Il y a plusieurs façons de faire de l'a posteriori : celle que j'utilise, qui est déjà en soi assez spécifique, consiste à dériver une langue d'une autre au moyen de changements phonétiques, lexicaux, grammaticaux... comme si le temps s'était réellement écoulé.
Exemples : Le brithenig, le wenedyk et le Þrjótrunn sont des dérivés du latin vulgaire, ayant subis l'équivalent de 2000 ans de changements réguliers, comme des langues nat'. Certains de ces changements (phonétiques) sont expliqués.
Je laisse le soin à mes collègues de développer les autres significations d'a posteriori, qui m'intéressent moins.