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| Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks | |
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Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8431 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 15:54 | |
| J’ai encore fauté. J’ai encore touché à l’uropi. Mdr
Idée et résumé C’est un croisement maison de l’uropi et de l’elko, pour atténuer certains traits de chacun par l’autre. J’ai eu l’idée hier soir (mercredi 17/05/2023) en prenant ma douche. L’idée étant d’utiliser les racines CVC commune à l’elko et à l’uropi avec une grammaire simple en atténuant les traits idéo-européens/occidentaux de l’un et ceux de contraintes un peu mystiques de l’elko : chiffre 4, numérologie, runes, parfois aussi trop systématique etc., tout en restant simple et systématique. Il y a une 3ème composante, personnelle bien sûr qui est plus l’aspect personnel, créatif et maison.
I Phonologie et écriture
On utilise les 26 lettres de l’alphabet latin (à ma manière) avec :
- 5 voyelles a, e, i, o, u - 2 semi-consonnes : j, w - 19 consonnes : b c d f g h k l m n p q r s t v x y z
La plupart des lettres se prononcent comme leur équivalent api, précisons toutefois : - c se prononce comme en uropi, phonème /ʃ/ - q se prononce /ɣ/ - x se prononce /x/, comme le symbole api - y se prononce /ʒ/
Les variantes allophoniques pour e, o et r sont autorisées, soit respectivement : - [e], [ɛ] pour la lettre e - [o], [ɔ] pour la lettre o - [r], [ɾ] , [ɹ], voire [ʀ] et [ʁ] pour r, à distinguer toutefois h /h/,x [x] ou [χ], et q /ɣ/
Pour l’écriture, sauf en initiale ou finale, entre consonne et voyelle ou entre deux voyelles , on peut remplacer j par i et parfois u par w. Pour éviter de prononcer un i après ou avant voyelle en j, voire un u en w, on peututiliser le tréma sur la 2ème voyelle à prononcer distinctement comme en français : haïku. W en finale peut être prononcé comme un u bref.
Pas d’accent tonique préconisé.
II Racines
Les racines des mots de sens plein sont CVC de base (bib, bus, cus, dok, dor, dot, gal, hus, hel, kap, kat, kid, kun, lik, luc, man, mat, nox, pat, tab, tor, vaj, yiv : livre, bus, chaussure, docteur ou dock, porte, fille, poule, maison, ciel, chapeau, chat, vie, chien, lait, lumière, homme, mère, nuit, père, table, tour, chemin, vie), il n’est pas exclu qu’il puisse prendre une voyelle finale : kafe, menu, kina , yina : café, menu, cinéma, femme.
Du coup en comptant on est à (19+2)x5x(19+2)=105x21=2205 racines simples.
J’emprunterai en plus celles issues de l’uropi de type CgVC et CVjC avec g pour glide : j, w , qui signifie aussi semi consonne, comme kwal (cheval), parfois écrit kual.
Il peut aussi il y avoir l’une des 5 voyelles en finale sur les stricts syllabes CVC, ce qui peut permettre certains emprunts. Nous avons donc 2205x(6+3)=19845 possibilités.
En plus, il y aura ce que j’appelle les emprunts hyper spécifique et contextualisé comme gondol, guamol, gulac, gulag, hadok, hamak, hamam, harakiri, harem, harik, harisa, merkad, monet, telfon, telviz, yiunge qui seront comme de fausses combinaisons de syllabes (ce qui est aussi autorisé soit de manière très spécifique, soit de manière très internationale). Les noms propres, quand c’est possible sont empruntés directement : Berlin, Italia, Luxembur, Paris, Roma. Pour les autres mot, notamment mots outils : prépositions, pronoms préfixes, suffixes, etc. il est évident qu’ils pourront ne pas être tous au format CVC. Pour les pronoms et prépositions, la structure choisie sera bien souvent VC ou CV.
Du coup, j’ai ma liste de racine à créer, pour laquelle une partie est déjà faite.
III Nom
Le nom se repère de deux façons différentes - dans 3 cas introduit par un article : un : un ou de : le, la, les - dans un cas principal (mais aussi un secondaire par le pluriel)
Autant que possible on emploie un, il n’y aque lorsque ça parait trop difficile à prononcer que le n peut tomber et que l’on emploie que u, comme déterminant à la place de un.
Le pluriel quand c’est possible est noté par un -s, sinon, car trop dur à prononcer par un -e comme en uropi. Bibs/bibe, buse, doks, dore, dots, gals, huse, hels, kats, kuns, liks, luce, mans, mats, pats, tabs/tabe, tore, vaje(vaie), yins
Exemple singulier, pluriel avec article : Un dok, de dok, de doks, doks : un docteur, le docteur, les docteurs, des docteurs
Les mots de bases sont neutres. Quand le mot est neutre sans finale vocalique et si nécessaire de préciser en contexte, on pourra préciser ce qui est mâle par un suffixe en -o et ce qui est femelle par un suffixe en -a. (A quelques mots près comme frère, père, etc.)
Pas de déclinaison, pas de génitif.
Les mots peuvent se combiner à l’allemande. Si trop difficile à prononcer on pourra intercaler un -i- comme en uropi. Ainsi on dira luctor pour phare (et non lucitor comme en uropi).
Complément du nom introduit par i (devenant j devant u)
De bib i Paul / De Paulbib : le livre de Paul De yiv jun kid / De kidyiv : La vie d’un enfant De hus i mi devs / De devhus : la maison de mes parents / la maison parentale De cuse i mi sesa / De mi sesacuse : Les chaussures de ma soeur Kaps i yinas / i yinakaps : des chapeaux de femmes De liame jun yina / De yinaliame: Les amours d’une femme
Pronoms Pronoms personnels sujets, compléments et possessifs
Nom - Acc/dat - gén
Ij - me - mi Tu - te - ti Id - id - di (ca, yo,je) - (ca,yo,je) - (ci,yi,ji)
Nu - nu - ni Vu - vu - vi Lu - lu - li
Id est plutôt très impersonnel et pour les choses : il, on, ça ; ca et yo sont les pronoms genrés elle, il, tandis que je correspond à un pronom humain mais non genré (él, iel). Pas de pronom réfléchi, on utilise en complément le bon pronom qu’on peut renforcer par même : som.
Autres pronoms
Un : un, une Som : même (pronom de renforcement)
IV Verbe
Infinitif en -os : vokos, parler
Trois auxiliaires, simplifications de verbes de sens plein : avos (auxiliaire avoir, tiré de havos : avoir, posséder), sos (auxiliaire être, tiré de (à définir) : exister), vidos (auxiliaire du passif : devenir)
Participe présent -an : vokan, parlant Participe passé -et : voket, parlé
Impératif : Vok ! Parle ! (Parlons ! Parlez !)
Conjugaison Conjugaisons simples
Présent : Ij, Tu, Id (ca, yo), Nu, Vu, Lu vok : je parle, tu parles, él (elle, il) parle, etc.
Passé : Ij, Tu, Id (ca, yo), Nu, Vu, Lu voki : je parlais/parlai, tu parlais/parlas, él (elle, il) parlait/parla, etc.
Conditionnel : Ij, Tu, Id (ca, yo), Nu, Vu, Lu voku : je/tu parlerais, etc.
Conjugaisons composées
Futur : en : ve+infinitif, soit ve+os Ij ve vokos : je parlerai
Aspect achevé :
Parfait en : auxiliaire avoir+participe passé, soit avos+et Tu av voket
Plus que parfait, idem avec auxiliaire avoir au passé Id avi voket
Conditionnel passé, idem avec auxiliaire avoir au conditionnel Nu avu voket
Aspect duratif : Auxiliaire être + participe présent, soit être+an A tous les temps, avec l’auxiliaire sos au au temps requis
Ij se vokan. Je suis en train de parler. Tu si vokan. Tu étais en train de parler. Id ve sos vokan. Él sera en train de parler. Nu ne su vokan. Nous ne serions pas en train de parler.
Comme en uropi, voire aussi en elko : - une seule forme verbale quelque soit la personne - seulement l’auxiliaire avoir pour indiquer l’aspect achevé
Passif
Utilisation du verbe devenir (vidos) comme auxiliaire+participe passé : vidos+et
Présent : Ij vid wamet. Je suis mangé Passé : Tu vidi wamet. Tu étais/fus mangé Futur : Id ve vidos wamet. Él sera mangé. Conditionnel : Nu vidu wamet. Nous serions mangés. Parfait : Vu av videt wamet. Vous avez été mangés. Plus que parfait : Lu avi videt wamet. Ils avaient été mangés. Forme durative : Ij se vidan wamet. Je suis en train d’être mangé.
De mus vid wamet de kat.
Pas de préposition pour introduire le complément d’agent, la construction verbale passive suffit.
***
Le reste viendra par la suite. C'est prêt, mais non encore mis en forme. _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit) Je rêve que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.
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| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 17:42 | |
| Aha ! J'vais dev'nir jaloux : jamais le nabzan n'eut connu un tel développement en si peu de temps. Bon, main'nant, le nabzan est une langue tellement morte qu'elle ne fiugure même plus dans la liste de ta signature. L'aneuvien (tout comme son créateur, d'ailleurs) est condamné à ne pas avoir de descendance. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
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| | | Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8431 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 18:44 | |
| *** Au moins j'ai essayé avec le nabzan, mais je ne pense pas avoir le profil pour. Néanmoins comme d'autre j'ai emprunté des mots à l'aneuvien ou même, je me suis inspiré du pseudo Anoev en ∂atyit : anev siginfie frère ou soeur de manière non genrée. Après là, c'ets même pas une langue fille, c'est un essai, quie st quasi du copié-collé. DoPa n'a pas à s'en faire je en défendrai pas le Jupi comme LAI, on sait par trop d'où il vient. *** V DéterminantsArticles : - un (u) : un (indéfini) - de : le, la, les (défini) Démonstratifs : di : ce …-ci, cette …-ci, ces …-ci da : ce …-là, cette …-là, ces …-là + (pronom) di : ceci da : cela + (pronom) diz : celui, celle-ci daz : celui, celle-là + (pronom) dis : ceux, celles-ci das : ceux, celles-là Voici, voilà : zis zasIndéfinis : - ek : quelque(s), certain(s) - yek : n’importe quel - jaki : chaque - mol : beaucoup de - ne : pas de - nun : aucun - peu, pew : (tous) les deux, la paire - poj : peu de - sat : assez de - tal : tout, tous, toute(s) - vari : plusieurs Notons le composé de mol, kamol : combien, VI L’adjectifL’adjectif est invariable, il ne s’accorde pas avec le nom. L’adjectif épithète se place toujours avant le nom. De bun kat : le bon chat. L’adjectif dérivé L’adjectif que j’appelle d’état qui correspond assez souvent à avec : salé, montagneux, routière, vrai Il peut se former à partir de tout nom en le dérivant en -is ou -s. Si l’adjectif est utilisé pour montrer un aspect achevé, fini prioritairement, alors il faudra employer le participe passé en -et, comme adjectif et non celui d’état. De même si l’adjectif insiste plus sur un aspect actif que de propriété intrinsèque, il faudra employer le participe présent en -an, comme adjectif. Degrés de comparaisonComparatifLe comparatif ne se fera ni comme en uropi, ni comme en elko, mais comme dans mes langues ou on suffixe à la fin du mot une voyelle supplémentaire la suivante dans la liste a e i u o pour la supériorité et la précédente pour celui d’infériorité. Bun : bon -> buno : meilleur (que) ; buna : moins bon (que) SuperlatifIl se fait de manière très proche aux comparatif, mais au lieu d’être la voyelle qui succède immédiatement, c’est encore celle d’après qui est choisie pour la supériorité ou celle d’avant pour l’infériorité, de plus il est introduit par l’article. Bun : bon -> de buna : la, le, les meilleur(e)(s) ; de bune : la, le, les pire(s) Pour des expressions comme : - de moins en moins - de plus en plus On double la voyelle du comparatif : - de mieux en mieux : bunaa - de pire en pire : bunee Quelques exemples :Bas : bas, basse (musique) => plus bas, plus basse : base ; moins bas : basoBebe : bébé => plus bébé : bebe:i moins bébé : bebe:aBel : bel, beau => belle plus beau, plus belle : beli, moins beau : belaBey : beige => plus beige : beyi, moins beige : beyaBij : blanc => plus blanc : biju, moins blanc : bijeCaj : chaud => plus chaud : caje, moins chaud : cajoCevi : capital, principal, essentiel => plus capital, essentiel, principal : cevi:u, moins capital, essentiel, principal : cevi:eCik : chic => plus chic : ciku, moins chic : cikeLa plus belle, le plus beau : de beluLa plus beige, le plus beige : de beyuLa plus blanche, le plus blanc : de bijoLa moins chaude, le moins chaud : de cajuLa moins principale, le plus principal : de cevi:aLa moins chic, le moins chic : de cika _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
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| | | Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 18:58 | |
| - Velonzio Noeudefée a écrit:
- Comparatif
Le comparatif ne se fera ni comme en uropi, ni comme en elko, mais comme dans mes langues ou on suffixe à la fin du mot une voyelle supplémentaire la suivante dans la liste a e i u o pour la supériorité et la précédente pour celui d’infériorité. Bun : bon -> buno : meilleur (que) ; buna : moins bon (que)
Superlatif
Il se fait de manière très proche aux comparatif, mais au lieu d’être la voyelle qui succède immédiatement, c’est encore celle d’après qui est choisie pour la supériorité ou celle d’avant pour l’infériorité, de plus il est introduit par l’article. Bun : bon -> de buna : la, le, les meilleur(e)(s) ; de bune : la, le, les pire(s). Y a un truc qui m'étonne un brin. Comment la même voyelle (ici -A) puisse servir à la fois pour le comparatif d'infériorité et le superlatif de supériorité ? Comment expliques-tu ce principe ? Personnellement (mais c'est toi qui décides, 'videmment), j'm'y serais pris de la manière suivante : moins bon | bune | le moins bon | de bunet | aussi bon | buna | | | meilleur | buno | le meilleur, très bon | de bunot |
corrigible et modifiable à l'envi. _________________ - Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.
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| | | PatrikGC
Messages : 6732 Date d'inscription : 28/02/2010 Localisation : France - Nord
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 21:03 | |
| Pas mal du tout, félicitations. - Pour le pluriel, tu aurais pu couper la poire en 2 avec -es : dok / dokes
- Quelque part, tu recycles le -i de l'adjectif dans le génitif.
- Les finales -o et -a sont des grands classiques, pourquoi s'en priver !
- Les participes en -an et -et, j'aime bcp.
- Conjugaison en voc / voci / vocu, pourquoi pas, c'est simple et efficace.
- Donc le duratif et le parfait sont composés.
- Comment distinguer un adjectif d'un nom ? Ça signifie donc que certaines racines sont nominales et d'autres pas.
- Pour les comparatifs, tu marches sur le pied des genres (-o -a), il y a un risque de confusion. Et utiliser le -a comme dépréciatif, c'est tendre le cou pour se le faire couper :-D
- "Bona" laisserait à penser que c'est un féminin et non "moins bon".
- "Doka" pet laisser à penser que c'est "moins savant", plutôt que "doctoresse".
- On sent bien l'uropi dans cette langue, un peu moins l'elko.
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| | | Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8431 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mar 27 Juin 2023 - 22:39 | |
| Il vient de me manger mon inter.
Merci. Juste pour rappel : - le pluriel pas besoin d'aller aussi loin, puisque moins et plus simple peut suffire - pas de génitif, - le i intercalaire en composition ou is final d'adjectif est très rare - pas de distinction de racine adjectivale ou substantive, l'emploi les diffère : --- nom avec déterminant et pluriel --- adjectif invariable, avant le nom. Donc entre le nom et le déterminant - le genre est très rare. Il existe de nombreuses racines neutres en -a ou -o - comparatif et superlatif : le -a n'est pas dépréciatif, c'est la dernière voyelle de la racine qui conditionne par son rang dans la série a e i u o, les autres voyelles ajoutées adjectif : - en -u- : bun : bon (e i u o a) = bune, buni, buno, buna : le pire, moins bon, plus bon, mieux/meilleur - en -o- : zor grand (i u o a e) = zori, zoru, zora, zore: le moins grand, moins grand que, plus grand que, le plus grand _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
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| | | Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8431 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
| Sujet: Re: Le jupi : "De jupi", kiet un vik intra de Polks Mer 28 Juin 2023 - 17:31 | |
| VII L’adverbe
Certains adverbes peuvent se former régulièremente en -m ou -im à partir de l’adjectif. Exemple : bellement : belim, chaudement : cajim, principalement, essentiellement : cevim, de manière chic : cikim
Adverbes de mouvement
Ils indiquent la direction du mouvement exprimé par le verbe.
Ap* : séparation, eloignement ; vekos ap : partir, nemos ap : enlever, pajos ap : régler (finir de régler) Contrairement à l’uropi en peut aussi les présenter sous forme de préfixe, pour les infinitifs : apvekos, apnemos, appajos, mais les préfixes restent séparables et sont utilisés comme particules postérieures lors de la conjugaison.
In* : mouvement vers l’intérieur ; invenos, invekos : entrer, inrenos : entrer en courant Apba* : mouvement vers le bas ; apbakotos : abattre (arbre), apbarenos : descendre (en courant), apbasedos : s’asseoir Op* : mouvement vers le haut ; opvekos : monter Paz* : passage devant ; pazvekos ; passer (devant), pazvados (passer, en marchant) Pro* : mouvement vers l’avant, continuité ; provados : avancer Rik : mouvement vers l’arrière, retour ; rikvenos : revenir, rikvekos : retourner, revenir, faire demi tour, rikdavos : rendre, rikpajos : rembourser Tro* : passage à travers que ce soit en surface ou dans un volume ; trovekos : traverser, trofaros : traverser (en voiture) Oz* : mouvement vers l’extérieur, sortir ; ozvekos : sortir, ozperos : sortir (en portant quelque chose), oznemos : sortir (en prenant quelque chose)
Ces adverbes servent aussi de préfixes. Ceux marqués avec un astérisque* servent aussi de préposition.
IX Interrogatifs & Subordonnants
A deux exceptions près, ce sont les mêmes.
Ked : interrogatif générique de ked : question Ka : que, quoi, quel, ce que Kamol : combien Kwan : quand Ki : qui (sujet) Ke : qui (complément), que Ake : à qui Subordonnant Kia : dont (inversion et déformation de ake) Kel : laquelle, lequel, les quels, lesquelles Kim : comment Subordonnant Kati : comme Kwo : où Poko : pourquoi
Contrairement à l’uropi et comme en elko, il faut forcément un interrogatif générique donc ked, pour poser une question, avec inversion entre l’interrogatif et le sujet qui du coup est déplacé après le verbe : interrogatif+verbe+sujet.
X Prépositions
1) Lieu a) Dynamique A : à ; Yo vad a col, ca far a Paris. : Il va à l’école, elle roule vers/va à Paris (en voiture). Do : vers, De viel jef do mos. : L’avion vole vers le nord. Apba : de (vers le bas), De kat mis apba de vis. : Le chat saute en bas de l’arbre. Od : de (provenance), Lu ven od wer. : Ils viennent de loin. Op : à (vers le haut), De kat cim op de vis. : Le chat grimpe à l’arbre.
b) Statique Be : à, dans, chez Je jem be col. : Él est à l’école. Simon mar be de bushoria. : Simon se tient à l’arrêt de bus. Ij dom be mi tiot. : J’habite chez mon oncle.
2) Mixtes lieu , temps, autres
Lon : le long de, Nu pazvadi lon de riv. : Nous nous promenâmes le long de la rive. Ap : de (séparation), De kat fali ap de tag. : Le chat tomba du toit. Ca dom 15 km ap Lyon. : Elle habite à 15 km de Lyon. Ron : autour de, De kids ren ron de hus. : Les enfants courent autour de la maison. Mid : au milieu de, De vokor mar mid de kios. : l’orateur se tenait au milieu de la foule. Apba : en bas de, De low si yafan apba de vis. : Le loup attendait au pied de l’arbre. Op : en haut de, Ij vizi ca op de cawia (/cauja). : Je la vis en haut de l’escalier. Beron : aux environ de, environ ; Id doy maros beron Paris. : Cela doit être aux environs de Paris. Rik : derrière, Sol vidi celet rik de nows., prononciation, variante : (nous)/nowe : Le soleil était caché derrière les nuages. Zat : à côté de, Ni hus mar zat de ponia. : Notre maison est à côté de la poste. Werod : loin de, Werod zojs, werod yak. (ou zoje) : Loin des yeux, loin du cœur. In : en, dans, Ca vadi in de sal. : Elle entra dans la salle. Suzana mari in de giad. : Susanne était dans le jardin. Vra : entre, Vra ni hus e de mer, id mar u pinbomo. : Entre notre maison et la mer, il y a une forêt de pin. Ner : près de, Ye vidi sedet ner de fojd. : Il était assis près du feu. Paz : devant (passage), De vag pazi me ane horos. : La voiture passa devant moi sans s’arrêter. Pro : devant, en avant ; De kun reni bawan pro de bobit. : Le chien courut en aboyant devant le petit garçon. Su : sur, Id mar u demi su de tag. : Il y a une cheminée sur le toit Dewe : au-dessus de, De laq dewe de tab. : la lampe au-dessus de la table Tis : jusqu’à, Ij ve yetos tis de rut. : Je vais conduire jusqu’à la route. Tro : à travers, par ; Lu veni tro pose. : Ils arrivèrent par les champs. De fiur jef us tro de biev. : Le papillon sortit par la fenêtre. Tromid : parmi, (De mar u bela tromid de belas.) Ude : sous , De kat se vidan leyos ude de sel. : Le chat est couché sous la chaise. Us : hors de, Ye veni us de hus. : Il sortit de la maison. Uve : par-dessus, Ca cesi de bala uve de mur. : Elle jeta la balle par-dessus le mur[/i][/i] _________________ En collaboration : yazik ; en pause : dudyi, ∂atyit En pause : ditaiska köojame, llîua, diònith, frenkvëss, thialim, (monurpilf), yadios, Epçune !, endietc Aboutie : suok et lignée pré-mihia-thialim, thianshi, diarrza, uosmigjar (essai : ortogrévsinte, sinywila, SESI, KISSI) langues parlées: allemand - italien - elko - baragouin de globish
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