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 C'est la rentrée

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Anoev
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MessageSujet: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyLun 9 Sep 2013 - 23:37

Chers amateurs de diégèse

Comment fonctionne l'enseignement dans vos idéomondes respectifs ?
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Ziecken
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Ziecken


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MessageSujet: Re: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyMar 10 Sep 2013 - 11:06

Dans le Losda et principalement sur Ellos (la planète source des chroniques du Losda), les enfants Eldar (dieux) sont élevés et éduqués ensemble par une institution unique : le Teben. Le Teben est divisé en quatre bâtiments distincts où se répartissent les apprenants selon leur âge.

  • De 0 à 9 ans : les enfants sont éduqués dans le Rogleo ou  "bâtiment du phénix", ils y apprennent à compter, lire et écrire.
  • De 10 à 18 ans : les adolescents sont éduqués dans le Nemleo ou "bâtiment du tigre", ils poursuivent leur apprentissage et étudient des spécialités qu'ils choisissent dans une liste. (astrologie, numérologie, homéopathie, alchimie, langues étrangères, ...)
  • De 19 à 27 ans : les adultes sont hébergés dans le Dalleo ou "bâtiment de la tortue" mais sont éduqués par des précepteurs / initiateurs extérieurs appelés "Oten". Cette période de neuf ans est appelée :"Tebego".
  • De 28 à 36 ans : Les étudiants sont libres d'aller et venir dans le Pepleo ou "bâtiment du serpent". Ils confortent leur savoir et étoffent leur connaissances par un travail solitaire ou en groupe avec ou non l'assistance de "guides". C'est lors de cette étape qu'ils choisissent leur domaine de prédilection, celui qu'ils développeront ensuite seuls pendant quatre ans.
  • De 37 à 40 ans : Les personnes s'éduquent elles-mêmes et deviennent des ermites pendant quatre ans. C'est à l'issu de cette période qu'il deviennent immortel.

Après 40 ans, ils sont surnommés les "immortels" et vivent leur vie comme bon leur semble, ils peuvent servirent à leur tour d'Oten s'ils le souhaient.

_________________
Like a Star @ heaven Idéolangues : elko, kelep, englo, ... (+27)
Like a Star @ heaven Idéomondes : Multivers d'Aegis, monde du Losda
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Anoev
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Anoev


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MessageSujet: Re: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyMar 10 Sep 2013 - 11:51

L'éducation est, avec l'information un des secteurs pour lesquels l'aspect fédéral de l'Aneuf est le plus marqué. Cependant, il y a des constantes communes à toutes les provinces (y compris la Pande et Lakùr) :

La numérotation des classes est inverse de celle de la France et rejoint celle des États-unis d'Amérique (!) la Sixième de chez nous reste la sixième, mais notre seconde est la dixième aneuvienne (donc le deuxième cycle du secondaire est représenté par des classes "à deux chiffres" : 10n, 11n, 12n).

Plus on va vers les "petites" classes, plus la parité hommes-femmes dans le corps enseignant doit être respectée de manière précise, même si, malheureusement, de gros écarts existent dans certaines académies*.

Un baccalauréat passé en Æstmor doit pouvoir être accepté aux Santes, en Pande (sous condition que l'élève ait pris l'option ŧhub) ou dans une autre province.

Quand, en Aneuf, on dit fræjskol (école libre), il s'agit d'une école libre de toute contrainte religieuse ou cléricale ! Bref : pas vraiment comme chez nous.

Il existe, en gros, trois types d'écoles :
l'école publique
l'école privée associative
l'école privée.

Ces trois types d'école se rencontrent, en gros dans les trois niveaux principaux : élémentaire, secondaire & supérieur. Ce qu'on appelle chez nous l'"école maternelle" s'appelle en Aneuf ifànskol (école pour jeunes enfants).

Toutes les classes dans les écoles publiques et privées (non religieuses) sont mixtes. Seuls les vestiaires d'EPS ne le sont pas.

Pour en venir un peu au sujet qui nous intéresse particulièrement, la première langue vivante est étudiée en 4n (l'équivalent de notre CM1), la seconde en 7n (5me) et la troisième (pour qui a choisi une troisième langue) en 10n (2de). J'avais énoncé, dans un autre fil, le sujet de l'enseignement des langues en Aneuf ; faudrait que je le retrouve, je mettrait un lien ici°, pour ne pas me répéter. On y apprend, en plus des langues naturelles, le psolat, le kotava, l'elko, l'uropi, le tsawelo... selon les classes, les écoles et les provinces.


*L'académie de Nevstad-Sense fut épinglée à cause de cette annonce : Er requède tern istítunkorkade pœr àt ezérskols Nadezh Koramy, Sensev = Nous demandons trois institutrices pour l'école Nadège Koramy, à Sense ; alors que ladite école avait déjà deux fois plus d'institutrices que d'instituteurs.
°Eh ben j'le r'trouv'pas ! Il est trop P'éloigné ! J'y disais que les premières langues enseignées (4n) étaient entre autres, l'anglais, l'espagnol (castillan), le portugais, le français, l'espéranto ou l'indonésien, à quoi s'ajoutaient, en 7n d'autres langues, comme l'italien, le russe, le grec (actuel), l'hindi, le kotava, l'elko, le volapük, l'uropi et toute une liste, selon les disponibilités des établissements, en plus des premières langues et qu'enfin, on trouvait l'hébreu (ancien & actuel), l'arabe (littéraire), le grec (ancien), le latin, des langues amérindiennes, le saiwosh etc.


Dernière édition par Anoev le Jeu 17 Oct 2013 - 12:25, édité 1 fois
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Vilko

Vilko


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MessageSujet: Re: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyMar 10 Sep 2013 - 13:30

À Dibadi, l'enseignement est gratuit et obligatoire de six à quatorze ans. Les classes sont numérotées de 1 (six ans) à 9 (14 ans). Cet enseignement n'est pas laïque : la religion konachoustaï, en tant que religion d'État, fait partie des matières enseignées. Les autres religions sont interdites. Le gouvernement fournit un uniforme aux élèves, dont un ciré vert. Le ciré vert, avec sa capuche, est considéré comme un vêtement typique des écoliers à Dibadi.

Les langues étrangères ne sont pas enseignées (les cyborgs préférant garder le monopole des contacts avec l'étranger) et l'enseignement est toujours donné en dibadien.

Les cantines sont gratuites, pour tenir compte des faibles revenus de nombreuses familles, mais aussi pour inciter les familles pauvres à envoyer leurs enfants à l'école. Dans certains quartiers l'école offre aussi aux élèves un petit-déjeuner (en général, un verre de lait ou de boisson chocolatée et un biscuit) les enseignants s'étant plaints que certains élèves arrivaient à l'école le ventre vide.

Il existe des écoles privées, à des prix généralement raisonnables. Elles sont pour la plupart gérées par le clergé konachoustaï. Être passé par l'une de ces écoles religieuses est apprécié par les cyborgs, qui dominent la société dibadienne.

Le corps enseignant est majoritairement féminin, mais on trouve un nombre assez important d'hommes dans les classes 7, 8 et 9. Les classes sont normalement mixtes, mais certaines écoles ont des classes 7, 8 et 9 distinctes pour les garçons et les filles.

Entre 3 et 5 ans, les enfants vont dans des écoles maternelles, qui ne sont pas obligatoires, mais qui servent souvent de garderies. Beaucoup d'enfants y apprennent à parler le dibadien (que leurs parents ne parlent pas toujours à la maison), quelques rudiments d'hygiène, les bonnes manières (dire merci, bonjour, se tenir à table...), les chiffres et les lettres de l'alphabet dibadien (y compris les plus fréquentes des 180 ligatures). Le personnel est presque toujours féminin.

À partir de 15 ans, un Dibadien peut entrer dans la vie active. L'enseignement secondaire (équivalent du lycée français) est privé et donc payant. Les cyborgs ont trouvé ce moyen pour récompenser leurs partisans : avoir le soutien des cyborgs permet d'avoir des emplois bien payés, et donc d'offrir le meilleur à ses enfants (ou plutôt à son enfant, le taux de natalité étant très bas à à Dibadi). Certains lycées gérés par le clergé sont gratuits, mais les élèves sont majoritairement des enfants de religieux. Certaines administrations, comme la magistrature, la police et la milice, fournissent des aides financières à leurs fonctionnaires dont les enfants vont au lycée.

À la fin de leurs études secondaires, les lycéens passent un baccalauréat, organisé et contrôlé par le Ministère de l'Enseignement. Cet examen, qui existe avec une grande variété d'options, est l'équivalent des baccalauréats généraux et techniques français. L'enseignement supérieur est entièrement privé, comme l'enseignement secondaire.

Cette particularité du système éducatif dibadien est l'une des raisons pour lesquelles la mobilité sociale est assez faible à Dibadi. La milice est l'administration qui permet aux plus brillants de progresser socialement le plus vite. On a l'exemple de Quamis Mindi, arrivé à Dibadi à l'âge adulte et ayant appris le dibadien dans une prison aneuvienne, qui a fait une carrière particulièrement brillante (bien que controversée) dans la milice.

Toutefois, certaines professions permettent une réelle mobilité sociale. On peut entrer dans le secteur de la santé, par exemple, au bas de l'échelle à 15 ans, et passer ensuite des examens internes donnant accès aux écoles médicales, dans lesquelles les futurs infirmiers et médecins sont payés tout en étudiant. Mais il est bien plus rapide de devenir médecin par le biais d'une université privée.

Dibadi permet aux diplômés étrangers de valider leur diplôme en passant l'examen dibadien correspondant. On peut aussi se présenter aux examens dibadiens en candidat libre.

Pour les cyborgs, l'enseignement a trois objectifs :

1. Faire en sorte que l'ensemble de la population sache parler, lire et écrire le dibadien. Et de préférence, uniquement le dibadien.

2. Fournir à Dibadi les travailleurs spécialisés (électriciens, médecins, etc) dont son économie a besoin.

3. Contrôler la population. La religion konachoustaï, dont l'enseignement est obligatoire, y contribue. L'accès à une éducation avancée est largement lié à l'adhésion à certaines valeurs favorisées par les cyborgs, notamment le respect de la hiérarchie sociale et politique existante. Une aide-soignante mal notée du fait de son indiscipline ne pourra jamais devenir infirmière, et encore moins médecin, quelles que soient sa compétence et ses qualités humaines et intellectuelles. Elle risque même de voir son contrat non-renouvelé.

Souvent, les diplômés des universités forment des fraternités et des sororités et se soutiennent mutuellement dans leur vie professionnelle jusqu'à la retraite, en embauchant et en promouvant en priorité ceux qui ont suivi un cursus identique au leur. Dans une société aussi dure que la société dibadienne, il est important de s'entraider. Il est important aussi de limiter la concurrence : les tentatives pour démocratiser l'accès au lycée et à l'université se heurtent à l'hostilité ouverte des classes supérieures et du clergé.
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http://pagesperso-orange.fr/saiwosh/man.html
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MessageSujet: Re: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyJeu 17 Oct 2013 - 1:29

À Antarem, de 5 à 12 ans s'appelle le "Primae", de 13 à 15 ans, on retrouve le praesecondae, de 16 à 19 ans on entre alors au Secondae. Ensuite, si tu veux avoir un métier qui à de l'allure, tu ira à l'université (universitae), ou tu étudira 2 ans minimum.

TOUS les enfants sont obligés de faire leur Primae et leur presecondae. Mais la plupart des adolescents continuent leurs études vers le Secondae et l'universitae.

En Itras, la traduction de Primae serait "Primaire, premier", presecondae "Pré- secondaire/deuxième", secondae: "secondaire,deuxième", et finallement, Universitae disigne l'Université.

Dans les écoles, on enseigne l'Itras, l'histoire, le Grec, les traditions, la religion, la géographie et les mathématiques.

On retrouve :

-Les écoles Publiques (Publika eritam)
-Les écoles privées (Privae eritam)
-Les écoles de rang (Kebalos eritam)
-Les écoles de Hauts-Niveaux (Nivaet tela eritam)

Toutes ces écoles enseignent les mêmes matières. Seulement le nombre d'élèves varie.
Dans les écoles publiques, on peux retrouver près de 1000 élèves, dans les écoles privées, ça varie de 400 à 500. Dans les écoles de rang, soit dans les villages, on peux retrouver 100 à 300 élèves. Les écoles de Hauts-Niveaux, sont fréquentables seulement pour les enfants ayant les meilleures notes du pays.

Pour ça, chaque école privée, de rang, publiques va transférer ses meilleurs vers les écoles de Haut-Niveau, pour ensuite, qu'ils passent un an là bas. Dans ces écoles, tout est plus dur. Les cours moins importants, comme la religion, sont plus coupés. En une année, ils voient 4 fois plus de matière que des élèves fréquentant les écoles de niveaux moins élevés.
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MessageSujet: Re: C'est la rentrée   C'est la rentrée EmptyJeu 17 Oct 2013 - 4:09

Tu devrais expliquer à nos amis français ce qu'est un rang.
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