Ceux mots vraiment très proches, traduisant "musicienne", ce sont les
PLT : musikora (bien prononcer le S comme en castillan : [s])*
URO : muzikora.
également ressemblants au nominatif (uropi, le psolat n'a pas (encore ?) de déclinaisons). Le génitif uropi fait muzikorus.
Dans les deux langues, on a également musikor/muzikor.
Mais, en psolat, le mot est neutre, son pronom personnel est il et le pluriel fait musikori. Le masculin correspondant est musikoro (plur. : musikoros) et le pronom personnel est ilo.
En uropi, le nom est masculin et son pronom personnel est he. Le pluriel est muzikore.
*Double influence, donc ; espagnole, mais aussi aneuvienne, puisque dans la diégèse, le psolat aurait été inventé par un Aneuvien qui, en voyage au Pérou, aurait connu une Croate (yougoslave à l'époque), et de cette rencontre serait née l'envie de créer une langue à racine latine, à orthographe plus ou moins slave et si cette langue comporte des mots aneuviens, ce sont uniquement des mots d'origine 100% pays à langue issue du latin. Plus tard, Keaṅder Vadora y mettra sa sauce, à titre expérimental.
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- Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.