Je corrige impitoyablement tout ce qui s'y rapporte
8%
[ 2 ]
Je fuis tout ce qui se rapporte à ma L1
0%
[ 0 ]
Je ne m'en préoccupe pas
38%
[ 10 ]
J'aime retrouver des formes familières
8%
[ 2 ]
Je ne suis attiré que par l'exotisme linguistique
27%
[ 7 ]
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Velonzio Noeudefée Référent Actualités
Messages : 8431 Date d'inscription : 14/02/2015 Localisation : Rhône-Alpes
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 15 Juin 2021 - 8:54
avoir beau est un micro détail, toujours traduisible par faire au maximum, s'efforcer (à tout crin-cran (?)/prix, etc.), etc.
Je pense que la relex se voit autrement, soit : - trop de point commun - construction strictement similaire
Naturellement certaines langues sont très proches, le français et l'italien, puisque j'ai appris l'italien après l'allemand, m'ont paru strictement similaire dans leur construction de la phrase (rien à voir avec l'allemand) et je en parle que de langues IE, mais ni l'italien, ni le français ne paraissent pourtant une relex l'une de l'autre ou trop similaire.
Les mots peuvent parfois différer le traitement du genre, des finales et du pluriel y est singulièrement différent. Les conjugaisons bien que très proches, diffèrent beaucoup par la prononciation. Donc effectivement la prononciation est très différente. Sans compter l'accent ou le débit de parole.
L'aneuvien a ses qualités et défauts , mais ce n'est pas du français.
Niluusu kivanu ki-so∂em-korondo-s-uvi gu koyoodnißju. (dudyi) / Midevim iſeet dotſe iJebiriotoẏot éß umowonêyû. (∂atyit) Je rêve que les humains deviennent les jardiniers de la vie dans le système solaire.
Dernière édition par Velonzio Noeudefée le Mar 15 Juin 2021 - 12:14, édité 2 fois
Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 15 Juin 2021 - 9:12
Si j'ai des risques de relex, ils sont plus lexicaux que grammaticaux. Pour ce dernier point, je pense avoir pris des précautions et fait des efforts. Par exemple, j'ai dû l'dire j'sais plus où, mais l'usage du subjonctif n'est plus systématique en aneuvien derrière un superlatif comme c'est le cas en français.
Æt • àt vadert toar qua cem bynòψa = C'est la plus haute tour qui ait été construite. Æt • àt vadert toar quas ar bynopésa = C'est la plus haute tour qu'ils aient construite.
Dans le deuxième exemple, l'aneuvien garde le subjonctif, car il y a une subjectivité apportée par le pronom ar.
D'ailleurs, au passé antérieur (prétérit° en aneuvien) et au subjonctif pqp, ça donne :
Æt • àt vadert toar qua cem bynòψă = C'est la plus haute tour qui eût été construite (là aussi, changement de mode en aneuvien)*. Æt • àt vadert toar quas ar ere bynopésa = C'est la plus haute tour qu'ils eussent construite (mais pas là).
*La différence avec la première phrase, c'est que là, la tour a été détruite entre temps. °En fait, il y a un véritable passé antérieur en aneuvien, équivalent aussi du preterito anterior castillan, mais qui ne se conjugue pas du tout avec un participe : on met ere (particule utilisée par ailleurs pour l'imparfait) avec le verbe au prétérit : eg bynòpes = je construis eg ere bynòpes = je construisais eg bynòψă = je construisis eg bynòψa = j'ai construit eg ere bynòψa = j'avais construit eg ere bynòψă = j'eus construit. Comme en français, c'est un pur produit de la concordance des temps. Utilisable sans lien avec le présent, contrairement au parfait.
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Hyeronimus Modérateur
Messages : 1546 Date d'inscription : 14/07/2017
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 15 Juin 2021 - 11:01
je viens d'y penser, comme je l'ai ajouté récemment: avec "caisse de résonnance" j'ai fait une relex du Français: yarra jeria’re c'est la même chose mot à mot. Je pense que c'est un de ces cas où on ne doit pas se priver d'une solution logique pour éviter à tout prix la relex
_________________ Xed-tœ maklecren ya ùpatikaren. Xed-tœ cna ùa'kan'za' ajramia Il y a des problèmes et des solutions. Il y aussi les fleurs des champs.
Anoev Modérateur
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Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 15 Juin 2021 - 11:57
Pour certains mots, comme les noms scientifiques, par exemple, on ne peut guère y échapper. Du moins, les relex depuis le latin ou le grec de laboratoire* sont pas facilement contournables ! même avec la meilleure volonté du monde. Mais sont-ce encore des relex, dans la mesure ou pas mal de langues font pareil ?
*Pour l'ozone, j'm'en suis sorti avec oxiter, pris de oxizhen (là, pas l'moyen d'faire autrement) et tern, parce qu'y a trois atomes d'icelui dans ladite molécule. Mais pour d'autres, j'ai pas eu autant d'initiative ! j'ai repris tels quels kùprig, jànig, kùpron et jànon, pour "cuivrique, ferrique, cuivreux" et "ferreux", avec les suffixes dont j'dispose.
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Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 16 Aoû 2022 - 0:18
Tiens, un verbe aneuvien qui aurait pu passer pour une relex de sa traduction française si on n'y regarde pas d'un peu plus près, c'est user pour... "user" (2).
Toutefois, j'ai un autre verbe pour "user", mais au sens 1 (utiliser, c'est ce qu'il signifie aussi), à savoir usen, pris de la même racine latine.
Alors, pourquoi donc j'me suis limité à prendre le verbe français, sans aucune modif ?
Sans aucune modif par rapport au français, soit, mais si on prend le n final de usen et qu'on l'use abondamment, eh ben à force, il ne tarde pas à devenir un r, non ? C'est sans doute une des raison pour lesquelles j'ai choisi un verbe en -en pour le premier, alors que pas mal de verbes de sa catégorie sont plutôt en -es. Mais en rabotant un s, on risque bien de ne plus ramasser grand chose, non ?
Ces deux verbes aneuviens sont de la même conjugaison, à savoir celle des verbes en -é_a, mais il ne se conjuguent pas EXACTEMENT de la même manière, même s'ils ont beaucoup de points communs. Y a UNE différence, et UNE SEULE : c'est le participe. Comme dit le tableau en lien, ça vient qu'un des deux verbes se termine en -en et pas l'autre, du coup, usen donne usun (au lieu de usnun, pas vraiment euphonique), par contre, le -R- de l'autre est conservé, parce qu'il fait toute la différence, même si, pour l'euphonie aussi, on pourrait aussi trouver à r'dire : /'uçχun/*.
*À r'marquer quand même qu'ici, le us- se prononce bien [us] et non [ys] et ce pour une raison bien simple, lisible en plus : y a pas d'accent ni de voyelle longue (accentuée) placé ailleurs dans l'mot, donc us- n'est pas un préfixe issu de ùs (hors) mais bien le radical du verbe, donc accentué normalement. Une relex ? l'aneuvien ? Allleeez !
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PatrikGC
Messages : 6732 Date d'inscription : 28/02/2010 Localisation : France - Nord
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Mar 16 Aoû 2022 - 11:57
En général, pour mes racines, je descends jusqu'au concept de base, faisant abstraction des langues que je connais, ce qui m'évite de trop "singer" un idiome existant. Parfois, je suis gêné par le français quand je dois exprimer qqchose de particulier, car cette langue (et d'autres) m'oblige à passer par une périphrase.
Je fais ça (racine/concept) depuis des lustres, et bien que j'ai dépassé les 50 ans, je ne pense pas tomber dans ce travers.
Anoev Modérateur
Messages : 37610 Date d'inscription : 16/10/2008 Localisation : Île-de-France
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Lun 9 Jan 2023 - 22:32
Bon... ben dans l'état actuel des choses, rymab (avoir beau) précède encore le participe.
Sinon, pour répondre à Velonzio, y peut y avoir des cas où la traduction aneuvienne est du mot-à-mot, car les syntaxes aneuvienne et française sont du type SVO (voire SVC), mais elles ne sont pas identiques pour autant ; déjà rien que pour les pronoms personnels compléments, mais ça, j'en ai d'jà causé. Une autre différence aussi : la place des adjectifs, mais là, on pourrait dire que je calque sur l'anglais... sauf qu'en aneuvien, les adjectifs s'accordent en nombre (dans tous les cas, main'nant). Mais y a aussi le causatif. Je vais reprendre ma phrase favorite qui le différencie du factitif :
Avant, il lui faisait porter des fleurs, maintenant, il lui fait porter les valises ; ça donne :
Itaṅt, da ere dor fær ùr gòlase ni kas ; vymòt, da dor kas færun àr mease.
Ceux qui connaissent la phrase auront déjà deviné les différences de syntaxe. Sinon, on voit, dans chacune des propositions, que si ka (elle) est fléchi de manière identique (kas), ce pronom n'est pas à la même place. De même, fær (porter) n'est pas au même mode en aneuvien.
Là où j'ai encore quelques hésitations, c'est avec les points cardinaux, même si, dans ces deux cas :
La Croix-Rousse est au nord de Lyon Caluire est au nord de Lyon*
je sais faire la différence.
C'est pour
Corée du sud Afrique du sud Amérique du sud
que j'ai encore quelques petits piétinements.
Et p'is y a des exemples bien croquignolets, entre
la France méridionale (Occitanie, Provence, Corse...) et la France australe (Réunion, Mayotte, Polynésie, terre Adélie...)
où j'vais quand même pas tout englober dans sùden, pas vrai ?
*Histoire de changer un peu de Paris, avec Montmartre et St-Ouen. Y a pas que Paris, en France, Dieu merci.
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Le_dimilangue
Messages : 138 Date d'inscription : 30/04/2021 Localisation : France
Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Sam 14 Jan 2023 - 11:42
Le stèlago est passé par tant de phases, mais aujourd'hui il n'est plus qualifiable de relex. Il possède une grammaire somme toute originale, bien que les notions soient communes à d'autres langues. Je pense pouvoir dire qu'il possède un certain exotisme, pas au niveau phonétique, mais bien au niveau syntaxique : pour l'instant c'est la seule langue que je connaisse sans prééminence ni du thème ni du sujet, où le sujet est un actant comme un autre, la seule langue où l'association fonction grammaticale / rôle sémantique est stricte et immuable. Au niveau de la précision de ce que l'on désire exprimer, le stèlago possède 11 genres, l'attribution des aspects verbaux se fait par affixes (ni conditionnée par le temps ou le mode, ni par le sens du verbe). Et d'autres subtilités qui l'éloigne de ses origines.
En effet, fut un temps, il y a 11 ans, où le stèlago n'était qu'un alphabet qui reprenait les mots français en changeant juste la prononciation. Très vite, le cmmien (premier nom pour le stèlago), toujours une pâle relex du français, c'est vu corriger la grammaire française, afin d'en enlever les irrégularités. Des apports minimes sont venus de l'anglais. Ensuite, premier choc, brutal, ma rencontre avec le latin et en même temps avec l'allemand. Ajout de déclinaison. Puis autre choc, ma rencontre avec l'espéranto (c'est la première fois que j'ai su que je n'était pas le seul fou à vouloir créer une langue). Ma relex du français, rebaptisée stellinien à l'époque, n'en était plus une. Les inspirations provenait désormais d'avantage du latin et de l'espéranto. Ensuite, rencontre avec le grec ancien, l'italien, l'espagnol et enfin le japonais. Le vocabulaire provenait du grec et du latin majoritairement, la grammaire de l'espéranto et du latin, empruntant aussi à l'anglais, l'allemand, l'italien, l'espagnol ainsi que, bien sûr, le français et le système d'écriture s'inspirait du japonais et du latin. Désormais, les inspirations ont bien laissé une trace mais elle s'est fortement atténuée.
L'approche pour la formation des racines est la génération aléatoire puis dérivation ainsi que composition et, pour la grammaire, c'est utilisé à ma sauce des notions linguistiques.
Anoev a écrit:
Là où j'ai frôlé la relex de deux doigts, c'est pour la traduction de la cocution verbale "avoir beau". Je sais pas comment vous y prenez
Pour ma part, le stèlago utiliserait un verbe à l'aspect multiplicatif (l'idée d'encore et encore) combiné à l'aspect progressif ou accompli, dans une proposition subordonnée introduite par "meko" (même si) ou kwäno (bien que). Meko mi ankãnumintis mi neanskinis. (J'aurais beau réfléchir, je ne comprend pas. (même si j'était en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.)) Kwäno mi ankãnumintis mi neanskinis. (J'ai beau réfléchir, je ne comprend pas. (bien que je sois en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.))
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Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Sam 14 Jan 2023 - 13:18
Le_dimilangue a écrit:
Pour ma part, le stèlago utiliserait un verbe à l'aspect multiplicatif (l'idée d'encore et encore) combiné à l'aspect progressif ou accompli, dans une proposition subordonnée introduite par "meko" (même si) ou kwäno (bien que). Meko mi ankãnumintis mi neanskinis. (J'aurais beau réfléchir, je ne comprend pas. (même si j'étais en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.)) Kwäno mi ankãnumintis mi neanskinis. (J'ai beau réfléchir, je ne comprend pas. (bien que je sois en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.))
Bien vu, ça. Pour "bien que", j'avais, à une époque, une conjonction qui r'niflait la relex d'une lieue, c'était pourtant un mot-valise : lootep. Le T était la charnière de loot (bien) et tep (que). J'ai changé ça vite fait bien fait, et je l'ai remplacé par obtep (ob = contre).
donc kwäno et obtep sont équivalents.
Pour "même si", la gymnastique mentale a plutôt été orthographique. main'nant, comme équivalent à meko, j'ai anqtep (mot mixte, pris de l'italien anche et l'à-priori tet).
Ces deux conjonctions précèdent un verbe au subjonctif dans la proposition subordonnée correspondante. C'est même un subjonctif imparfait (ou PQP) derrière anqtet. Par contre, derrière rymab, c'est toujours le participe.
Y a quand même une différence notable (que tu as d'ailleurs bien notée) entre kwäno (obtep) et meko (anqtep), c'est que, dans la deuxième phrase, j'me suis quand même donné la peine de réfléchir, alors que dans la première, ça n'a pas été l'cas (à quoi bon ! té !) : t'as bien fait de mettre "j'aurais beau..." pour celle-là.
Ça donne, chez moi
Anqtet eg ere kugýnt, e kjas nep intel = Meko mi ankãnumintis mi neanskinis. Obtep eg kugýnt, eg intel nep = Kwäno mi ankãnumintis mi neanskinis.
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Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie ! Dim 15 Jan 2023 - 8:25
Anoev a écrit:
Bien vu, ça. Pour "bien que", j'avais, à une époque, une conjonction qui r'niflait la relex d'une lieue, c'était pourtant un mot-valise : lootep. Le T était la charnière de loot (bien) et tep (que). J'ai changé ça vite fait bien fait, et je l'ai remplacé par obtep (ob = contre).
donc kwäno et obtep sont équivalents.
Pour "même si", la gymnastique mentale a plutôt été orthographique. main'nant, comme équivalent à meko, j'ai anqtep (mot mixte, pris de l'italien anche et l'à-priori tet).
Ces deux conjonctions précèdent un verbe au subjonctif dans la proposition subordonnée correspondante. C'est même un subjonctif imparfait (ou PQP) derrière anqtet. Par contre, derrière rymab, c'est toujours le participe.
Y a quand même une différence notable (que tu as d'ailleurs bien notée) entre kwäno (obtep) et meko (anqtep), c'est que, dans la deuxième phrase, j'me suis quand même donné la peine de réfléchir, alors que dans la première, ça n'a pas été l'cas (à quoi bon ! té !) : t'as bien fait de mettre "j'aurais beau..." pour celle-là.
Merci beaucoup ! Grâce à tout ça, j'ai pris conscience de doublons. Kwäno et meko sont les deux face d'une même pièce. Meko c'est kwäno + subjonctif. Donc bye bye meko. Et puis pas seulement, kwäno (bien que), c'est le contraire de parce que. Donc kwäno devient mano (contraire de no (parce que)). Dans tous les cas, ces mots sont des tirages aléatoires.
Et donc j'ai le choix entre mano + indicatif ou subjonctif et lo (quelque soit) (une conjonction de coordination qui marque l'indépendance de deux évènements alors que mano montre qu'il devrait y avoir une relation de cause à effet). J'ai aussi makigo (alors que) - qui s'oppose à kigo (comme, conformément à) - qui lui marque la non-conformité, par exemple Alors que la météo le prévoyait, il n'a pas plu. On voit ici que mano peut pas être employé, sinon on est en train de dire que les prévisions météo devraient avoir un impact sur la météo (et c'est plutôt l'inverse). De plus, lo ne peut pas être employé, parce que les deux évènement ne sont pas totalement indépendant (puisqu'il devrait conduire au même résultat).
Donc, si on reprend l'exemple initial : makigo n'est ici pas utilisable, du reste on a : Mano mi ankãnumintic mi neanskinis. (J'aurais beau réfléchir, je ne comprend pas. (même si j'était en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.)) Mano mi ankãnumintis mi neanskinis. (J'ai beau réfléchir, je ne comprend pas. (bien que je sois en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas.)) Mi neanskinis lo mi ankãnumintis. (J'ai beau réfléchir, je ne comprend pas. (quelque soit le fait que je sois en train de réfléchir encore et encore, je ne comprend pas))
La différence entre les deux dernières phrases est que dans la première, il est dit que la réflexion n'a pas d'impact, mais devrait en avoir un, alors que (makigo) dans la deuxième il est simplement énoncé le fait que la réflexion n'a pas d'impact sans évaluer de causalité.
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Sujet: Re: Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie !
Si à 50 ans t'as une relex t'as raté ta vie !
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