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Continent-Monde d'une réalité alternative, Elvërebis désigne historiquement le lieu de débarquement des premiers hommes sur le continent de l'Ouest (ou de l'est, dans les textes anciens, puisqu'ils arrivèrent de l'ouest). On se perd en conjecture sur l'origine du nom, on propose cependant souvent deux explications radicalement opposées :
-Elvërebis, du Petit Elvereb-, inexistant, et -Is, lieu. Soit littéralement, Utopie, ce qui correspond à la réalité de naissance du mot, selon les textes.
-Elvërebis, du Kouril Elvere-, mauvais, mais aussi jamais, et -bis, deux, à nouveau. Soit littéralement, Dystopie, ce qui correspond à la réalité actuelle du monde.
Par extention, le nom désigne désormais l'ensemble du continent, des Marches de glaces, au sud, jusqu'aux glaciers d'Ejsis au nord. Le monde connu, Dir Schaflando se résume par ailleurs à ce dit-continent. Il en existe cependant un autre, ainsi que nombres d'archipels importants, mais restés des aksoland'e, terra incognita.
les trois entités principales de l'Heptarchie sont :
Die Likioe – Les Ligues marchandes
Regroupement fédéral de sept provinces autonomes économiquement – les ligues –, cette première entité est de loin la plus despotique et la plus importante. C'est sur le site de sa capitale, Mona-Pour, que débarquèrent les premiers hommes en Elvërebis. Après un siècle de démocratie première, le 15 ëubstidor survient le coup d'état en la Ville. Celui-ci porte Sëurn au pouvoir, premier roi sur les terres de l'Ouest. C'est 51 ans plus tard, à la suite de la révocation de Sëurn que les Ligues se mettent en place. C'est un gouvernement républicain, où l'argent est maître ouvertement. Le pouvoir est détenu par l'assemblée des Gründ-Festros, étant admis en l'assemblée les grandes fortunes payant deux terniks stables. C'est-à-dire payant l'impôt doublement, depuis suffisamment d'années (généralement trois) pour être considéré comme stable payeur. La langue des Ligues est la anklajo, mais la langue principale (parlé par 65 % de la population) est le sprakan. Cette langue est par ailleurs interdite depuis un demi-millénaire.
La devise des Ligues est : « Bjg agejn di totalitarjanism », « Grande contre le totalitarisme »
(où l'on remarquera, concernant la Anklajo, que...)
Note : Est considéré dans le lot du totalitarisme, l'idée d'une langue de communication inter-peuple (la interpopola, l'espéranto d'elverëbis), l'idée d'une langue du peuple autre que celle des élites, au nom de « la cohésion sociale »...
La fête nationale est l'anniversaire du renversement de Sëurn, le 12 Brumör 183 D.M, soit le 4 novembre 24 ap. J.C.
Les sept ligues (initialement, il y en eu 4 puis 12, et enfin 7) :
-Likio im dir Ëujna / Lig in di jland
-Likio dar Sëjd-Skaala / süd-skala'z lig
-Likio dar Jëliko Nëurd' / nordbotom'z lig
-Ska'lik' Likio / skalik lig
-Likio dar Staad' / Lig in di Sitj
-Likio dar Gabelnik'e estr'e/ Lig in di dizert'
-Likio dar Elkanie* / elkanik lig
Dans cette partie du continent, on compte selon la Datation Monapourienne (D.M), qui débuta le 21 décembre 159 av. J.C.
Dir Ska'lik' Röjsch' – L'Empire skalien
Ce vaste empire couvrant le continent d'Est en Ouest, ou presque, est une ancienne colonie des Ligues. En 213 ap. J.C, soit en 372 D.M, l'Empire, initialement démocratie skalienne fait sécession, profitant du désordre serpal (voir après). Et s'engage dans la seconde guerre skalienne aux côtés des dits-serpals. La guerre s'achève 28 ans plus tard, en 400 D.M. La démocratie skalienne est reconnue et débute la Datation Skalienne, le 18 décembre 241, aligné ultérieurement sur la Datation Monapourienne, dans la quelle l'année débute le 21 décembre. 42 années plus tard, l'Empire est proclamé, les droits héréditaires sont rétabli sur les duché de Vestfalie, d'Orsovie (devenue depuis principauté) et d'Anëuvrie*. Le Conseil suprême devient le seul organe légale dans l'Empire. Il est constitué des délégations des quatre guildes que sont :
-la guilde noble (50 sièges, 1 voix/siège)
-la guilde marchande (25 sièges, 1voix/siège)
-la guilde populaire (75 sièges, 1voix/siège)
-la guilde religieuse (34 sièges, 100 voix générales)
Chaque guilde présente un candidat à chaque extinction de la lignée impériale, puis l'on procède au vote les différentes ères et dynasties de l'Empire sont :
-Dynastie Kirdh' 42-103 D.S (la famille Kirdh' était alors famille ducale d'Anëuvrie)
-Dynastie Vajuk' 103-123 D.S (la famille Vajuk' était alors famille ducale d'Orsovie.)
-123-126 D.S : vacation du pouvoir, instabilité en l'Empire.
-Dynastie Kiah 126-1603 D.S (première dynastie d'origine religieuse, la plus stable, mais la moins légitime, la légende dit qu'elle faisait débat au sein même de sa guilde, et qu'elle fut ''élue'' à 13 voix contre 184)
-Dynastie des Hjuk' 1603 D.S - à nos jours (dynastie d'origine populaire, elle tenta en vain une révolution en 1673 D.S, mais échoua et fut défaite de son droit à veto)
L'Empereur possède donc droit à veto sur les décisions de l'hémicycle, il organise la justice et possède droit de grâce. Il est seul face à la décision de la guerre et ne rend de compte qu'à la guilde religieuse.
La langue est la anklajo, bien qu'encore une fois, le Sprakan soit largement majoritaire.
La devise de l'Empire est « Oin vif God » Un [unique] avec Dieu.
La religion officielle est le triisme réformé. Le triisme est fondé sur les textes des premiers historiens d'Elvërebis, il reconnaît trois dieux détruits dont resterait quelques traces dans le monde. Le triisme réformé déclare cette conception hérétique et considère un dieu unique bien vivant. De nombreux troubles religieux ont ébranlés l'Empire de par l'histoire. Les deux principaux, les mouvements dissident (pacifiste) et résistant (armée) on été investi par deux historiens ayant eu connaissance des textes originels, rédigé en kouril et en sprakan archaïque.
La fête nationale est l'anniversaire du reversement de la démocratie, le 21 Këurmisal 32 D.S.
Le calendrier en datation skalienne commença en 241 ap. J.C
Die Serpjik' Rejkoe – Les Royaumes serpiques
Les Serpals sont la dernière vague d'immigration intercontinentale. Ils vinrent de l'ouest et débarquèrent sur l'actuel site de Serpalis (signifiant, littéralement, la ville serpal) où ils battirent la dite ville. Ils se constituèrent en 3 puis 4 royaumes internes, la Kirdhie, la Kotavie*, le royaume urbain (de la capitale) puis, plus tard le royaume colonial du désert.
On définira deux termes :
Serpal : créature humanoïde de petite taille (n’excédant que rarement le mètre 35) à tête de ''serpent'', en réalité, plus largement développée qu'un tête humaine, couverte d'écailles vertes et à la dentition fine et longue. L'ensemble de ses créatures forme le peuple serpal, de culture serpale et de langue serpale.
Serpique : humain installé en royaumes serpals, parlant le serpal et de culture serpale. Par la suite, devenus majoritaire, puis seuls constituants de la population, la langue évolua et s’éloignât du serpal, notamment sur la prononciation, l'humain étant incapable de reproduire avec exactitude les sons de la dite langue. On parle d'abord de nouveau-serpal, puis de serpal décadent, avant de désigner cette langue sous le nom de serpique. Depuis lors, sur les cartes, se qui se rapporte aux royaumes serpals (devenus serpiques), se désigne sous l'adjectif de serpique. On parle ainsi de mer serpique, et des détroits serpiques.
Après avoir fondé Serpalis sur des terres monapourienne, les serpals, sous les ordres du Salama (roi suprême, ayant légitimité sur les quatre royaumes), étendirent progressivement leurs frontières, en totale méconnaissance des Ligues. Quand celles-ci se rendirent compte de cela, elle envoyèrent la garde, retirant la présence armée des colonies. C'est à cette occasion que l'Empire fit sécession, investissant le désordre serpal qui durât tant et si bien qu'il dégénéra en guerre ouverte. 37 ans après le débarquement serpal, les royaumes furent reconnus et intégrés au commerce local. Par la suite, les serpals furent à l'origine de la troisième guerre skalienne à la suite de la quelle l’espèce frôla l’extinction et déserta ses royaumes, se réfugiant dans la Jungle des avaleurs. La légende dit que leurs descendants, sauvages et dégénérés la hantent encore.
A la fin de cette guerre, les serpiques, essentiellement des marchands, s'emparèrent des royaumes.
La langue des Royaumes est le Serpique.
Sa devise est en serpal : « Salama, el Gote » « Salama, par les dieux investi »
La liberté de culte est reconnue par les accords d'Astie, mais peu appliquée.
La fête nationale est l'anniversaire de la fondation de Serpalis, le 2 Vajnör. Historiquement, c'était aussi le nouvel an serpique, mais celui-ci à été aligné sur ceux des calendriers en D.M et en D.S, le 21 Décembre de notre datation.
En datation serpale, on compte ante et post Serpalis (a/p-S). Le calendrier commença en 204 av. J.C
Une carte est (peut-être) à venir, si j'arrive à la mettre sur le post...)
*L'Elkanie n'a aucun rapport avec l'Elko, plutôt avec Elko...
Pour l'Anëuvrie, je suis plus embêté, je ne sais pas trop d'où ça vient, et c'est plutôt (voir beaucoup!) proche de l'Aneuf !
(plus tard) Au regard de certaines anciennes versions de ma carte, j'ai peut-être un semblant de réponse, il s'agirait d'une déformation de la ville d’Hanovre qui avait donné son nom au duché, ouf !
La kotavie est elle tout à fait inspiré du kotava.