L'écriture que j'ai entièrement (du moins, je crois), c'est l'akrig. Je m'en sers presque jamais directement, sauf pour des images de ce style (m... j'sais plus c'que j'ai fait d'mon image de menhir photoshopisé !), sinon, indirectement, il me sert à créer des mots comme agúftyn (dilatation).
J'ai trois autres alphabets, dont je me sers plus ou moins de la même manière, mais ce sont des adaptations d'alphabets créés par d'autres idéolinguistes :
l'arkitanco, issu de l'arkitco (Djino)
l'adnébou, issu du nebou (Ziecken).
Le troisième (vadora) est l'extrapolation d'un alphabet, le thub (ne sert que pour la diégèse pandaise) et qui est, comme lui la combinaison d'alphabets latin, grec et cyrilliques dont certaines lettres sont utilisées à contremploi. le mot lhyp (mythe) a été obtenu par l'intermédiaire du vadora.
Toutefois, celui-ci peut servir d'alternative (mais est quand même rarement employé, car plus compliqué à éditer) à l'alphabet "conventionel" pour l'écriture du psolat et de l'aneuvien. Il sert pour la "latinisation" du ptahx et de l'akrig (cette fois-ci, il s'agit de langues mortes (diégèse) jamais élaborées (réalité), de peuples vivant respectivement au sud et à l'ouest de l'Aneuf).
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- Pœr æse qua stane:
Pour ceux qui restent.