Une autre solution consisterait à faire les deux ou trois traductions en balance (côté russe, côté français, côté comme tu aimes) et, ensuite au regard et au seul regard de la langue cible le kotava (quitte à ne pas être seul) comparer ses traductions, voir leurs effets.
Une grille de paramètre pourrait peut être même être créée:
- aspect visuel
- aspect sonore: sonorité
- rythme
- lisibilité
- clarté/compréhension
En tant que lecteur, un texte plein de ruptures, qui me fait perdre le fil et que j'ai dû mal à suivre me paraitra moins bien écrit que celui pour lequel le sens coule mieux.
Sauf si la volonté est de créer un style littéraire ou particulier pour certaines raisons.
(Le français n'aime pas la répétition, pourtant les chansons, la poésie et les auteurs de la Pléiade qui lancèrent le français en abuse...)
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En collaboration : yazik ; en cours : llîua, diònith, (frenkvëss), (thialim) (((monurpilf)))
En pause : yadios, Epçune !, mihia, endietc, suedz, liosès
Aboutie : suok et lignée pré-mihia, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI)
langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
T'eiwi soirom : avanen ten csivdrañgoy èns seiwaca sistema -losi. (velangz)
Mon rêve est que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.