nom+ an̄ + marqueur temporel + (j̄) + an̄ + e / ei».

Par exemple
C’est ce jaune. => itꜽkan̄izan̄e.

2.3) «c’est + lieu».
La structure à employer est «marqueur temporel + (préfixe) + lieu + marqueur temporel + (j̄) +  an̄ + e / ei».

Par exemple
C’est à Paris. => it eno Parisizan̄e.
C’était dans la chambre => atỵtythulīpazazj̄an̄e.

’g marque du pluriel et notion d’ensemble.

1) Un nom s’accorde en nombre uniquement dans le cas où il faut décrire plusieurs éléments identiques qui constituant un ensemble, (un groupe, un lot ou une collection) pour lequel le nombre d’élément individuel n’est pas important. La marque «’g» se place à la fin d’un nom, il n’y a pas de déterminant.
Par exemple: un lot de livre ou des livres => Opazn’g.
Un banc de poisson ou les poissons => Hag’mul’g.
Lorsque la dernière lettre du mot est un «g», il est possible à l’écrit de noter seulement l’apostrophe ’. Toutefois à l’oral la suite ’g’g (gué gué) devra être entendue.

2) Dans certain cas idiomatique, l’utilisation du «’g» collectif s’applique pour créer un nouveau nom au singulier représentant une entité collective de l’élément de base.
Par exemple la forêt => Ithyk’g. Cette forêt => Ithyk’gan̄.
Pour ne pas confondre des arbres avec une forêt, les singuliers formés par le ‘g collectif sont précédés ou suivit «fyf̄ ko». 1 forêt => Fyf̄ ko ithyk’g.

Leur pluriel est classique. Dans les structures 3, 4 et 6, ils conservent bien évidement leur «’g».

3) Si il est nécessaire de préciser le nombre d’élément dans le groupe, la tournure suivante sera adopté:
« nombre + ko + nom ». C’est aussi la structure des phrases du type «trois hommes». La marque du pluriel ‘g est abrogée car le nombre porte déjà la notion de pluralité.
Par exemple: un lot de 7 livres ou 7 livres => Pyf̄ ko opazn.
Ce banc de 3 poissons ou ces 3 poissons => Vyf̄ ko hag’mulan̄.
4) Si c’est une unité qui est à préciser, la tournure suivante sera adoptée:
« nombre + (préfixe unité ko suffixe numérique) + nom».

Le préfixe de l’unité est obtenu en supprimant la consonne du nom, on obtient ainsi l’unité du système international.
Pour obtenir les multiples de l’unité internationale formée par multiple de 10 (hecto, kilo, Exa..), il faut ajouter le suffixe numérique concerné après le «o» de "ko".
Par exemple 100g de poisson. => Fyz eniko hag’mul.
3 km => 3 + distance ko v + longueur. => Vyf̄ apedekov elidz̄ut.

Attention dans le cas des suffixes numériques «-o» et «-ō», à l’écrit ils seront indiqués en toute lettres «-koo» et «-koō» et à l’oral ils se prononceront en deux syllabes distinctes [ko.o] et [ko.o:].

- Pour obtenir les sous-multiples de l’unité internationale formés par multiple de 10 (centi-, mili-, pico-..), il faut changer le «O» de ko en «œ» puis ajouter le suffixe numérique concerné.
3 pm curviligne. => 3 + distance kœ b + courbe => Vyf̄ apedekœb œv̄oz.


4.1)  Particularisme du vocabulaire, le cas des unités dépendantes du référentiel.
Lorsque les termes comme «jour», «année» …ect… sont employés comme unité, c’est-à-dire «okheiloko» ou «akageāl’ko», ils ne représentent pas la même durée suivant le référentiel employé.
Par exemple, la phrase «Je viens l’année prochaine» n’a pas la même valeur temporelle qu’elle soit énoncer sur Terre environs 365,5j soit 8772h ou sur Pluton environ 90644j soit 2175456h.
Ainsi sans précision particulaire les termes reflètes soit le temps nécessaire à l’astre ou se trouve le locuteur soit à l’astre précisé par le contexte.

Le cas des devises.
En cas de nécessité, il est possible de préciser le référentiel sous forme d’adjectif avec l’ordre «terrestre année».
Lorsque le mot «Eglon» qui signifie «monnaies» est utilisé comme unité «Egloko» «devise», le cas est similaire au précédent. Toutefois, lorsqu’il est nécessaire de préciser la devise employée et comme les pays n’ont pas de traduction, il faut alors employer «one + l’adjectif du pays dans une autre langue». Par exemple «Euro» devient «devise européenne» donc «one européenne egloko».

5) Lorsque l’on souhaite partitionner un groupe en deux sous-groupes, il faut utiliser la tournure suivante si:
- Le nombre d’élément du groupe est inconnu: «Fraction + ko + nom».
2/3 du banc de poisson ou 2/3 des poissons => Zyf̄ ’vyf̄ ’ḡ ko hag’mul.
- Le nombre d’élément du groupe est connu. «Fraction ko nombre’ḡ + nom». à noter l’allégement d’un ko.
2/3 du banc de 8 poissons => Zyf̄ ’vyf̄ ko kyf̄ ’ḡ hag’mul.

- Plus généralement, lorsque l’on souhaite parler d’une partie d’un tout on utilisera la marque «’ḡ».
6)Lorsque l’on souhaite parler de quelque chose comme «2 groupes de 3 hommes», il existe deux solutions:

- Soit la tournure «à ordre mobile» composée de {nombre 1; ko; azn’g; nombre 2; éléments}. A noté l’allégement d’un «ko». Les règles sont les mêmes que pour la phrase:
- L’ordre reflet l’importance de l’information.
- Comme pour les adjectifs, les nombres restent à coté de leur nom réfèrent.
- Facultatif. Pour une bonne démarcation, «ko» reste au centre des deux sous-groupes de la structure.
Zyf̄ azn’g ko vyf̄ eig. Azn’g zyf̄ ko eig vyf̄. …. Vyt eig ko zyf̄ azn’g. Eig vyf̄ ko azn’g zyf̄. … Eig vyf̄ zyf̄ azn’g ko. Zyf̄ azn’g eig vyf̄ ko …. => 2 groupes de 3 hommes.

- Soit la seconde tournure à ordre fixe «(yt + nombre 1) + azn’gj̄ + nombre 2 + ko + éléments» ou «nombre 2 + ko + éléments + (yt + nombre 1) + azn’gj̄» plus proche d’un locatif «3 hommes dans 2 groupes» et de «dans 2 groupes 3 hommes».
3 hommes dans 2 groupes => Vyf̄ ko eig ytzyf̄ azn’gj̄,
Dans 2 groupes 3 hommes => Ytzyf̄ azn’gj̄ vyf̄ ko eig.

La structure du locatif est développée plus loin.


Dernière édition par bakou le Jeu 7 Mar 2019 - 19:35, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 17 Sep 2018 - 20:51

Je n'ai pas eu le temps de tout lire, beau projet !

Autant la phonologie m'a paru classique autant par la suite, distinguer les types de mots par des formes plus complexes qu'une voyelle finale, singulier et pluriel, etc. m'a paru original.
A voir à l'usage si c'est facile et pas trop répétitif, bon courage !

Pour les adjectifs et les différents cas, Levas/Ali a proposé un table de toutes les possibilités (très exhaustif) : une encyclopédie des cas grammaticaux

par exemple tu as écrit "à qui" possessif, seulement en partie, ce peut être attributif (datif et non génitif comme un possessif), bénéfactif (pour quelqu'un), etc.

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 11:00

Merci pour tes encouragements !

Pour la phonologie, je voulais respecter le principe de transparence orthographique et éviter les problèmes de zozotement et de laïus, malheureusement c'est raté pour cette fois!

Le travail de Levas/Ali est vraiment formidable ! Merci !
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 11:40

Parfait, j'avance dans mes lectures.
- as-tu une raison particulière pour la macronisation ?

J'aurais plus changé les séries de voyelles, donc des séries ou harmoniques de voyelles différentes, mais chacun ses goûts. Même si apparemment à force de macroniser ça change la voyelel si j'ai bien compris.
C'est facile de louper une voyelle allongée, je trouve.

Pourquoi ton mode actuel ne traduit-il pas le "en traine de" français pour pouvoir être employé à tous les temps ?
Comme ça tu aurais 2 modes distincts qui te permettrait d'exprimer des aspectsdifférentes, non ?

Pour moi le causatif-factitif, c'est faire construire sa maison ou tuer en regard de mourir (tuer=faire mourir).

Hâte de voir un paragraphe complet en Uazei Very Happy

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 13:22

La macronisation vient des maths, du moins à un lien avec.
Plus précisément avec les nombres complexes et leurs conjugués et de leurs propriétés.
Dans C le nombre complexe z = b + ai, a un conjugué (z barre) tel que z̄ = b - ai.  
Si z est un imaginaire pur alors z + z̄  = ai - ai = 0 et z x z̄ = - (ai x ai) = - (a² x -1) = a².
L'idée de base vient de là.

Oui, il vrai que les voyelles longues sont faciles à snober ! C'est un clin d’œil au japonais qui galère avec le "r" alors me suis dit que se serai bien de galèrer avec les voyelles longues.
A noté qu'il n'y a pas de "r" dans le Uazei car les enfants ont du mal à le prononcer !
Effectivement,après avoir écrit la règle de macronisation je me suis trouvé face au problème de la distinction des sons. Pour éviter l'absurdité d'une lettre aussi longue qu'une phrase (déjà que le triple macron sur l’initiale n'etait pas très élégant) et bien il y a "diphtongues" et ligatures. Le son est "allongé" par l'apport du second son, et la ligature peu porter un simple macron plus élégant que les 3 des voyelles initiales et qui fait écho à l'effet de base.

Pour les temps, j'ai hésité pour la généralisation de "l'actuel".
En voyant qu'il y en avait déjà 10 et que je ne savais pas trop se que je voulais comme "conjugaisons" et bien j'ai renoncé à cette généralisation tout simplement pour ne pas rendre plus complexe le choix du bon temps.
De plus, tu verras que dans un paragraphe comme les verbes auxiliaires "être"  "Avoir" n'existent pas, les structures sont très agglomérées et se comportent comme des poupées gigognes accentuant la compactions des phrases.

Du coups, je me dis que si on souhaite dire : " Il était en train de téléphoner quand il a eu l'accident"
L'emploi d'une deux morceaux de phrase distinct au passé général permettrait d'aérer les structures, du type " il téléphonait quand Il accidentait".

A moins que ce ne soit pas ce type d'exemple que tu avais en tête.

C'est exact ! C'est une erreur de ma part c'est le causal que je devais noter !
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 13:57

Non, c'est intéressant, très bien.
Personnellement la contraction et l'agglutination m'éclatent, j'aimerais bien arriver à construire des idéolangues agglutinantes, voire même polysynthétique.

Tes mots préfixes et suffixes, tu les inventes comme ça ou bien tu prends des inspirations quelque part?

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 14:16

Velonzio Noeudefée a écrit:
Non, c'est intéressant
Personnellement la contraction et l'agglutination m'éclatent, j'aimerais bien arriver à construire des idéolangues agglutinantes...
Quelle type d'agglutination apprécies-tu le plus, mis à part d'imbrication ?
la juxtaposition (elko, espéranto)
ou l'articulation (uropi, volapük) ?

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 14:45

Ahahaha ! J'aimerai bien éviter que le Uazei soient trop agglutinante ! Very Happy

Pour la formation des mots y a les 2. Quand je les trouve quelque part, c'est souvent des références à la culture pop avec dérive graphique (plus ou moins proche de l'original) pour respecter les contraintes des mots, (sa passe du nom de pokemon jusqu’à des marques en passant par des personnages mythologiques et des mot réels).
Par exemple : Uazei Eig o vient du mot japonais "wasei eigo" comme je souhaitais que le nom de la langue soit "Parler des Hommes lié à tout les domaines scientifiques" Uaz devient donc la Parole et -ei est la forme verbale "parler". Corolaire un nom commence par une Voyelle et ce termine par une consonne.
Eigo devait être Humain mais ne pouvait pas s'accorder avec la règle des noms sauf si le o final gicle. D'où la création des agents de contextes et de la graphie Eig·o.

Partant de la 'g est devenu la marque du pluriel d'elle même.
"Eg" est la femme d’où le préfixe -eg pour Féminiser.
'Ig" est homme d’où le préfixe -ig pour Masculiniser.

Initialement les conjugaisons devaient être avec un "I" final mais en vue de la polémique de la féminisation des mots je me suis dit que "E" serai plus féminin et dans l'air du temps.

Le mot outil est le seul à finir avec un "j", je vois les cas grammaticaux comme des outils de la langue donc les cas grammaticaux sont marqués un préfixe liée à un mots particulier faisant écho au cas puis se conclue par un "j macron" (amplification de la visibilité car il ne peu pas y avoir de consonne terminal macronisée autrement que dans les cas grammaticaux) comme pour créer une parenthèse englobant la partie de la phase concernée. Comme en math lorsque l'on souhaite calculer en priorité.

J’essaie que tout se suivent que se soit simple de comprendre et que se soit toujours pareille sans ambiguïtés. Je pense que c'est important car les phrases sont à ordre mobile et comme c'est une maquette de langue il faut qu'en "peu" d’élément tout soit dit et si il y a des manques et bien que l'on puisse facilement combler les trous avec l'existant.
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMar 18 Sep 2018 - 17:33

J'ai l'impression que tu inverses le sens de préfixe avec suffixe...?!
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMer 19 Sep 2018 - 15:48

Tu as parfaitement raison !
Pourtant ce ne sont pas des notion très compliqués !
Je vais jeter un œil, si un doute persiste il faut regarder la position du tiret, (si il y en a un).

Merci !
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyJeu 20 Sep 2018 - 19:52

Le suffixe -j̄.
Lorsque que plusieurs suffixes «-j̄» se suivent sur le même mot, il est possible de simplifier l’accumulation en apportant l’indication du nombre de suffixe «-j̄» sur le mot. La structure sera  «Mot + o + Nombre + j̄».
Dans le cas des adjectifs, si la dernière lettre est un «O» alors  «OO» devient  «Ō».

Par exemple
- gꭡlakoj̄j̄j̄ => gꭡlakōvyf̄j̄
- Atelierj̄j̄ => Atelierozyf̄j̄





Les comparatifs.

Le mot elak signifie similitude, ēlak sans similitude, ꭡlak la différence et   lak sans différences.
Ces mots vont former les structures comparatives, qui seront :
«(marqueur temporel + élément 1)+ élément 2…+ (comparatif + marqueur temporel + ei / e) + élément 3 (élément 4 + j̄ )».

Attention, quelques subtilités existent.

Identique

- Pour jusqu’à 4 éléments identiques, la structure est:
«(marqueur temporel + A) ( elak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)»
ou «(marqueur temporel + A) B ( elak + marqueur temporel + ei / e) + C (D + j̄)»…
La structure est à ordre mobile et libre car représente une égalité large entre tous les éléments, elle vaut à «est / sont identique(s) (à)».

Au-delà de 4, il est préférable de dire:
- gelako’g «tous semblables (entre)».
- Ou «ces «éléments» sont semblables» avec la tournure
«(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)»
- Ou N éléments sont semblables,
«marqueur temporel + Nombre + ko + nom + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e»

par exemple:
30 poissons étaient identiques («action» passée, terminée). => Atvyf ko hag’mul elakazj̄e.
Ces 30 poissons sont devenus identiques. => Atvyf ko hag’mulan̄ elakizj̄e.
30 poissons dévideront identiques. => Itvyf ko hag’mul elakozj̄e.

Sans similitudes

- Pour jusqu’à 4 éléments sans similitudes, la structure est:
«(marqueur temporel avec macron + A) + ( elak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)».
Attention, elle vaut à «n’est / ne sont pas identiques (entre)» même si l’ordre est mobile il faut le ménager correctement.

De plus, le cas «(marqueur temporel avec macron + A) B ( elak + marqueur temporel + ei / e) C (D + j̄)», n’implique pas de point commun entre A et B ni entre C et D.

Au-delà de 4,
il est préférable de dire
- gēlako’g «Aucunes similarités (entre)».
- Ou «ces «éléments» sont sans similitudes» avec la tournure
«(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel avec macron + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)»
- Ou N éléments ne sont pas semblables,
«marqueur temporel avec macron + Nombre + ko + nom + elak + marqueur temporel + j̄ +ei / e» par

exemple:
30 poissons ne sont pas similaires (la maintenant) => Ītvyf ko hag’mul elakizj̄ei.


Sans différences


- Pour jusqu’à 4 éléments sans différences, la structure est:
«(marqueur temporel avec macron + A) + ( ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)»
ou «(marqueur temporel avec macron + A) + B + ( ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + C (D + j̄ )» …

La structure est à ordre mobile et libre car elle représente une égalité stricte entre tous les éléments, elle vaut à «n’est / ne sont pas différent(s) (à / entre)».

Au-delà de 4, il est préférable de dire
- gꭡlako’g «Aucunes différences (entre)». (il faut un macron sur ꭡ)
- Ou «ces «éléments» sont sans différence» avec la tournure
«(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel avec macron + ꭡlak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)»
- Ou N éléments sont sans différences,
par exemple:
ces 30 poissons sont sans différences (actuellement). => Ītvyf ko hag’mulan̄ ꭡlakizj̄ei.
30 poissons étaient sans de différences (plus maintenant). => Ātvyf ko hag’mul ꭡlakizj̄e.

Différent

- Pour jusqu’à 4 éléments différents
«(marqueur temporel + A) + ( ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + B C (D + j̄)».
La structure est à ordre mobile et libre car représente c’est une inégalité stricte entre tous les éléments, elle vaut à «est diffèrent (de)».

De plus, le cas «(marqueur temporel + A) + B + ( ꭡlak + marqueur temporel + ei / e) + C + (D + j̄ )», n’implique pas de point commun entre A et B ni entre C et D.

Au-delà de 4, il est préférable de dire
- gꭡlako’g «Tous différents (entre)».
- Ou «ces «éléments» sont différents» avec la tournure
«(nom+an̄+’g) + (marqueur temporel + ꭡlak + marqueur temporel + j̄ +ei / e)»
- Ou N éléments sont différents,
par exemple:
30 poissons seront différents dans le futur (mais pas actuellement) => Itvyf ko hag’mul ꭡlakozj̄e.

Meilleurs que / pire que.
Les mots Imot et Ep signifient respectivement l’ajout et la bonté.
L’adjectif meilleur ou mieux est «Zimotepe», l’adjectif pire est «Zꭐmotepe».
Pour dire «tout est mieux ou c’est mieux» il faut utiliser zimotepe’g / itzimotepeizan̄e et son contraire zꭐmotepe’g / itzꭐmotepeizan̄e.


1) L’adjectif meilleur ou mieux est «Zimotepe», l’adjectif pire est «Zꭐmotepe».
Pour dire «tout est mieux ou c’est mieux» il faut utiliser zimotepe’g et son contraire zꭐmotepe’g.

2)La structure  «A est mieux que B» ou «A est pire que B» s’obtient comme celle du haut, c’est dire «marqueur temporel + élément(s) + (comparatif + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄».

Plus que / Moins que/ autant que.

Pour les tournures du type, X est plus «adj.» que Y:
«Plus que» => «marqueur temporel + élément(s) + adj.1 +…+ adj.n + ( imote + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄».
«Moins que» => «marqueur temporel + élément(s) ( ꭐmote + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄ ».
«Autant que» => «marqueur temporel + élément(s) ( upēz + marqueur temporel + e / ei ) + élément(s) + j̄».

Pour dire «le plus ou le moins» il faut utiliser «imot + nom» puis adjectiver le tout et son contraire «ꭐmot +nom»
Par exemple
Le plus beau => zimotizakuzi.
C’est le plus beau => itzimotizakuzizan̄e

Pour les tournures du type, X «verbe» plus que Y:
«Plus que» => «marqueur temporel + élément(s) + ( «v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + imote + élément(s) + j̄».
«Moins que» => «marqueur temporel + élément(s) («v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + ꭐmote + élément(s) + j̄ ».
«Autant que» => «marqueur temporel + élément(s) («v.1» + «v.2» + … + marqueur temporel + e / ei ) + upēz + élément(s) + j̄».

Règles communes

1) Comme tous les autres mots, il possible d’utiliser les préfixes d’intensité et les suffixes de connotation.
Ceci permet d’attendre les sens tel que «bien plus que», «presque pareil que»…

2) Lorsqu’une partie d’un groupe veut être comparée au reste comme dans la phrase, 30 poissons dont 20 sont semblables. Il est possible d’utiliser la tournure:
«Marqueur temporel + partie‘tout’ḡ ko nom + comparatif + marqueur temporel + j̄ + ei / e».
Itzyf̄ ’vyf̄ ’ḡ ko hag’mul elakizj̄e.

3) Par l’intermédiaire des agents de contexte, il est possible d’apporter jusqu’à deux points de comparaisons sur le comparatifs.
Par exemple:
30 poissons de couleurs différentes biologiquement différents (en général) => Itvyf ko hag’mul ꭡlakizj̄e·ybu·oiz.
Au-delà de 2 caractéristiques, il est préférable de les citer.

4) Il est possible de mixer les comparatifs et les marqueurs temps.
« (Marqueur temporel C1 + élément A ) + (Comparatif 1 + marqueur temporel C1 + e / ei ) + B + C + (Marqueur temporel C2 + D + j̄) + ( Comparatif 2 + marqueur temporel C2 + e / ei) F G (H + j̄)».
Par exemple:
A est diffèrent de B et C et  sera meilleurs que D => itA ꭡlakize B Cj̄ otimotepoze Dj̄.
- Dans cette structure, il est possible d’énumérer autant d’éléments que souhaité.
- Elle est à ordre mobile mais doit être ménagé.
- Attention, généralement, le premier élément cité est la «référence» des comparatifs.


Dernière édition par bakou le Dim 9 Déc 2018 - 10:56, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMer 26 Sep 2018 - 13:39

Premier test en partant du texte de projet de capsule.

// Gepe okheilokazil //
Eno ‘Bakou Hearthless’ itoebhamatulize, amydeiazam imtoj̄ elitavukiēmizj̄e.
Ytynimba okhȳn zaktyepono·oj̄ // ytilok ithovnize //
Æktynion yn imba obotukavamoze eg’mizogālei imbaj̄.
* Etoua ukbāzil aliz̄dozei Igazil eno ‘FERNANDEZ Cyril’ itukavamoze *
Ytaphikakud zaktikavi·zj̄ zaktꭡzmeizi one mr.fernandez@live.fr ez enthaluznj̄ ytab +VVT ZZ TD NT NN / +VVV KF̄ NP MM VKj̄ ez habitakuznj̄ ytabaphikakudj̄ zaktꭡzmeizi one ‘nyf̄ rue de la tournelle’ ZFMTF̄ eno ‘Couternon France’.
// Utzudon yn ukbāzil azantazil //
Texte en "français" Avec l'ordre utiliser. les mots entre () sont supprimés.[] représentent les "explications"

Bonjour!
Bakou Hearthless nomme (je), [cause] de vous rencontrer [conséquence] enjaille (je).
Dans mon ballon sonde [celui qui analyse + adj. + agent de contexte science], explore (l’)espace (je)!
(De) moi (l’)équipe [ceux qui subissent l’union], [objectif] pourra retrouver moi !
Vous [ukba + azil vous de politesse] contacter Monsieur [Homme + politesse] FERNANDEZ Cyril pouvez [au présent-futur]?
(Sur) [Superessif] (l’)adresse électronique [Celui qui électrise + adj.+agent de contexte informatique] suivante [celui qui succède +adj.] mr.fernandez@live.fr
et / ou (par) [Prolatif] téléphone (au) [locatif étendue] +336 22 69 46 44 / +333 80 47 55 38
et / ou (par) [Prolatif] courrier (à l’) [locatif étendue] adresse suivante 4 rue de la tournelle 21560 Couternon France.
(De l’)aide à vous merci !




Version 2
Peu de différence, emploi de lettre avec point souscrit qui sont des points de repère concernant les cas grammaticaux lié au " j̄ ". (ceci n'implique pas de changement son). Leur emploi est facultatif.  

// Gepe okheilokazil // Eno ‘Bakou Hearthless’ itoebhamatulize amydeiạzam imtoj̄ eḷitavukiēmizj̄e. Ỵtynimba okhȳn zaktyepono·oj̄ // ytilok ithovnize // Ytaktynion’g yn imba oḅotukavamoze eg’mizogālei imbaj̄ * Etoua ukbāzil aliz̄dozei Igazil eno ‘FERNANDEZ Cyril’ itukavamoze * Ta ỵtaphikakud zaktikavi·zj̄ zaktꭡzmeizi one mr.fernandez@live.fr 3 enthalụznj̄ ỵtab +VVT ZZ TD NT NN / +VVV KF̄ NP MM VKj̄ 3 habitakụznj̄ ỵtabaphikakudj̄ zaktꭡzmeizi one ‘nyf̄ rue de la tournelle’ ZFMTF̄ eno ‘Couternon France’. // Utzudon yn ukbāzil azantazil //



Indice d'entropie de Shannon 4,736351170553672 => "longueur moyenne des mots 5 caractères."
Indice de Coïncidence 0,06144 => Répartition des lettres proche d'une langue naturelle (anglais I.C. = 0.0667).

Les calcules sont obtenue en changeant les lettres à macron avec leur équivalant double x̄ = xx.
Et les ligatures en "explicitant" les lettres qui les composent" ꭡ => ie.

les soupires sont remplacés par 3.
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bakou

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyJeu 18 Oct 2018 - 16:18

Les pronoms (VCCV)

En Uazei Eig·o les pronoms sont composés de deux syllabes et ont un fonctionnement assez singulier:

- Ils fonctionnent toujours pas réflexion comme dans «je me lave», «je te tiens». Toutefois le sens est plus proche de la construction «moi par rapport à moi, à toi, de toi à moi.» et de «toi vis-à-vis de moi»….
- Toutefois, là cette réflexion n’empêche pas leurs emplois dans les structures classiques «je» «tu»…  

Voici la liste des premiers:
- Imba, moi de moi-même (narrateur).
1. S’utilise lors d’une autoévaluation du narrateur ou d’une action entreprise par le narrateur pour lui-même, il est quasi équivalant au «je me… pour moi» français.
2. L’emploi de ce pronom est malvenu au cours d’un débat d’idée, en effet il donne l’impression (volontaire ou non que le narrateur se place avec ses connaissances comme point de référence). Au cours d’un débat Imto Imby et Imka sont à privilégiés.

- Imza, moi pour l’auditoire ou de moi à l’auditoire.
1. S’utilise comme le «je te» et «je vous» «je me … pour toi» du français.
2. Il permet aussi au narrateur d’initier un lien avec un auditoire particulier et privilégier, lorsque le narrateur interpelle directement l’auditeur, ou lorsqu’une action est entreprise par le narrateur pour l’auditoire (discours politique).
3. Le passage au pluriel imza’g, permet d’obtenir le sens de moi et toi ou moi avec toi. Ceci représente le «nous nous», «nous nous … pour nous» du français.

- Ukza, toi de toi-même, toi pour toi-même (l’auditeur privilégier sur lui-même).
1. Il s’utilise lors d’une autoévaluation de l’auditoire ou lorsqu’une action est entreprise par l’auditoire pour lui-même.
2. Ainsi que comme les «tu te» «tu te … pour toi» ou «vous vous» du français.

- Ukba, l’auditoire (unique ou collectif) vis-à-vis de narrateur, toi à moi.
1. Au cours d’un dialogue initié par le narrateur, il s’utilise comme le réciproque de Imza, c’est-à-dire que c’est ce pronom que l’auditoire (ou celui qui n’a pas lancer la discussion) utilisera pour répondre au narrateur.
2. Son emploi est favorable lorsqu’une action est entreprise par l’auditoire pour le narrateur.
3. Il peut aussi mimer les «tu te», «tu te … pour moi» et «vous me» du français.
4. Au cours d’un débat Ukto Ukby et Uka offriront plus de subtilité à l’auditoire et seront mieux perçus sont à privilégiés.
5. Il permet aussi de remplacer la tournure «à ta place je», «à ta place nous».

Ces pronoms restent simples d’usage car proche du français et assez intuitif. Ils s’utilisent principalement à l’oral.

Les suivants présentent la particularité d’être lié à un «système». C’est-à-dire à un ensemble fini d’élément (composante(s)) présent dans un espace spatialement et temporellement borné.
Attention borné ne veut pas dire clos, des échanges avec l’extérieur sont envisageables.

Les éléments peuvent être d’ordre physique et/ou des évènements, par exemple une souris de laboratoire et ses réactions suite à un traitement. Il peut se résoudre à un seul élément isolé.

- Un système peut-être libre, comme dans le cas des descriptions, il est possible de se focalisé sur une partie de l’ensemble.
Ou bien imposé, par exemple lors d’une question : Demain je serais à la fête d’Alice, et toi ? Ici, le système est la fête d’Alice de demain.

- Le système est toujours suffisant pour décrire ce que l’on souhaite et s’il est difficile à  identifier il est toujours possible de prendre l’intégralité de l’univers connu et inconnu comme support.

- Son fonctionnement ressemble aux poupées gigognes.

Voyez ; la situation est la suivante : vous êtes en voiture et là vous avez faim.
Premier système vous pouvez aller manger chez vous, à l’extérieur ou ne pas manger.

Le choix est fait vous allez chez vous deuxième système.

Arrivez chez vous, vous avez le choix entre les placards de la cuisine, le frigo ou les placards du salon troisième système.

Direction le frigo et son contenu quatrième système.

Vous choisissez une pomme cinquièmes et dernier système. Bon appétit !

Voici la liste des derniers pronoms:

- Ylto, le système à (ou pour) lui-même.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour lui-même, il est semblable au «il / elle se … pour lui / elle) avec une notion de totalité du sujet.
2. Il permet de parler d’une évolution globale du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque.
3. Il peut être utile lorsque le système est un individu et que l’on souhaite utiliser les tournures du type «dans sa tête à lui, il se pense …».

- Ylba, le système par rapport au (ou pour) narrateur.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour le narrateur.
2. Il peut être utilisé comme le «Il / elle me» « il / elle se …  pour moi» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte (≠ olba qui considère seulement une ou plusieurs parties du système).

- Ylza, le système par rapport à (ou pour) l’auditoire.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour l’auditoire.
2. Il peut être utilisé comme les «Il / elle se … pour toi», «Il / elle te» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte (≠ olza qui considère seulement une ou plusieurs parties du système).

- Ylby, le système par rapport à (ou pour) une partie de lui-même.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour une ou plusieurs de ses parties, c’est un peu le «Il / elle se … pour lui / elle / eux» avec une notion du partitionnement du sujet.
2. Il permet de décrire les interactions globales crées (ou imposée) par le système sur ses sous-éléments.

- Ylka, le système par rapport à (ou pour) ce qui est en dehors de lui.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le système pour ce qui considérer comme n’appartenant pas au système.
2. Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de l’altruisme et la volonté d’intégration parraine. Cet emploi est enviable seulement quand le narrateur est un observateur neutre ayant de lien ni avec le système ni les autres.
3. Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon neutre ou passive de nouveaux champs d’investigations favorable au système. Dans ce contexte, il est possible d’utiliser la forme pluriel Ylka’g qui serai un «nous de modestie» représente le groupe et / ou l’équipe.

- Olby, une ou plusieurs parties du système par rapport à (ou pour) elle-même où à une autre.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une  ou plusieurs parties du système soit pour elle-même soit par une ou plusieurs autres parties, et / ou pour décrire l’interaction entre deux parties du système qui sont en lien.
2. Il s’utilise comme le «il se», «elle se»… singulier ou pluriel.
3. Il permet de parler de l’évolution d’une ou plusieurs parties du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque en regardant seulement l’effet local.

- Olba, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) au narrateur.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une  ou plusieurs parties du système pour le narrateur, c’est un écho de la structure française,  «il / elle me», « il / elle se … pour moi» au singulier ou au pluriel. Dans ce cas c’est une ou plusieurs parties du système qui sont prises en compte (≠ Ylba qui considère l’intégralité du système).

- Olza, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) à l’auditoire.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une  ou plusieurs parties du système pour l’auditoire, c’est un écho de la structure française, le «il /elle te», «il /elle se … pour toi / vous»… singulier ou pluriel. Dans ce cas c’est une ou plusieurs parties du système qui sont prises en compte (≠ Ylza qui considère l’intégralité du système).

- Olto, une ou plusieurs parties du système par rapport (ou pour) au système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par une  ou plusieurs parties du système pour le système. C’est un écho de la structure française, le «il /elle le», «il /elle se … pour lui / elle» mais avec cette idée d’englober tout le système.
2. Il permet de parler de l’évolution d’une ou plusieurs parties du système en fonction du temps ou suite à un changement quelconque et d’évaluer son effet sur la totalité du système.

- Olka, une ou plusieurs parties du système par rapport à (ou pour)  ce qui est en dehors du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un ou plusieurs éléments du système pour ce qui est considérer comme n’appartenant pas au système.
2. Il peut aussi tenir le rôle de «la main tendue» d’un groupe à l’intérieur du système vis-à-vis de l’extérieur. Cet emploi est enviable seulement quand le narrateur est un observateur neutre ayant de lien ni avec le système ni un des parties ni les autres.
3. Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon neutre ou passive de nouveaux champs d’investigations favorable à un ou plusieurs éléments du système. Dans ce contexte, il est possible d’utiliser la forme pluriel Olka’g qui serai un «nous de modestie» représente le groupe et / ou l’équipe.

- Azka, ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) eux même.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour lui-même ou eux même.
2. Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système qui s’autoanalysent. Il est semblable aux «il se / elle se», «il / elle se … pour lui / elle)» singulier ou pluriels avec une notion d’extériorité au sujet.

- Azba, ce qui est en dehors du système par rapport au (ou pour) narrateur.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour le narrateur.
2. Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du narrateur, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de moi)» dans laquelle «… des autres (sur moi)» est Azba.
3. Il est utilisable lorsque dans le contexte, le narrateur est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «seul contre tous», «tous» sera Azba. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.

- Az̄a, ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) l’auditeur.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour l’auditoire.
2. Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du l’auditoire, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de toi / vous)» dans laquelle «… des autres (sur toi)» est Az̄a.
3. Il est utilisable lorsque dans le contexte, l’auditoire est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «tu es / vous êtes seul contre tous», «tous» sera Az̄a. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.

- Azto, ce qui est en dehors du système par rapport au (ou pour) système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour le Système.
2. Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du système, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de nous / de lui/ elle)», avec une notion de totalité du système, dans laquelle «… des autres (de nous / de lui/ elle)» est Azto.
3. Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de la volonté d’intégration parraine des autre vis-à-vis d’un groupe. Cet emploi est applicable seulement quand le «ce qui est en dehors de système» proposant cette ouverture, toutefois celui qui relate les faits peut ou peut ne pas appartenir au système. C’est le réciproque de Ylka.
4. Il est utilisable lorsque dans le contexte, le système est profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression «nous / il / elle est seul contre tous», «tous» sera Azto. Cet emploi permet aussi d’amplifier et d’exiger l’effet.
Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue des réfractaires au système. Dans ce sens, il s’oppose à Uk̄a.
5. Lorsqu’un système est considéré sans «extérieurs», comme lorsque en science, on parle d’un système isolé (adiabatique et fermé / ou plus largement qui n’échange pas avec l’extérieur), Azto (ainsi que Azby) ne peut pas être employé. C’est le seul cas ou son emploi est inopérant.

- Azby ce qui est en dehors du système par rapport à (ou pour) une partie du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par un élément extérieur au système pour un ou plusieurs éléments du système.
2. Il est utilisable dans les contextes qui font appels à des entités hypothétiques ou extérieurs au système parlent du système, comme par exemple le mot «autre» dans l’expression «que vont penser les autres (de lui/ elle)» dans laquelle, avec une notion de partitionnement du système, «… des autres (de nous / de lui/ elle)» est Azby.
3. Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de la volonté d’intégration parraine des autres vis-à-vis d’une ou plusieurs éléments du groupe. Cet emploi est applicable seulement quand le «ce qui est en dehors de système» proposant cette ouverture, toutefois celui qui relate les faits peut ou peut ne pas appartenir au système. C’est le réciproque de Olka.
4. Il est utilisable lorsque dans le contexte, une ou plusieurs parties du système sont profondément isolé (physiquement et / ou mentalement), comme par exemple dans l’expression « il / elle (s. p.) est seul contre tous», «tous» sera Azby. Cet emploi permet aussi d’amplifier et / ou d’exiger l’effet.
5. Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue des réfractaires à une partie du système. Dans ce sens, il s’oppose à Uk̄a’ḡ.
6. Lorsqu’un système est considéré sans «extérieurs», ceci implique aussi que c’est parties sont isolés, Azby (ainsi que Azto) ne peut pas être employé. C’est le seul cas ou son emploi est inopérant.

- Imto, le narrateur par rapport (ou pour) au système, l’un des plus utilisé lorsque le narrateur parle.
Si le système n’est pas connu son emploi mime l’expression «moi en général» ou «Je par rapport au grand tout».
1. Il s’utilise à chaque fois que le narrateur parle d’un sujet qui est automatiquement considérer comme le système autour duquel tourne la discussion.
2. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour le système. Il fait un écho au «je le / la», «Je me … pour lui / elle» français avec une notion d’intégralité de la situation (≠Imby qui considère qu’une ou plusieurs partie du système.)
3. Il permet aussi de répondre à une question en liant le narrateur au système, ce qui n’est pas le cas de Imza.
Par exemple vas-tu as la fête demain ? J’y serai, ici «J’» sera Imto.

- Imby, le narrateur par (ou pour) rapport à un ou plusieurs éléments du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour un ou plusieurs éléments du système.
2. Il s’utilise comme le «je le / la» et le «je les» «Je me … pour lui / elle / les» du Français mais en considérant une fraction du système (≠Imto qui considère l’intégralité du système).
3. Il permet de se focaliser sur une partie de l’ensemble sans réduire pour autant le système initial. Par exemple vas-tu as la fête demain ? Oui, mais je ne serai pas à l’heure, ici «Je» serai Imby.

- Imka, le narrateur par rapports à (ou pour) ce qui est en dehors du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par le narrateur pour ce qui en dehors du système.
2. Il permet de prendre en considération un évènement extérieur par rapport à une demande, par exemple vas-tu à la fête demain ? Non j’ai poney, ici «Je» serai Imka.
3. Il peut aussi faire le rôle de «la main tendue» politique, de l’altruisme et la volonté d’intégration parraine. Cet emploi est applicable seulement quand le narrateur appartient au système proposant cette ouverture en vers les autres. La marque du partitif, Imka’ḡ permet d’indiquer que le narrateur appartient à une partie du système.
4. Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de proposer de façon impliqué ou active de nouveaux champs d’investigations favorable au système. Avec la marque du partitif, Imka’ḡ sert à proposer de façon impliqué ou active de nouveaux champs d’investigations favorable à un ou plusieurs éléments du système.

- Ukto, l’auditeur par rapport (ou pour) au système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour le système. Si le système n’est pas connu son emploi mime l’expression «toi en général» ou «tu par rapport au grand tout».
2. Il peut être utilisé comme le «Tu  le / la», «tu te … pour lui» dans ce cas c’est l’intégralité du système qui est pris en compte, (≠Ukby qui considère qu’une ou plusieurs partie du système.)
3. Il permet aussi de poser des questions à l’auditoire en le liant (ou avec une grande envie de le lier) au système, ce qui n’est pas le cas de Ukba. Par exemple : vas-tu as la fête demain ? ici «Tu» peut être Ukba si on souhaite fortement qu’il participe.

- Ukby, l’auditeur par rapport par rapport à (ou pour) une partie du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour un ou plusieurs éléments du système.
2. Il peut être utilisé comme le «Tu  le / la / les», «tu te … pour lui/ elle / eux» dans ce cas c’est un ou plusieurs élément du système qui sont pris en compte, (≠Ukto qui considère tout le système.)
3. Il permet aussi de poser des questions à l’auditoire en le liant (ou avec une grande envie de le lier) à une partie du système, ce qui n’est pas le cas de Ukba. Par exemple vas-tu as la fête demain entre 8h et 10h ? ici «Tu» peut être Ukby si on souhaite fortement qu’il participe dans cette tranche horaire.

- Uk̄a, l’auditeur par rapport par rapport à (ou pour) ce qui est en dehors du système.
1. Il permet d’indiquer qu’une action est entreprise par l’auditoire pour ceux qui sont à l’extérieur du système.
2. Il peut être utilisé comme le «Tu  le / la», «tu te … pour lui» dans ce cas c’est ce qui se trouve en dehors du système qui est pris en compte.
3. Il est utilisable dans les paragraphes d’ouvertures à la fin d’une étude ou d’un argumentaire afin de donner le point de vue d’autres personnes favorables du système. Avec la marque du partitif, Uk̄a’ḡ sert à donner le point vue d’autres personnes favorables à une ou plusieurs parties du système. Dans ce sens, il s’oppose à Azto et Azby.
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bakou

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyDim 25 Nov 2018 - 22:20

Début du lexique sur ideolexique.

http://bergheim.no-ip.biz/ideolexique/index.php/Cat%C3%A9gorie:Uazei_eig%C2%B7o
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 26 Nov 2018 - 17:52

bakou a écrit:
Début du lexique sur ideolexique.

http://bergheim.no-ip.biz/ideolexique/index.php/Cat%C3%A9gorie:Uazei_eig%C2%B7o

Beau travail. Je suis ravi de te voir participer ainsi. Wink

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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyLun 26 Nov 2018 - 18:20

Merci !
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMer 8 Mai 2019 - 9:40

Aurais-tu l'équivalent de "J'ai ... ans." en Uazei ?

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Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit)
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MessageSujet: Re: Uazei Eig·o   Uazei Eig·o EmptyMer 8 Mai 2019 - 15:29

Velonzio Noeudefée a écrit:
Aurais-tu l'équivalent de "J'ai ... ans." en Uazei ?

Oui j'ai, c'est un "Je suis âgé de d'années":

1) Itymog’nyzize akageāl'ko (imba). => si tu veux insister sur le fait que tu vas donner ton age (verbe en 1er).

2) akageāl'ko itymog’nyzize (imba). => Si tu veux insister sur l'âge.

3) Imba akageāl'ko itymog’nyzize / Imba itymog’nyzize akageāl'ko. => si tu veux insister sur toi et qui ai plutôt prit comme une grosse marque d'égocentrisme.


Petite correction et maniaquerie sur le sujet: Imba (je m') n'ai pas obligatoire dans un dialogue en face à face, il est utilisé dans le cadre des présentations comme "je m'appelle ... et j'ai ... ans" et il ai généralement omis par politesse quand le narrateur parle de lui-même.
Si c'est suite à question, le sujet sera plutôt "Imto" (je par rapport au sujet de ta question), l'ordre préférentiel de la phrase sera (2) Imto sera ou non omit sans verser dans l'impolitesse. L'ordre 3 ne sera pas employé, sauf par quelqu'un parlant peu la langue.

Le mot "akageāl'ko" signifie Année en terme d'unité de temps.
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